-182- il fallait essayer

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C'était la merde, la vrai, nous étions entrain de nous faire attaquer par les flics, Nairobi était dans un état plus que critique, Raquel était morte, pire situation? Je ne voyais pas, pour la première fois nous faisions même face à la pire des choses, nous étions livrais à nous même, le professeur n'était plus le professeur mais Sergio, Sergio l'homme qui venez de perdre l'amour de sa vie, à moins que...non c'était impossible, c'était la merde.

''Il nous faut plus d'homme'' Suggéra Denver paniquer

''je vais chercher Bogotá et Helsinki'' Répondit Palerme

''Non pas Helsinki, pas maintenant'' Dis-je en me tournant vers Palerme

''Ferme là la Russe on t'as rien
demander'' Disait-il en partant

''Je sais pas ce qui me retiens de foutre une balle dans le crâne!'' Hurlais-je à Palerme

''L'audace'' Répondit Gandia

Je le fusilla du regard, mais Denver me rappela à l'ordre, on avais plus important à faire là tout de suite.

''Séoul! Montréal! Emmener les otages dans la pièce d'à côté! Vous laisser les flics ici, on vas sûrement en avoir besoin, Delhi prend ton arme!'' Ordonnais-je

Je tourne la tête vers les escaliers et vis Tokyo et Palerme descendre, une grosse mallette à la main, je soupire et regarde alors les flics.

''Palerme! J'ai une idée'' Lui dis-je soudainement

''Ouais, bah pas maintenant''

''Écoute moi, on peut leurs rendre leurs agent, là maintenant'' Dis-je comme persuader que sa ferais quelques chose

''Non, on a pas le temps''

''Si je te jure que si, on dois juste en convenir avec eux''

''Et comment tu fait petite maline?'' Me demanda Tokyo en posant la mallette

''En les appelant'' Dis-je en courant vers l'escalier

Je courez aussi vite que notre vie en dépendez, il n'était peut-être pas trop tard, je devais simplement prendre le téléphone que Nairobi avais, et composer le seul numéros qui devait être enregistrer dessus, ensuite...ensuite je verrais quoi faire, en bas la tension montez, j'entendais Palerme donner des ordres en hurlant sur les otages, tendis qu'à la porte en face de moi, je pouvez entendre la panique et les cries de Nairobi, une fois la porte franchis je chercha du regard se foutue téléphone.

''Ou est le téléphone?'' Demandais-je sans me faire entendre

Je tourna le regard et le vis au sol, je couru vers celui ci et le déverrouilla, je tomba alors aussitôt sur le seul numéros qui était dessus, j'appuyais sur le bouton et entendis la première tonalité, puis une deuxième avant qu'une voix de femme ne se face entendre à l'autre bout.

''Oh quelle étrange appel? A qui est-ce que j'ai affaires?'' Demanda la voix de cette dernière

''On vous rend vos hommes'' Dis-je subitement

''Lara Akimov'' S'écria t-elle ''Quelle chance d'avoir une telle star au téléphone, vous étiez heureux de votre cadeaux? J'ai mis du temps à le trouver celui la''

''On ne peut plus heureux, si vous saviez à quelle point votre ours en peluche remue nos troupes vous serez étonner''

''Je suis heureuse que ça vous fasse t'en plaisir''

''Et je voudrais vous rendre l'appareil pourquoi est-ce que je ne vous renverrais pas trois de vos hommes?'' Dis-je en regardant par la fenêtre

''Hum...non''

''Un cadeaux ne se refuse pas'' Ajoutais-je

''Alors vous allez accueillir celui que je vous envoie les bras ouvert''

''Oh ça oui, mais vous nous gâter vraiment trop, alors peut-être que vos agents devrais revenir avec un autre présent, comme par exemple une ceinture explosive, j'ai eux, une incroyable discussions avec Suarez, sur le fait qu'il n'était qu'un de vos petit toutou, si vous tenez un minimum à eux, arrêter tout de suite votre blindé'' Dis-je voyant qu'ils avaient démarré

Je sentez mon cœur battre, en bas sa devais être la panique, dans toute la pièce c'était la panique autour de Nairobi, et moi j'étais là au téléphone avec la pire femme de ce pays, en train de faire une chose que je n'avais jamais faite de toute ma vie, négocier.

''N'y penser même pas'' Me répondit alors la femme

''Bien, alors vous expliquerez au enfants de ses hommes qu'ils sont morts pour vous et votre système de merde''

''Tu serais incapable de tuer ne serrait-ce que l'un d'entre eux, je connais ton parcours Lara, tu te fait passer pour la forte du groupe n'est-ce pas? Pourtant tu est faible non?''

''Ouvre bien tes oreilles connasse''

Je partit alors dans l'autre sens en prenant soin de ne pas raccrocher, je ne savais même pas si le blinder c'était arrêter ou non, tout ce que je savais, c'est que je tenez un bon cape, ou tout du moins j'essayais, Palerme me regarda descendre les escalier deux par deux, ne comprenant pas ce que je préparer. Je colle alors le téléphone à l'oreille d'un des hommes de Suarez.

''Ton nom!'' Lui ordonnais-je

''Da...Da Silva'' Répondit-il timidement

''Écoute moi bien Da Silva, tu vas décrit chaque chose que je vais faire compris, j'ai votre petite maman au téléphone''

Je pris mon arme en main, Da Silva déglutit en voyant cette dernière pointer sur son front.

''Elle...elle braque son arme sur moi'' Dit-il apeurer

Je repris alors le téléphone.

''Annule ta mission ou se mec vas crever'' Dis-je toujours en pointant mon arme vers le flics

''Pripiat qu'est ce que tu fou! Arme en mains! Tout de suite'' Hurla Palerme ''Oh putain, Tokyo prépare toi''

''Bien tu l'aura voulue''

Je pressa la détente, il y eut un bruit sourd, qui traversa toute la pièce, je raccrochai en lisant mon arme tomber à mes pieds.

...
Bonjour, bonsoir mes petits Dalí 🔫
Bon ne vous avoue je suis pas fan de ce chapitre 😭 mais bon il en faut des moins bons hein, bref sinon j'ai voulue dégager les hommes de Suarez mais pas Suarez 😏
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant