-171- Rebondissement

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Je suivais Nairobi dans les couloirs, elle soupira avant de prendre la parole.

''Tokyo et Rio ne sont plus ensemble'' M'annonça t-elle subitement

''Quoi? Mais...attend comment c'est possible? Pourquoi elle aurait fait tout sa, pour au final le quitter?'' Demandais-je parlant de Tokyo

''Non'' Me coupa Nairobi ''Ce n'est pas Tokyo, mais Rio qui la quitter''

Je m'arrêta surprise par cette double révélations, ce que Nairobi vis, elle haussa les épaules au ciel avant de reprendre la route, je fit de même.

''Alors sa c'est inattendue'' Dis-je surprise

''Ouais, autant que toi et Berlin'' Dit Nairobi en riant

''C'était plutôt logique nous deux
finalement'' Dis-je en repensant à se bon vieux temps ou tout aller bien

''Dit moi Pripiat'' Me dit Nairobi en s'arrêtant

Je la regarda et m'arrêta également, elle avais l'air soudainement assez perturber, ce qui m'étonner bien.

''Comment il est mort?'' Me demanda t-elle en plongeant son regard dans le mien

Je pris une grande inspiration, si bruyante que j'avais l'impression qu'on n'avait entendu que cela, je regarda alors Nairobi tristement et me souvenue du jour ou le professeur, les avaient appeler à travers un talkie-walkie pour leurs annoncer cet tragique nouvelle, nous n'avions plus de nouvelles de personnes, si ce n'est quelques une venant de Denver et Stockholm, il avait était étonné d'entendre le professeur les appeler, mais les prévenir étaient la moindre des choses, ils avaient tous connus Berlin, ils l'avaient aimer, détester ensemble, ils devaient savoir, le professeur avait contenue ses alarmes, ce qui était particulièrement dur, ils leurs avait simplement dit ''Berlin est mort'', simplement cela, à croire que la vie 'un homme ne se terminer que par cette phrase lourde, nous n'avions pas le temps de parler plus, d'expliquer, de raconter, ce jour terrible qui avait marqué nos vies à jamais.

''Je sais qu'il n'est pas mort de sa
maladie'' Ajouta alors Nairobi, voyant que je ne répondez rien

''Non en effet'' Dis-je avec le peut de courage qu'il me rester pour parler de lui ''C'est les flics qui l'on eu...tout sa à cause de moi et mon idée stupide de ramener Lisbonne au près du prof... c'était complètement con...les flics nous on retrouver, Berlin...Berlin était à la fin de sa vie, il trembler, baver...ce n'était plus l'homme puissant que nous avions connue...c'était un déchet humain, ceux que l'on vois dans des émotions triste...c'était horrible...il ne voulez pas mourir, pas à cause de cet satané maladie, il voulez mourir en héros, pas en connard, les flics son venue sur l'île, il ses sacrifier pour nous sauvez, encore une fois...c'était pas un enfoirée...c'était un connard'' Dis-je en soupirant, sentant les larmes me montez au nez ''Un connard qui m'a fait souffrir...
putain'' Soufflais-je en essayant de reprendre mes esprit

Nairobi me regarder décontenancer, elle ne savais pas quoi faire pour m'aider, ou tout simplement me consoler, mais il n'y avait rien à faire, la mort d'un proche ne se soigne pas, elle est comme une blessure, on change chaque jour les pansement, jusqu'à ce qu'une cicatrice se forme, et un jour, on tombe et cette cicatrice s'ouvre à nouveau, la mort est une blessure qui ne se guérit jamais.
Nairobi me lança un regard désolé et venue me prendre dans ses bras, elle me serra aussi fort qu'elle le pouvait contre elle, Nairobi avait un si grand cœur.

''Je suis désoler Pripiat'' Me chuchota t-elle ''Tu ne mériter pas sa''

Une fois mes nerfs calmez, on repris la route dans un silence pesant vers ce qui aller nous servir de bloc opératoire, je m'arrêta devant la porte du bureau ouvert et sécha les larmes qui continuer de coulez au creux de mes yeux, je devais me reprendre en mains maintenant, Nairobi me lança un sourire attendrissant, je pris à mon tour un sourire et entra dans la pièce, Helsinki et Denver me regardèrent tous deux, ils devaient sûrement voir que mes yeux était brillant et rouge, mais ils ne me dirent rien, Tokyo était au côté de Rio et le dévisager assez froidement du regard, je venue près de Rio et lui tendis un sourire qu'il me rendit, ce qui me frustré le plus, c'était de e pas pouvoir parler avec lui, Je pris alors des gant tout comme Nairobi et les enfila, les autres était déjà près, ils avaient déjà enfiler leurs tenues de chirurgien, un masque, un bonnet bleu, une combinaison.
On en avait conclu à la suite du dépeçage de cochon, qu'il valait mieux pour Rio que se soit Nairobi qui l'opère, pour ma part je m'étais plutôt ben débrouiller, du moins sur un animal mort, on peut dire que j'étais meilleur charcutière que chirurgienne, quand à Bogotá, il était bien plus douée pour les barbecue, sans compter Denver qui avait carrément couper le muscle du cochon.
Delhi qui était à nos coté, tenez dans ses mains le précieuse appareil, il le passa au dessus du ventre de Rio, Rio qui n'oser pas regarder ce que l'on faisait, mais l'appareil ne biper pas, Helsinki lui arracha des mains et descendis l'appareil vers sa cuisse , l'appareil ce mis alors à biper très discrètement, Helsinki déposa l'appareil en regardant Delhi d'un regard froide t pris alors une seringue pour endormir Rio, une fois Rio endormis, Nairobi pris une grand inspiration et plongea son scalpel dans la peau de Rio, je pris un coton pour essuyer le sang qui couler autour de la plaît, afin que Nairobi est une meilleur vue sur son scalpel, l'ambiance était assez étrange, j'avais l'impression qu'on enlever un rein à Rio, pourtant ce n'était qu'une petite puce, elle me demanda de sa main la pince, que je lui tendis, elle la pris délicatement, en faisant le moins de bruit possible, avant d'enlever cette toute petite puce, qui permettais au flic d'entendre tout ce que l'on disait, elle était réellement minuscule, Nairobi la fit tomber dans une petite soucoupe en fer, avant qu'elle ne recouse la plait de Rio, en se regarda tous, assez fier de ne pas avoir couper un nerfs, un muscle ou je ne sais quoi du corps de Rio, on mis alors le micro dans une boite qui empêcher soit disant les ondes, mais en soit je n'y croyez pas, tout ce que je savais c'est que la puce n'était plus dans Rio et qu'on pouvez désormais lui parler comme au bon vieux temps.
Je salua tout le monde et parti en direction des toilettes, on avais beau être des braqueurs on avais encore des problème d'être humain, et l'un des plus grand problèmes de toute femme était les règles, cette perte abondante de sang, qui pouvez gâcher tout sorte de situation, j'entrais dans les première biellettes qui venez et soupira en voyant cette marre de sang.

''Putain sa fait chier'' Soupirais-je

''Moi aussi je suis heureux de savoir que tu est dans les toilette Lara'' Ria Delhi

''Oh Delhi lâche moi, c'est pas le moment''Soupirais-je

''Quoi? On est frère et sœur, y'a rien de mal de parler au toilette tout les deux comme deux adultes mature''

''Mature? Pour ma part je ne me trouve déjà pas assez mature pour élever un gosse alors toi'' Dis-je en soupirant

''Moi quoi? Je suis très mature, j'ai toujours agis avec une certaines maturité''

''Ouais dénoncer sa sœur au flics, c'est très mature'' Dis-je en riant faussement

''Je ne t'es pas dénoncer'' Dit Delhi

''Oui c'est sa, et moi j'ai jamais coucher avec personne, je suis la sainte marie, pleine de grâce''

''Pleine de gras, sa oui, mais vierge, je n'y croirais pas une seconde'' Ria mon demi frère

''Ferme là!''

''Ça va je plaisante Lara, bon alors, pourquoi tu pense que je t'es dénoncer?'' Me demanda t-il soudainement sérieux

''Peut-être parce qu'après avoir dormi chez toi je me suis retrouvé dans un commissariat, sans compter que le flic était une aussi bonne balance que toi'' Dis-je en remontant la fermeture éclair de ma combinaison, jusqu'à mon cou

''Un flics? Depuis quand tu crois les flics?'' S'étonna Delhi

''Depuis que mon frère ma trahis'' Dis-je en sortant des toilettes sans écouter ce qu'il avait à me dire

Je soupira et descendit les marches jusqu'à me retrouver avec les otages.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà un peut beaucoup de rebondissements,
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant