-98- Préparation

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La journée venez tout juste de toucher à sa fin et la nostalgie du soir venez de sonner à ma porte, chaque jours était devenue précieux comme un cadeaux, chaque matin l'inquiétude prenez le dessus, comment aller se sentir Berlin? Est-ce qu'il allait bien? Toute ses questions se bousculer à une vitesse flamboyante, le soir je penser avoir du répit, mais la nostalgie de me dire qu'aujourd'hui était peut-être le dernier jour, le dernier jour de cette courte éternité, le dernier jour ou Berlin pourrais encore marcher, parler...
Je plier mes vêtements en repassant le film de cette journée dans ma tête, chaque jour était un nouveau plan, une nouvelle séance de notre film que je garder précieusement, puis je tomba à nouveau sur cette petite boite ranger derrière mes jeans, une boite commune en bambou que j'avais acheter en arrivant je crois bien, cette boite était une boite normal sens intérêt mais elle comportez les plus beau souvenirs de cette éternité, avec une certaines pointe d'amertume j'ouvris celle ci, dans un petit bruit elle n'ouvris et un trésor sens valeur monétaire se trouvez dedans, il y avais des fleurs sécher, une photo de ma mère que 'javais récupérais avant de partir en cavale, elle était assise sur un banc devant les grand immeuble de Pripiat, c'était avant 1986, elle était encore jeune elle devais avoir 16 ans ou peut être 17, c'est cheveux était coiffer à l'ancienne, des boucles lui tomber sur l'épaule, elle se forcer à sourire pour la photo mais son sourire semblez si réelle, le paysage autour était en noir et blanc mais on y percevais la joie tout de même, au fond de la boite se trouver une vielle bague l'alliance de mon grand père, ma grand mère l'avais prise à l'arriver de l'hôpital de Pripiat, il reprenez tout les vêtements, bijoux et les jeter dans une sous-sol à cause de la radioactivité et cette bague devais être aussi radioactive mais ma grand mère ce ficher bien de sa, se qui compter pour elle c'était que cette bague était la représentation même de leur amour, elle l'avais donner à ma mère qui me l'avais donner, peut-être que ce n'était pas bon d'avoir cette alliance potentiellement mortel à mes coter mais de toute façon j'allais tout perdre, tout et ne plus rien avoir alors une bague contaminer ou non sa ne changerez rien à ma vie, puis il y avais une photo de l'équipe, je l'avais complètement oublier celle là.

Flash-Back

''Professeur vous ne pouvez pas faire un simple sourire'' S'écria Nairobi derrière l'appareil photo

''C'est vrai professeur on dirait que vous avez un ballet dans l'arrière train'' Ajouta Moscou en regardant le cadre de l'appareil

Le professeur au côté de Berlin se força a faire un grand et large sourire déployant ses dents blanche, Nairobi venue alors en courant au côté de Tokyo et passa son bras autour de ses épaule en tirant la langue, Denver était à mes côtés et serrez son père dans les bras, Oslo et Helsinki faisait tout deux les gros dur en contractant leur muscle, puis il y eu un clic suivis d'un flash.
C'était notre première photo de groupe, enfin de famille.

Fin Flash-Back

Je regarder cette photo avec un large sourire, pour rien au monde je laisserai cette photo ici, ni même cette boite, je pris alors la boite et la déposa dans la valise qui était derrière moi, une valise pour deux, on devait se faire discret, d'ailleurs on devait partir demain dans la nuit par avion réserver nous avait expliqué le professeur, un avion qui aurait était comme caché, en dehors des limites de vols, j'étais vraiment inquiète de retourner en Russie et j'avais de quoi, on prenez un risque qui n'était pas nécessaire, je laissa un long soupire sortir de mes narines se que Berlin remarqua en entrant dans la pièce, le professeur et lui était resté dehors à discuter autour d'un verre de vin, Raquel trop fatigué par cette journée avait décider de se coucher quand à moi j'avais décider de faire ma valise, enfin surtout de me reposer l'esprit.

''Qu'est ce qui ne vas pas?'' Me demanda t-il en enlevant sa chemise avec difficulté

Je me tourna vers lui, un pull dans les main et le plia en haussant les épaules, mais Berlin avait sûrement appris à me connaître et savais que quelque chose n'allez pas.
J'avais toujours pensé que Berlin était un égoïste, qu'il ne pouvez pas réellement aimer, qu'il ne prenez pas soin des femmes mais tout sa c'était ce que je penser de lui durant le braquages, en réalité c'était une personne bien différente, soucieux du bien des autres et c'était un homme différent de Viktor, je dirais même incomparable.
Il se laissa presque tomber sur le lit en me dévisageant du regard.

''C'est étrange j'ai du mal à croire un traître de t'es mots'' Me dit-il en me fixant

Je déposa une paire de chaussettes dans la valise et haussa de nouveau les épaules, je n'avais pas envie de discutez, pas se soir.

''La grande Pripiat incapable de laisser sortir que quelque mots? Une femme qui ne parle pas c'est incroyable''

Je soupira en relevant les yeux au ciel ce qui lui fit décrocher un sourire, il se redressa alors et fut sûrement pris de vertige car il se stoppa en fermant les yeux.

''C'est la Russie?'' Me dit-il en claquant de doigts comme si il y vais enfin trouver le problème qui me chagriner t'en

''Non...c'est juste qu'on prend un risque inutile'' Avouais-je finalement

''Un risque inutile? Tu ma dit que la Russie était le plus beau pays du monde''

''Non je t'es dit que Moscou était la ville la plus belle'' Le coupais-je ''Stalingrad n'est pas une belle ville du moins là ou nous irons se ne serra pas beau''

''Lara, si on vas là bas c'est que nous savons ce que nous faisons''

''Non...je pourrais croiser des gens qui nous dénoncerait''

''Ne dit pas n'importe quoi, les Russe ne travaille pas le Jeudi et Vendredi?''

''Si il travaille mais on prend tout de même un risque et tu le sais bien''

Il soupira et se redressa en posant son doigt sur sa bouche comme s'il réfléchissait.

''Tu ne prend jamais de risque toi, c'est bien vrai, tu n'as pris aucun risque lorsque tu a lançais une grenade dans un tunnel alors qu'on étaient enfermés dedans? Ou quand tu a sauvé une otage que je t'avais obliger à tuer?''

''C'était différent sa ne concerné que moi''

''Sergio c'est proposer à venir de son plein grès? L'agent Murillo aussi tout comme moi, chacun à pris une décision celui qui ne voulez pas venir n'avais cas rester ici''

''Mais''

''Arrête de te tourmenter avec cette histoire, il ne se passera rien'' Se voulut t-il rassurant ''Viens'' Me dit-il en me montrant la place vide à ses côtés

Je soupira et referma le lourd tiroir de la commode et venue à ses côtés, mais c'est parole ne m'avais pas rassurez, rien ne pouvez me rassurer je le sentez mal ce coup de partir en Russie, bien que le professeur avait toute ma confiance.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre 98 on arrive bientôt au 100, le prochain casse ne vas pas tardez à arriver!
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant