Le casse du siècle [Part 1]

-199- Sorti

''Coucou petit message avant le chapitre, pour vous dire que nous sommes à la fin du livre, je vais donc devoir créer un nouveaux livre pour poster la suite, il aura la même couverture et le même nom, une fois l'histoire fini je remettrais tout sur celui là, mais pour le moment je ne peut pas faire autrement, donc penser à aller chercher la suite sur mon compte pour ceux qui veulent''

...

Une nuit entière c'était écouler, nous avions eu le temps de discutez avec les autres du départ de Suarez, Nairobi quand à elle était toujours stable, le calme régner en se beau matin, Monica avais emmener Suarez se préparer dans les toilettes, je décida donc d'aller le voir avant qu'il ne parte, je poussa la porte des toilettes Suarez était fasse au miroir, vêtu d'un costume noir, il était en train de boucler sa cravate sans prêter la moindre attention a bruit de la porte.

''Alors comme ça, tu nous quitte aujourd'hui Suarez?'' Lui demandais-je en souriant

''Il faut croire que oui'' Dit-il en passant son gant de toilette sur son visage

''J'espère que tu aura était bien traiter, toi et toute ton équipe, c'est important pour moi,que mes otages se sente bien et alaise''

''Tu veux que je note ta performance sur un site web?'' Me demanda t-il en riant

Je me mis à rire aussi, finalement, je devais avouer que ne plus avoir Suarez dans nos rangs aller me manquer, c'était un otage digne de ce nom, respectueux et même assez agréable pour un flic.
Il déposa le gang de toilettes sur le rebord de levier et me fixa de ses yeux noir, je soupira avant de me diriger vers la sorti.

''A un de ses jours Suarez, peut-être qu'on se recroisera dans un braquage'' Dis-je en laissant échapper un petit rire

''Lara'' Me coupa t-il

Je fut surprise d'entendre mon prénom, cela faisait un petit moment que j'avais appris à ne plus l'entendre, même Delhi ne m'appelez plus comme sa, i n'y avais qu'une personne qui m'appelait par mon prénom, Berlin, je sentis un pincement au cœur.

''On ne se quitte pas, mais en tout cas j'ai appris beaucoup à vos coté'' Me dit
Suarez ''Nairobi, Helsinki, Denver, toi et même Palerme, êtes des gens bien''

Je tourne alors le regard, Suarez ce tenez au coté des lavabo.

''Je pense qu'il n'y a ni méchant, ni gentille'' Ajouta t-il en me surprenant ''Passer du temps avec vous tous, ma permis de mieux voir qui vous étiez, pourquoi vous aviez fait sa, je pense que j'ai appris beaucoup plus à vos côtés, qu'au coté de Prieto et de tout ce bordel, je comprend mieux pourquoi Raquel vous à rejoins''

''Et alors quoi? Tu veux nous rejoindre toi aussi? Le grand Suarez de la police criminelle espagnol?'' Dis-je en riant, pensant que Suarez aller nous trahir une fois dehors

Il me regarda étrangement, je restais bête un cours instant, est-ce qu'il y penser réellement? Non c'était impossible, Suarez était un agent des forces de l'ordre et de plus l'un des plus important, il aimer son travaille, sa c'était vue la première fois qu'il était entrée ici, sa seul volontiers était de tous nous tuer, les uns après les autres, change d'avis est bien entendu possible, mais pas quand on est Suarez, c'est comme si Gandia, ce sale fils de pute, ce rendez compte que nous n'étions pas des méchant, pourtant le regard de Suarez voulez en dire beaucoup.

''Suarez, je pense pas que ce soit une bonne idée, tu est habituer à défendre l'état, les lois, les règles qu'on nous impose, nous on est ceux qui les brises, il y a une trop grosse différence entre nous''

''Pourtant Raquel vous a rejoint, elle était l'une des meilleures du métier, si ce n'est la meilleure, mais ou est-elle en se moment même? Avec le professeur, du moins elle l'était, peut-être que c'est vous qui avais raison, les lois on parfois besoin d 'être réajuster, tu ne mérite pas la peine qu'on te donne'' Me dit-il me surprenant une nouvelle fois

''Et pourquoi je ne mériterais pas? J'ai tuer un homme'' Dis-je en soupirant

''Pour ta défense, lorsque l'on tue quelqu'un, nous gens de la police c'est aussi pour notre défense ou celle de milliers de gens'' Me dit-il en venant vers moi ''Toi et moi on est pas si différent, on veut des lois, des lois pour tout le monde''

Je soupira, Suarez ne se rendez sûrement pas compte de ce que c'était d'être à notre place, nous n'étions pas des simples braqueurs, plus depuis notre gros coup à la fabrique, nous étions bien plus, nous étions désormais des héros, des aldins.
Il s'approcha de moi, à tel point que nous étions face à face, seuls quelques petits centimètres nous séparaient l'un de l'autre.

''Dehors rien ne m'attends, aucune femme, aucun enfant, seul la justice'' Me dit-il en me fixant droit dans les yeux

''Et la justice ne te conviens plus?''

''La justice qui est établie n'est pas celle que l'on mérite, j'ai discutez avec Monica, enfin Stockholm, j'ai parler avec elle, pourquoi est-ce qu'elle est devenue braqueuse, pourquoi est-ce qu'elle tenez tant à votre groupe, je veux en faire parti désormais'' Me dit-il passant sa main sur mon épaule

Je regardai cette main, avec la ferme envie de la pousser, mais ne fit pourtant rien, Suarez avait une sorte de contrôle, très désagréable.

''Suarez'' Dis-je avant qu'il ne me pousse contre la porte ''Arrête maintenant'' Lui demandais-je

''Pourquoi? Pourquoi arrêter?''

Sa main effleurait désormais ma poitrine, je ne me sentez pas alaise, mais ce n'était pas si désagréable, ses lèvres frôlèrent les miennes dans des soufflement chaud, jusqu'à ce qu'il ne se décide à les poser contre les miennes, on échangea alors un baiser étonnement tendre, durant un court instant je ne sentis rien, comme si je m'était échapper de se monde, ses mains glissière tendrement sur mes hanches, nos bassins se colère l'un à l'autre,son torse contre ma poitrine, nos cœurs battants au même rythme comme deux complémentaire

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Du coup je vous donne RDV demain, sur un tire livre.
La grosse bise 😘