-170- Golden retriever

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Tokyo et Rio, étaient désormais tous deux dans la salle de bain, je venez tout juste de finir de nourrir Suarez sous le regard de Gandia qui n'avait qu'une seule envie, me faire manger ses menottes en pleine dents, mais malheureusement pour lui, c'était impossible, je regarda alors Suarez.

''C'est bien Suarez, tu comprend vite'' Lui dis-je en lui tapotant le crâne

''Je voudrais parler'' Me dit-il

''Ah tu voudrais parler? Je ne sais pas si c'est faisable'' Lui dis-je en souriant

''J'ai fait tout ce que vous me demandez, alors maintenant c'est à votre tour de faire quelques chose pour moi, non? Ce n'est pas comme ça que sa marche? Soyer gentille et obéissant avec moi, et vous aurez des privilège?''

Je fus assez surprise qu'il me ressorte cet phrase, avant de lui tendre un sourire.

''Alors allons y?'' Dis-je en enlevant l'une de ses menottes

J'emmenai Suarez jusque dans un bureau, Berlin m'avait sûrement redonner sa passion, mais jamais discutez sérieusement dans un bureau, sa donner un certain charme à la conversation, je referma la porte derrière moi et lui fit voir une chaise en face d'un bureau, je pris place derrière celui ci, en m'asseyant sur le fauteuil en cuire, je me sentis soudainement supérieure, comme je ne l'avais encore jamais était, je crois mes bras sur ma poitrine voyant que Suarez c'était assis.

''Alors comme sa, tu a des chagrin à me raconter Suarez?'' Lui demandais-je

''Des chagrins? Pour qui est-ce que vous me prenez? Un de ses otages à la con qui chiale depuis le début?'' Dit-il presque agressivement

''Je tiens au respect de tout le monde Suarez, même les otages les plus émotif, ils ont leurs raisons, qu'est ce que t'as à me dire''

''Faites sortir mon équipe'' Me demanda t-il

Je le regarda et laissa échapper un petit rire.

''Tu pense que, parce-que tu donne la patte quand je te le demande tu vas avoir une récompense? Tu sais comment mon père dresser les chiens chez nous?''

Il voulut répondre, certainement un grand non, mais ici, c'était moi qui était au commande, je me leva alors de mon siège et repris mon récit.

''Mon père était une enflure, d'ailleurs vous deviez bien le connaître, non?'' Demandais-je à Suarez sans même le regarder

''Oui'' Répondit-il

''Un braqueur de bas étages, ils c'est contenter de braquer des banques, je pense que mon père ne voyait pas les choses assez grandes, alors que moi, je les vois toujours aussi grande, j'ai des rêves de grandeurs tu vois Suarez? Enfin reprenons en sur les clébard, mon père avait trouver ce chiens, un bâtard noir au oreille bouffer par les mite, c'était un chiens aussi laid que son prénom, mais il obéiser toujours, mon père dresser ses chiens sans aucune récompense, tu sais ce qui les pousse à obéir?'' Dis-je en regardant Suarez, qui ne savais quoi répondre ''La faim, un chien, ce n'est pas un animal débile, au contraire'' Dis-je en m'approchant de Suarez ''Un chien, comprend une chose, si il fait ce qu'on lui ordonne, le soir il a c'est croquette, le stricte minimum, juste de qui se nourrir, un jour, mon père à commencer à lui donner des friandises, quelques morceau de gras de cochon par si et par là, tout sa entre les repas et un jour, ce bâtard à tuer un de nos moutons, il lui trancher la gorge, tu sais pourquoi Suarez?'' Demandais-je ''Parce-qu'un chien a qui on donne trop de chose, fini toujours par ce croire plus fort qu'un humain'' Lui dis-je en m'asseyant sur le bout du bureau ''Alors est-ce que je veux que tu finisse par tuer l'un de ses moutons? Non, donc je me vois refuser ton offre''

''Je ne suis pas ce bâtard de clebs et je ne tiens pas à l'être'' Me dit-il avec rage

''Non, Suarez, voyons je n'insinue pas que tu est un bâtard, non toi tu est plutôt un Golden retriever, tu sais c'est chien à la belle robe beige, quoi qu'il se passe tu est au petit soin pour ton maître, la police te demande d'aller tuer quelqu'un, tu y vas volontiers, même si tu sais que c'est mal, ton maître c'est ton dieu, voilà ce que tu est Suarez, le petit toutou de la police''

Il se leva alors, me toisant du regard, énervé par-ce que je venez de dire.

''C'est vrai, regarde autour de toi Suarez, qui? Qui est en train de négocier pour que tu retourne au près de t'es maître? Personne? Tu est ce splendide Golden retriever, qu'on offre à des gamins pour Noël, qui fini par grandir et tu sais qu'elle heure il est? C'est l'heure des vacances, alors on te lance une petite balade dans une forêt et on te laisse y crever'' Dis-je près de son visage ''Et bientôt ce sera Noël, alors il reprendrons un petit Golden, qu'ils jetteront à nouveau''

Nos regard était tout deux froid et pleins de rage, Suarez aurait pu me fracasser la tête contre le bureau ou m'étrangler avec ces chaînes, mais il ne fit rien, parce que la différence entre les chiens éduquer de race et les bâtard qui vivent dehors, ses que l'un vie seul et l'autre en groupe.

''Alors non, t'es collègue resterons ici, même si il doivent crever, ce n'est pas négociable'' Lui dis-je

''Je veux parler avec le professeur'' Me dit-il froidement

''Et moi je veux que tu retourne t'asseoir'' Lui dis-je

On ne se lâcher pas du regard, comme deux loup se chamaillant pour une dinde morte, quand la porte s'ouvrit violemment derrière nous sur Nairobi, elle nous regarda un court instant étonné avant de prendre la parole.

''Putain Pripiat qu'est ce que tu fou?'' Me demanda t-elle en soupirant

''Je m'entretiens avec Suarez sur un histoire de chien'' Dis-je en lâchant le regard de Suarez

''Une histoire de chien?'' S'étonna t-elle ''Et bordel Pripiat, on a autre choses à faire que de parler de clébard, les petites vacances sont terminées'' Me dit-elle

''Tu entend sa Suarez? Les petites vacances sont terminées, alors on retourne à la niche et plus vite que sa''

Il serra son poing, ce qui me fit sourire et je l'entraîna avec moi jusqu'à la bard de fer, ou je l'attacha, près de Gandia qui lui lancer des regards noir.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'ai adorer écrit ce chapitre !!!! Me demandait pas pourquoi j'en sais rien
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant