-195-Le boum plus fort que le Ciao

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Je voyais dans le regard de Palerme qu'il hésiter, sûrement à tout faire péter et partir ou tout simplement à écouter de ce que je lui avais dit, mais s' il choisissait la deuxième option, alors nous allions devoir surveiller de près Palerme.

''Tu pense pouvoir me tuer? Allons Pripiat ne te prend pas pour ce que tu n'est pas'' Soupira Palerme

''Je ne joue pas là'' Dis-je avec rage

''Moi non plus, les deux bombes à t'es pieds devrait te mettre en garde non?''

Je baissa le regard vers le carrelage ou était déposé deux bombes, je compris très rapidement qu'elles étaient toutes deux reliées à la télécommande de Palerme, un sourire se dessina sur mon visage avant qu'un rire ne se fasse entendre.

''Arrête ton cinéma Palerme, si tu fait sauter c'est deux petites bombes, non seulement tu me tuera, ce qui me dérangerais fortement mais de plus tu a une chance sur milles de rester toi aussi vivant?''

''Palerme'' Hurla Helsinki

Palerme tout comme moi détournions le regard vers Helsinki qui descendait les marches presque deux par deux.

''Oh génial!'' S'écria Palerme ''Il ne manquait plus que la princesse idiote! Alors on est venue dire adieu à son prince c'est ça? Un peu de dignité bon dieu Helsinki'' Hurla Palerme

''Où est-ce que tu vas? '' Lui demanda Helsinki en oubliant ce que Palerme venait de lui
dire ''En prison? Recevoir une balle en pleine tête? Vendre tes petits camarades?''

''Non non j'ai un plan pour sa'' Coupa
Palerme ''J'emporte avec moi des documents classés secret d'état, je ne te trahirais pas t'inquiète, elle par contre je ne promet rien'' Dit-il en me fixant d'un regard fusillant

''Palerme, Parti c'est trahir'' Dit Helsinki en s'approchant de moi ''Nous laissant tout seuls, c'est de la trahison''

''Non!'' Hurla Palerme faisait hurler les otages apeurer ''Ne bouge plus mon gros, je n'est pas envie de te tuer''

Helsinki était en effet à mes côtés, si Palerme pressait le bouton qui était sur la foutue télécommande, Helsinki tout comme moi allions exploser comme une pignada à un anniversaire d'enfant.

''Tu veux pas me tuer?'' Demanda Helsinki presque en défient Palerme

Je fut alors surprise de voir Helsinki passer devant moi, Palerme sembler impuissant fasse au geste d'imprudence d'Helsinki.
Il prit alors l'une des bombes dans ses mains, je le regarda faire avant de tourner mon regard vers Palerme, ce dernier se mordait les lèvres, si fort à mon avis, qu'il aurait pu se les couper.

''Bah pourtant il vas bien falloir'' Dit Helsinki en partant vers la deuxième

''Arrête de faire le con Helsinki'' Lui demanda Palerme avec une voix chevrotante

Ou était donc passé le boum boum ciao?

''Si jamais tu sort d'ici Palerme, je te jure, que se sera au sens propre que ça fera'' Dit-il avant de marquer un arrêt ''Boum! Boum ciao''

Palerme était comme démunis face à ce qu'Helsinki lui disait, il en avait presque les larmes au yeux, petit à petit je baissa mon arme tendis qu'Helsinki s'approchait dangereusement de Palerme.
Les deux hommes étaient désormais à quelques centimètres l'un de l'autre, autour de nous un silence pesant régnait, tout le monde crégner le pire, car tout le monde savaient que Palerme était capable du pire.
Helsinki s'approcha alors rapidement vers lui avant de le prendre sans ses bras, Palerme fit alors tomber la télécommande au sol, avant d'embrasser le cou d'Helsinki, Tokyo et moi échangions un regard remplis de beaucoup de penser, mais une chose était sûr Palerme était seulement calmer, la bombe avait été stoppé mais pas désamorcé.

''J'ai les menottes'' Hurla presque Séoul en arrivant vers nous en courant

''Palerme c'est pour ton bien'' Lui dit Helsinki d'une voix douce

''Non mon gros'' Lui dit Palerme larmoyant

Mais il n'eus le temps de se défendre qu'Helsinki lui avais enroulé les menottes en fer autour des poignets.

''Je suis désolé'' Lui murmura presque Helsinki

''Aller viens Palerme'' Lui dis-je en venant vers lui ''On vas t'asseoir sur une chaise, tu sera plus confortable'' Dis-je presque avec des remord de devoir l'attacher comme un prisonnier de guerre

On l'emmena jusque sur une chaise de bureau qu'avais ramener Delhi pour discuter avec les filles lorsque je ne pouvez pas surveiller les otages et on le mis alors au coté de Suarez, Gandia et tout les autres, histoires qu'ils ne soient pas seul dans on coin, mais nous avions fait sûrement la plus grave des erreurs à ce moment, la stupidité avait frapper cruellement et nous allons en payer les pot casser.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce petit chapitre en espérant qu'il vous aura bien plus.
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant