-55- Ce dire les choses

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Je poussa la porte qui me séparer de Berlin est entra, je le vis déposer le téléphone avant de s'asseoir et de passer sa main sur son crâne en soufflant fortement.

''Hey'' Dis-je doucement

Il releva la tête surpris d'entendre ma voix ou tout simplement surpris d'entendre une voix tout court.

''Ça va?'' Lui demandais-je en entrant plus dans la pièce

''Ouais ouais bien sûr'' Me dit-il un sourire faux au visage

''C'était vraiment bien ce que tu a fait avec la journaliste''

''Je suis content de l'apprendre''

Il sorti une cigarette de son paquet.

''Non attend tiens'' Lui dis-je en sortant l'une de mon paquet ''Je te dois bien sa''

Il l'accepta volontiers et l'alluma une fois dans sa main, je pris une grande inspiration se qu'il remarqua.

''Qu'est ce qui t'arrive Pripiat?''

''Il m'arrive quand faite j'ai remarquer quelque chose sur toi Berlin''

''Ah vraiment'' Dit-il en pouffant de rire ''Et c'est quoi?''

''T'es pas du tout le mec que tu veux faire paraître, t'es peut être un enfoirée quand tu le veux mais t'es pas un sanguinaire''

Il ne me répondit rien et donna simplement quelque petite tape au dos de sa cigarette pour faire tomber la cendre dans un récipient en verre.

''Je crois qu'ici on c'est tous tromper sur toi''

Il haussa les épaules et se laissa tomber en arrière se collant au dos de la chaise.

''Et donc? Sa changera quoi tu vas me parler comme on parle à un gosse?'' Me demanda t-il en riant

''Non je changerais pas avec toi je tenez juste à m'excusez d'avoir penser que tu n'était qu'un enfoirée''

On se mis à rire tout les deux avant qu'un silence s'installe.

''Dit moi Berlin'' Coupais-je se silence ''Depuis quand tu sais que tu a cette maladie?''

''Assez longtemps pour accepter de mourir'' Me dit-il en souriant

''Et...pourquoi tu n'as pas chercher a avoir des nouvel de...de ta fille?''

Il me fusilla presque du regard avant de prendre une grande inspiration qui le fit tousser à cause de la cigarette.

''Pourquoi faire? Qu'elle vois un père qu'elle n'a connue que trois mois mourir devant elle?''

''Peut être qu'elle voudrais te connaître de ton vivant et non apprendre dans la presse à scandale que son père est mort''

''Et donc quoi? Quand on sortira d'ici j'appelle l'une de mes ex femme et je lui dit Salut c'est moi tu sais le père de ton enfant qui c'est barrer parce qu'il aime pas les enfant? Allons Pripiat soit sérieuse un instant'' Dit-il en levant les yeux au ciel

''C'est égoïste ce que tu fait''

''Qu'est ce que t'en sais de ce qui est égoïste Pripiat? Tu n'as pas d'enfant d'ailleurs tu n'en aura jamais''

''Il n'y a pas quand t'en que père que tu est égoïste'' Dis-je en le fixant droit dans les yeux

''Et quoi? Je suis égoïste au près de toi c'est sa? Mais tu t'attendais a quoi en couchant avec moi?'' Me dit-il brutalement ''A trouver un maris avec qui tu fonderais une belle petite famille? Voyons Pripiat t'es qu'une gamine à mes yeux rien de plus''

''Une gamine? Vraiment'' Dis-je en riant sous son regard assassin ''Je suis peut être une gamine comme tu dit si bien mais moi je cache as mes sentiments au autre parce que j'ai peur de leur regard''

Je me tourna et parti vers la porte, je l'entendis se lever et venez vers moi mais je continua ma route avant que je ne puisse avancer, je remarqua que mon poignet était pris dans quelque chose, ce quelque chose n'était autre que la main de Berlin.

''Redit moi un peut sa?'' Me dit-il au creux de l'oreille en serrant mon poignet dans sa grande main

Je tourna la tête vers lui et le fusilla du regard, son visage était près du miens, je sentais son souffle sur mon visage.

''Avec plaisir mon chou, je cache pas mes sentiments moi et encore moins parce que j'ai peur du regard des autres'' Je le poussa afin qu'il lâche mon poignet ''Je m'en fou de se que pense les autres leur opinion de merde sa les regardes et j'en est rien à foutre qu'on me juge pour mes acte pas comme toi''

Il frappa a grand coup de pieds dans la chaise qui se trouver face à la table et posa ses deux mains sur sa tête avant de se tourner violemment vers moi.

''Et donc quoi?'' Dit-il en venant vers moi tout en serrant la mâchoire'' Je t'embrasse et on vie ensemble sous les cocotier jusqu'à ce que je crève? La vie n'est pas un film et tu vas devoir le comprendre Pripiat''

''Ah parce que tu crois vraiment que c'est ce que je pense? J'ai perdu tout ceux que j'aimais Berlin je sais pertinemment que la vie n'est pas un film''

''Alors garde t'es envie a chaud dans ta petite tête Pripiat'' Me cracha t-il à la tronche sens scrupule

Nos regards était perdu l'un dans l'autre, une veine ressortez sur le front de Berlin, ses muscles était tendu comme un fil à linge, ses battement de cœur c'était accélérais et sa respiration aussi, quand à moi mon regard était froid et impassible mes poing était serrez et mes dent coller les une contre les autres comme si je me retenez de dire des méchanceté que je regretterais, bien que je regrettais déjà cette conversation.
Nos regards restèrent l'un dans l'autre un temps qui parut une éternité, une éternité malsaine qui s'empirer plus on se regarder.
Dans ses moments là les être humains agisse de deux façon, première façon ils se séparent chacun de leur coter et évite de se croiser jusqu' la fin du braquage sou bien il perde la tête quitte à foncer vers un mur, son regard me traverse alors le corps comme une longue aiguille jusqu'à ce que l'on commette l'irréparable, ses lèvre se plaquèrent d'une violence encore inconnue sur les miennes, ses main se déposèrent dans mon cou et glissèrent le long de celui ci, sa respiration était forte la mienne aussi à bout de souffle nos lèvre se séparèrent et les sienne venue se déposer en dizaine de baiser sur mon visage et mon cou, mes main parcourais le dessin de ses formes, je n'arrivais plus à penser, à rien, tout nous échapper mais finalement est-ce que ce n'était pas ce que l'on voulez s'échapper? S'échapper de tout et vivre.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí🔫
Alors comment vous dire que je suis mega fière de ce chapitre? Non mais je sais pas pourquoi mais je l'aime beaucoup.
La grosse bise😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant