-9- L'ami Arturo

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''Debout'' Ordonna Berlin au otages ''Aller, aller, bien retirer vos bandeau, aller aller''

Tout les otages retiraient doucement et lentement leurs bandeaux de leur visages, j'aurais penser que leurs premiers réflexe aurais était de voir qui était les preneurs d'otages mais non, ils n'oser pas nous regarder, ils regarder les personnes en fasse d'eux ou alors leurs pieds mais aucun regard sur nous.

''Nous avons du faire face à un imprévue malgré la présence de ses hélicoptères je pense qu'ils vont nous laisser une trêve de quelque heures, vous aller pouvoir dormir d'ici une minute nous distribuerons des sacs de couchages de l'eau et un sandwich et j'aimerais vous demander un services, déshabiller vous et à la place vous aurais une salopette rouge comme la notre pour que vous soyer plus alaise'' Leur expliqua t-il tendis que l'on passer en donnant les salopettes que j'avais plier tout à l'heure

''Pardon je ne veux pas vous embêter mais je voudrais vous demander quelque chose'' Me demanda Arturo

''Tiens Arturito, Berlin tu peut venir?'' Lui demandais-je

''Que se passe t-il mon ami?'' Demanda t-il a Arturo tendis que je reprenez la distribution

''Ici il y a des personnes qui on des problèmes cardiaques, des femmes enceintes, des diabétiques et des adolescents et par pitié accepter de les libérés, je doute qu'elles puisses résister à toute cette angoisse toute la nuit'' Expliqua t-il

''Pour qui tu te prend toi! Gandhi?'' Demanda Denver

''Calme toi Denver c'est un bonne ami à moi nous partageons une passion pour le cinéma'' Le coupa Berlin

Denver passa à mes coté et regarda Arturo avant de sortir son arme et de le braquer sur le visage d'Arturo faisant hurler les otages.

''Prend se pistolet'' Demanda Denver à Arturo

''Si ta pas compris c'était un ordre Arturito'' Dis-je en m'avançant vers eux

''Aller prend''

Arturo se résigna à prendre l'arme dans sa main moite de sueur.

''Vise moi maintenant'' Lui demanda Denver ''Aller braque le sur moi''

''Arturo on obéie au ordre'' Ajoutais-je

Arturo tendis le bras, son corps entier trembler et on pouvez entendre de petit gémissement d'enfant sortir de sa gorge.

''Aller maintenant tu tire'' Dit-il ''Aller tire'' Denver sorti une arme et visa Arturo avec

''Non par pitiez'' Supplia Arturo

''Aller ou je tire ou tu tire, je te donne 10 secondes, 1,2,3,4,5,6,7,8,9''

Arturo appuya sur la détente en regardant ailleurs, un petit clic résonna dans la pièce silencieuse mais rien de plus, Arturo regarda son arme ne comprenant pas et appuya plusieurs fois affin qu'une balle en sorte mais rien, Denver me regarda en riant tout comme moi ce qu'Arturo ne sembler pas comprendre.

''C'est des faux Arturito'' Dis-je en lui donnant une petite claque sur la joue

''Mais il c'est bien débrouiller'' Ajouta Denver

''Sa oui c'est bien Arturo, c'était parfait même'' Dis-je en lâchant sa joue

''Aller ses un cadeaux tu peut le garder'' Dit Denver en embrassant le front d'Arturo

''On vas vous donner à tous de fausses armes dans quelques heures nous aurons besoin de vôtres contribution et comme vous l'aurais vue tout ce que vous aurais à faire c'est nous obéir et nous faire confiance'' Expliqua Berlin'' Aller déshabiller vous maintenant''

Une fois leur salopettes misent, Berlin leur demanda de s'asseoir tendis que l'on passer dans les rangs armes en mains, on entendis du bruit venir du fond du rangs, c'était encore Arturo, je soupira et le pointa de mon arme.

''Décidément Arturo tu n'as pas ta langue dans ta poche'' Lui dis-je ''Silence compris, je veux du silence et du calme Arturo''

''Oui pardon'' Dit-il en montrant ses mains en l'air

''Écouter moi!'' Cria Berlin en entrant en furie dans la pièce '' C'est l'heure, l'heure d'obéir au ordre que je vous donnes, mettez vos masques et prenez vos armes'' Demanda t-il

Tokyo passa devant moi en me regardant de travers ce que je ne calcula pas, je pris mon arme et je couvris mon visage avec mon masque, cette fois on aller voir si le professeur avais bien gérer son plan ou non, on descendis au niveau du quais de chargement, je pouvez sentir mon cœur battre aussi fort qu'un tambour, ma jambe droite ne cesser de trembler, mon souffle était court et saccader sens compter les pulsations de mon cœur, je sentais le sang circulais dans mes vaisseaux aussi vite que les impulsion de mon cœur.
On entendis les flics commencer à percer un troue, Tokyo qui était à mes coté sursauta ce que je remarqua rapidement.

''Ok?'' Demanda Berlin '' Alors c'est parti'' Dit-il en replaçant son masque sur son visage

On le suivis faisant attention au moindre de nos mouvement.
On arriva vers la bâche qui couvrais notre plus belle arme une mitrailleuse browing, un vrai bijoux. On se positionna derrière celle ci, Berlin leva la bâche ce qui dévoila la bête qui faisait face au policier.
Bien que cette arme était splendide j'espérais bien que l'on est pas à sens servir ce soir et ce fut le cas, les flics décidèrent de ne pas mener leur mission à terme sûrement à cause de la mitrailleuse, on venez de gagner notre première bataille.
Les otages étaient retourner avec les autres et était assis mais pas pour longtemps, ils avaient une tache, une tache très importante à nos yeux.

''La meilleur parti vas commençais'' Annonça Nairobi ''Nous allons travailler maintenant, doivent me suivent Torres, Sanchez, Biezma, Lenon...''

Une fois sa liste terminer on parti dans la fabrique, je n'avais jamais vue quelque chose d'aussi cool de toute ma vie et Nairobi non plus, les otages avancer mains poser sur la têtes dans la fabrique tendis que nous regardions autour de nous comme deux gamines enfermer dans un magasin de jouer.

''Putain c'est trop fort'' Dis-je avant que je ne remarque qu'un otage me regarder ''Qu'est ce que ta toi'' Lui demandais-je en reprenant un peut de dignité

Ils se mirent à leurs postent tendis que Nairobi leur faisait un discourt de motivation qui nous faisait bien rire avec Moscou, elle venue vers nous.

''Oh la vache c'est de la bombe les gars'' Dit-elle en mourant de rire ''On y est les gars! '' Hurler t-elle

Je sentis un sourire se former sur mes lèvres et je me mis à rire tout comme Moscou.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Alors ce chapitre vous a t-il plut?
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant