-85- Parti 2

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6 mois après le casse

Le soleil venez tout juste de se lever et taper sur mon corps couvert d'un simple draps blanc, un sourire se forma sur mes lèvres lorsque je vie la vue qui s'offrait à moi, les rideaux danser au rythme de la braise du vent, la porte fenêtre qui menez droit sur la plage, son sable blanc et ses vagues bleu si douce et assis sur un tabouret face à un chevalet se trouver Berlin, tout les matins il se lever et passer une à deux heures devant se chevalet, parfois je l'entendez s'énerver sèchement, ses mains trembler continuellement l'empêchant de peindre, il avait de plus en plus de mal à vivre comme les gens normaux, à cette penser, je me souvenue que le temps nous étaient compter d'autant plus maintenant cela faisait cinq mois que nous étions sur cette longue plage et la maladie qui faisait entièrement parti de lui le ronger à une vitesse terrifiante.
Je me leva et enfila une robe de chambre qui se trouver sur une chaise, je sorti de la chambre en sa direction, ma main se posa sur son épaule le faisant légèrement sursauter.

''Silencieuse comme le vent'' Me dit-il un sourire crisper au lèvres

J'embrassai son front et regarda la toile qu'il peigner, les traits étaient tremblants et vagues, on distinguer une plage mais le reste était flou ce que Berlin avait dû remarquer puisqu'il soupirait en déposant sont pinceau dans le verre d'eau colorer de bleu.

''Fait chier'' Grinça t-il

Je soupira et enroula mes bras autour de lui.

''C'est pas grave'' Lui murmurais-je à l'oreille

Mais le caractère de Berlin était aussi tremper que le miens, ne pas réussir une chose qui lui paraissez aussi simple le mettait dans une colère folle, il me poussa doucement et se leva, ses jambes aussi trembler depuis quelques jours et marcher, devenez pour lui plus compliquer que pour un enfant de 2 ans.
Il entra dans la chambre me laissant dehors, je regarda la toile une dernière fois en soupirant.

''Berlin attend'' Dis-je en partant vers la chambre

Il était face au miroir et enlever la montre qui briller sur son poignet, il se dévisagea un long moment dans le miroir, je me demander bien ce qui pouvez lui passer par la tête à ce moment, son regard dans le miroir fini par tomber sur moi, moi adosser à l'encadrement de la porte, les bras croiser sur ma poitrine, je ne savais pas quoi lui dire pour qu'il se sente mieux, que dit on à un homme qui approche de la mort pour le rassurez?

''Lara'' Dit-il d'un ton grave ''Je ne veux pas mourir comme tout le monde''

''Ne dit pas n'importe quoi'' Dis-je en soupirant

Je détestais parler de sa mort, sa mort qui me ruinerais la vie, au début tout était beau, tout était parfait, Berlin était le Berlin que j'avais connue dans la fabrique, un homme plein de vie, parfois égocentrique, un homme au charisme renversant, au début tout était beau, puis cette putain de maladie qui n'aurez pour fin qu'une longue mort douloureuse avait pris une place beaucoup plus grande, avec elle était arriver une centaine de questions, dont une qui me terroriser, qu'est ce que je ferais ensuite? Je resterez sur cette île en compagnie du Prof? Qu'est ce que j'allais foutre de tout se pognon? J'allais me retrouver face à moi même et cette idée d'être seule à nouveau me donner des frissons.

''Lara il faut qu'on se mettent face à la réalité'' Dit-il se tournant vers moi ''Notre éternité vas prendre fin dans les mois ou semaines qui vont suivre''

Ne pouvant tenir debout encore longtemps il s'approcha tremblant de la tête au pieds sur une chaise comme un vieillard, ses genoux s'entrechoquait, il serra les dents en tenant sa main droite qui trembler comme une feuille face au vent.

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant