Le casse du siècle [Part 1]

-94- Sous les nuages

''Tu peut vraiment te comporter comme un connard'' Dis-je en enlevant mon t-shirt

Il releva simplement la tête vers moi sans rien dire et replongea son attention sur la télévision.

''Séparer une mère et son enfant...c'est''

''C'est nous éviter à tous des ennuie''

Je soupire et le regarde a travers le miroir, il tient la télécommande dans sa mains et continue de regarder son émission.

''Écoute Berlin ici t'es plus le patron qui décide de ce qu'on doit faire, je sais pas si ta remarquer mais on est ni dans un bureau, ni dans une fabrique de billet'' Dis-je en me tournant vers lui

''Mais les risques sont les mêmes''

''Pourquoi veux tu qu'on se fasse attraper maintenant?''

''Parce que l'ex compagnon de l'agent Murillo est un putain de flic tu saisi?''

''Parle moi sur un autre ton je suis pas une gamine'' Dis-je agacée ''De toute façon qu'on est ton accord ou non la fille de Raquel viendra ici parce qu'elle à besoin de sa mère''

Il soupira et éteignis simplement la télévision en se tournant pour dormir, je parti à mon tour dans le lit et regarda le paysage lointain en me demandant ce qu'on était entrain de devenir tout les deux, un vieux couple qui se dispute pour des conneries? Rien étaient comme sa au début à croire que la routine tue bien des couples, peut-être qu'on aller finir par se détester, mais une chose était sûr même si on se détester plus que tout au monde je resterais à ses côtés, j'ai failli sacrifier ma vie pour être avec lui alors maintenant je ne le quitterais plus sa non.
Le soleil venue me caresser le visage, mes yeux s'ouvrir délicatement éblouie par les rayon du soleil, je m'étire et remarqua que Berlin n'était plus dans le lit, première peur du réveille, j'avais toujours peur de me réveiller un matin et qu'il ne soit plus là, que la maladie l'avait emporté et que je retrouverais son corps froid et sans vie près de moi mais lorsqu'il n'était plus allonger dans ses draps de soie j'avais encore plus peur car il pouvait y avoir de raison à son absence la première serrez qu'il serait parti l'île n'était pas déserte peut être qu'il avait trouvé mieux...ça c'était mon côté paranoïaque de fille, toujours penser qu'il trouvera mieux, mieux que moi, plus belle, plus gentille, plus, plus et encore plus...puis la deuxième option était qu'il c'était lever en titubant et serrez mort dans le couloir en pleine nuit seul et je dois dire que cette option me terrifier.
J'entendis des pas venir vers moi et vis très vite sa silhouette, toute les options était maintient disparue à mon plus grand plaisir, je soupirer de bonheur tendis qu'il venait vers moi en me souriant.

''Ta un de ses sourire aujourd'hui'' Lui dis-je remarquer

Il hocha la tête en me faisant à nouveau se beau sourire, il pris sa montre et essaya de l'attacher à son poignet mais sa mains trembler trop pour la tenir en place, je lui fit signe de venir ce qu'il fit, il s'essaya sur le bord du lit et son parfum venue me caresser les narines, un réveille comme celui ci valait tout l'or du monde et j'en profitais à chaque fois, de cette odeur du matin, il ne sentez pas encore l'homme malade ou les médicament, non il sentez l'homme, le vrai.
Il me tendis son poignet et je glissa la montre sur celui ci et la referma autour de celui ci.
Aujourd'hui était un jour comme les autres, du moins c'est ce que je penser, mais en regardant le ciel je vis que des nuages se former si seulement ses nuages ne c'était pas abattue sur nous.
L'après midi venez juste de pointer le bout de son nez, Berlin était parti peintre du moins il essayer de peindre la main toujours tremblante, ses dessins étaient de plus en plus brouillons ce qui avait le don de le faire râler sous les rires de Sergio et Raquel, Raquel était à mes côtés, ici il n'y avait pas grand chose à faire en réalité, pour ma part je passer mon temps à planter des fleurs dans des vases que je fabriqué moi même, c'était une activité relaxante et qui me permettais de laisser une trace sur cette terre, un vase en terre cuite prenais du temps avant de se casser alors je les dédicacer tous avec mon prénom, Lara Akimov Fonollosa, je me disait qu'un jour des flics tomberais dessus et se dirais ''bordel ils étaient juste ici, presque sous notre nez'' à cette idée je me réjouissais d'être morte pour pouvoir rigoler de leurs réactions, du moins si après la vie il y avait quelques choses.
Raquel avait voulue essayer la poterie,après tout il n'y a pas d'âge pour commencer?

''Mince'' S'écria t-elle

Sergio qui lisais un livre sur les droit civile que l'on nous cache releva le regard de celui ci pour voir ce qui préoccupe sa tendre femme.
Son pot était en train de flancher sur le côté ce qui me faisait bien rire.

''C'est pas grave tu n'as cas enlever cette parti et mettre plus d'eau sur t'es main pour bien la lisser après'' Dis-je en lui montrant comment faire

''Comment tu peut réussir à faire sa''

''Aucune idée il y a des choses que l'on fait mieux que d'autre''

''Quand est-ce que tu a appris à faire de la poterie?''

''Quand j'étais petite je devais avoir 6 ans je pense bien...ma mère et mon père on jamais eu beaucoup d'argent, mon père avais quelque chèvres avec les qu'elle on faisait du fromage, enfin c'était notre voisine qui nous le faisait on avais pas les appareille et mon père étai bien trop fainéant pour faire du fromage à la main quand à ma mère...elle avais d'autre chose à faire, laver le linge, faire à manger...et donc un jour je suis aller portez le lait à la voisine quand je suis arriver elle était entrain de sculpter un vase à la main, j'ai trouver sa magnifique alors elle ma échanger une leçon contre un repas chez mes parents, j'ai accepter de toute façon ma mère était le genre de femme à cuisiner pour 6 alors qu'on était que 3 es pauvres par dessus le marcher c'était les chiens errant qui se faisait un vrai festin les vendredi soir bref revenons en à nos moutons, j'ai donc pris une leçon avec elle et quand je suis revenue avec mon premier vase mon père me la presque arracher des mains pour le voir, j'étais...j'étais vraiment heureuse qu'il regarde mon travaille'' Dis-je un goût amer dans la bouche ''C'était une des rare fois ou il regarder se que je faisait, je tricoter avec ma mère, je broder, je trayez les chèvres mais jamais il ne faisait attention à moi...c'était la première fois, il ma alors regarder avec un sourire dont je me souviendrez toute a vie et il ma dit, maintenant tu vas en faire plein d'autre mon angelotchek comme sa je pourrais les vendre sur le marcher et on pourra acheter des patates...c'était la première fois qu'il m'appeler son petit ange c'est d'ailleurs la dernière fois qu'il ma appeler comme sa''

Se souvenir me donner un coup au cœur et un goût encore plus amer dans la gorge, je sentis alors le regard de mes trois compères sur moi, le professeur avait un regard triste qu'il dissimuler au dessus de son livre, Berlin lui c'était retourner sur son tabouret et garder son air froid qui lui cacher ses sentiments tendis que Raquel sembler dépiter.

''Alors'' Dis-je ne voulant pas rester sur une note négative ''J'en est fait d'autre, de différente taille, de différentes couleurs, mon père m'emmenait avec lui sur le marché et on en vendait beaucoup...mon père était pas fou il n'allait pas sur le marché de notre village mais sur celui de Moscou même si il fallait faire 2 heures de routes il les faisait là bas les gens on plus d'argent que dans le village ou je vivais et puis l'argent servait à acheter de nouvelles chèvres, des graines enfin ce genre de chose quoi'' Dis-je en regardant le vase que j'avais commencer

''Waw'' Dit Raquel n'en revenant pas ''Ne le prend pas mal mais j'ai l'impression que tu raconte une histoire qui date de 1930, la ferme, les chèvres tout ça sa me semble très lointain pour quelqu'un de ton age''

''Tu sais la Russie a mis du temps à se moderniser surtout dans les campagne'' Dis-je en riant ''Quand je suis née ma mère faisait encore le linge dans une rivière mais elle disait qu'elle aimait faire son linge agenouiller dans l'eau ça lui rappeler son enfance à Pripiat''

Raquel hocha la tête et me fit un sourire.

''J'aimerais si tu le permet en savoir plus sur toi'' Me dit Raquel d'un aire passionné

''C'est pas très étonnant de la part d'une ancienne flic de vouloir en savoir plus sur moi''

Des rires se firent entendre autour de nous, je fit ensuite un sourire à Raquel est tourna mon regard vers Sergio qui avait refermé son livre pour prêtais plus attention à notre discutions tendis que Berlin continuer sa toile qui commencer à prendre couleur.

''Et bien...nous ne sommes plus en plein braquage et sa ne jouera pas sur nos vies si elle apprend quoi que ce soit?'' Demandais-je au prof qui hocha la tête comme pour me donner la confirmation

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí  🔫
Bon j'espère que se chapitre vous a plut, les deux prochains vont parler uniquement de la vie de Pripiat enfin de Lara, histoire que vous la connaissiez un peut mieux !
Sinon rien à voir avec la casa de papel mal j'ai vue le film Call me by your name hier (ouais il est sorti en 2017 mais j'étais occuper 😂) bref ce film est tellement beau 😍
La grosse bise 😘