-107- La fin de temps?

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Lorsque le temps nous est contée on appréhende chaque jour, chaque matin, chaque nuit, chaque heure, chaque minutes, chaque secondes est un supplice car peut être est il le dernier, on pense tous au dernier jour mais on ne sait jamais quand il sera là, on aimerais tous être fort et digne au moment de se dernier jour en notre terre mais il n'en sera rien car le dernier jour la peur nous paralyse, l'angoisse nous enferme dans une bulle loin de tout et le temps qui nous était si cher ne deviens plus rien qu'une longue durée de douleurs et de peur dont rien ne compte plus.
Mes yeux s'ouvrir dans une vitesse même que le soleil me brûla les pupilles, je déposa ma main sur ma poitrine sentant mon cœur battre à toute allure.
J'étais seule, seule dans mon lit et dans ma chambre, je sortit aussitôt du lit en laissant le draps voler sur le sol de la chambre, je traversa la maison cherchant Berlin mais il n'étais pas là, il n'y avait personne, lorsque je sorti sur la plage, le sable bouillonnant me brûla les pieds mais j'étais si perdu que je ne me soucier pas de la douleurs que cela me provoquer, je tourna la tête à gauche, puis à droite.

''Pripiat'' Criais le professeur en me souriant

Il était là, assis sur la terrasse du professeur, en face de lui le professeur tenez l'épaule de Raquel qui quand à elle tenait dans ses bras une toute jeune fille, ses cheveux long était plaquer dans son dos par la main de sa mère.
Une semaine s'était écoulé depuis notre retour de Russie, une semaine longue mais surtout si dur, on avait doublé les doses de médicament de Berlin, il ne tenez plus debout, c'était devenue très rare de le voir se tenir juste droit sur une chaise, il ne parlez presque plus, trembler la nuit, vomissais...et cela durant une semaine entière, la peur était devenue ma seule amie, mais à notre retour de Russie le professeur avait décidé de faire passer la mère et la fille de Raquel dans notre pays contre l'avis de son frère, et elles étaient toute deux ici, arriver sûrement de ce matin, la mère de Raquel était au bord de l'eau tendis que la fillette humer l'odeur rassurante de sa mère.
Je repris mon souffle en soupirant de joie voyant que Berlin était encore parmi nous, j'avais rêver encore une fois de sa mort, c'est cauchemar était de plus en plus fréquent à mon plus grand malheur.
Je pris ensuite ma route sentant mon cœur se calmer.

''Bonjour'' Dis-je en regardant l'enfant

''Paula, je te présente Pripiat'' Dit Raquel en tournant le regard de sa fille vers moi

Je lui fit un sourire et me mis à sa hauteur en regardant son beau visage encore innocent

''Bonjour Paula, ton voyage c'est bien passer?''

''Oui'' Répondit-elle timidement

Je me redressa toujours en souriant à la fillette avant de me tourner vers le professeur.

''Le voyage c'est bien passé?'' Demandais-je avec un sous entendu sur le prof compris

''Très bien, le passeur à était payer, il ne parlera pas''

J'hochai la tête avant de regarder Berlin en soupirant.

''J'ai eux peur la prochaine fois que tu te lève réveille moi''

Il soupira pour toute réponse et pris son verre dans sa main avant dans boire le contenue.

''Maman attend'' Dit Raquel apeurée

On tourna tous le regard vers la mère de Raquel qui venez tout juste de plonger dans la mer sans se soucier de ses vêtement propre, Raquel pris une serviette qu'elle enroula autour de sa mère la faisant sortir de l'eau.

''Maman tu a encore t'es vêtements!''

''Je sais chérie je veux juste profiter de cette eau, tu a vue comme elle est belle?''

La mère de Raquel écarta les bras comme le messie les écartait pour franchir la mer mais ma plus grand priorité n'était autre que Berlin, il se tenait le ventre et faisait des grimace, je m'approcha de lui.

''Hey, ça ne vas pas?'' Lui demandais-je d'une voix douce et calme

''A ton avis? Non rien ne vas plus j'en est marre'' Dit-il en se levant le poussant de sa main sous le regard de professeur

Je soupira avant de me frotter le front regardant Berlin entrer dans notre maison en titubant comme un homme bourré, pourtant bourré il ne l'était pas, il ne pourrez plus boire un verre d'alcool même pas un verre de cidre, il ne pourrez plus manger gras, salé, sucré...à vrai dire les médecins lui interdisait même de boire trop d'eau.

''Tu devras peut être aller le voir'' Me suggéra le professeur

''Oui tu a probablement raison Sergio...''

Je ne voulez pas, je ne voulez pas le rejoindre à chaque fois qu'il aller mal et que j'avais le malheur de rester près de lui je me faisais engueuler comme du poisson pourris, Berlin enfin Andrés n'aimais pas montrer ses faiblesse, il voulez rester digne et j'avais l'impression que plus le temps passer pire ce serait.
Je pris finalement mon courage à deux mains et entra dans la maison, il était allongé dans le lit tremblant comme une feuille, la sueur perler son front, il faisait une sorte de crise de foie, une fois par jour nous y avons le droit et ceux depuis trois jours, il vomissait, trembler, avais parfois même de la fièvre c'était les médicaments qui le détruisait de l'intérieur d'après les médecins.
Je parti chercher un gant de toilette que je passa sous l'eau froide avant de venir à ses côtés, il venait tout juste de laisser tomber son verre d'eau sur ses vêtements et râler contre lui même.

''Calme toi c'est pas grave'' Dis-je en me voulant rassurante

''Que je me calme? Tu es vraiment qu'une sale petite conne Pripiat''

''Oui je sais on vas changer ton t-shirt plutôt''

La rage qui l'emparer, il la déverser sur moi mais je n'y prêter plus attention, je savais qu'il ne le pensez pas, je savais que jamais il n'aurait pu dire que j'étais une petite conne sauf si ce n'était durant le braquage pour se valoriser auprès des autres mais jamais dans l'intimité il ne m'aurait traiter comme sa.
Il posa sa main sur son crâne et sens prévenir il se mis à vomir sous mon regard déstabiliser, je soupira à nouveau et me frotta le crâne, je voulais partir maintenant, j'en avais assez vue, mais une chose me retenait, je l'aimais, je l'aime et je l'aimerais, jamais je ne pourrez le laisser seul alors je pris la bassine verte pomme qui se trouvez non loin de moi et lui tendis afin qu'il ne vomisse pas trop sur le carrelage que je serais forcé de nettoyer, peut être que je devrais engager une aide ménagère maintenant que Berlin ne pouvez plus rien faire a part peut être vomir et râler, pourtant à notre retour de Russie nous avons passer deux merveilleux jours, tout aller pour le mieux, nous profitons des plaisirs charnelle comme jamais on n'en avait profité, on s'aimer peut être que entre éternité était celle-ci finalement?
Je m'essaya à ses côtés et caressa son dos en le regardant droit dans les yeux.

''On devrais changer ton t-shirt t'es pas très beau comme sa'' Dis-je en me forçant au plus profond de moi pour faire un sourire faux

Il hocha la tête en s'essayant le coin des lèvres avec ce même t-shirt qui finirais à la poubelle.
Une fois son t-shirt changer les vomissement reprirent et se durant 4 longue heures, 4 longues heures à le regarder se détruire.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí  🔫
Je suis désoler du retard de poste mais avec la tempête j'avais plus de wifi! Et puis j'étais chez ma tata toute la journée donc je pouvez pas poster .
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant