-132- L'herbe humide

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~ 2 mois plus tard ~

Demain, demain serait un grand jours, nôtres jours, nôtres déclaration de guerre à l'état Espagnol, on avait travaillé durant 2 mois sans relâches, deux mois riche en émotions, hier nos ballons étaient parti déversant les habitant de millions de billets qui avait volés dans les aires avant que le professeur n'annonce notre retour, notre besoin de soutiens.

''Professeur'' Demanda Nairobi en faisant tourner la salade autour de la table ''Vous pensez réellement que nous sommes près?''

''Oui'' Répondit Tokyo à la place du professeur ''Nous n'avons plus le choix maintenant, Rio nous attend''

Le professeur acquiesça, alors était on réellement près? Non, personne ne peut être réellement près pour faire un braquage à l'envergure de celui ci, c'était du suicide mais un suicide intelligent.
Le repas se continua dans le calme le plus total, nous étions tous dans nos pensée, pensée tourmenté par la peur, l'excitation, l'angoisse...toute sorte d'émotion qui nous faisait trembler, rire, pleurer...
Une fois le repas fini tout le monde partit dans sa chambre, la veille d'un casse la seule choses que l'on a envie de faire c'est de ce retrouver seule face à soit même pour faire le vide, se vider de tout ce torrent d'émotion qui ne pouvez être qu'une gêne pour nôtres dur travaille, je me dirigea vers le jardin pour me ressourcer avec ma fameuse bouteille de vodka, c'était devenue mon habitude, boire un verre ou deux avant pour calmer ses démons qui se réveiller en moi.
Je m'essaya sur l'herbe fraîche en regardant la fontaine en face de moi, elle était magnifique.
Mais assise ici dans cette herbe humide ne fit que lâcher à nouveau mes démons, le dernier casse, la dernière nuit je l'avais passer avec lui, une nuit qui c'était voulue être finalement une courte éternité, je sentis une larme glisser délicatement sur ma joue.

''Pripiat?'' M'interpella l'homme à l'accent prononcé

Je tourna la tête vers lui et lui fit un faux sourire, heureusement la nuit cacher bien cette larme salé, Marseille se trouver au côté des pilier en pierre et fumer une cigarette qui sembler le calmer.

''Qu'est ce que tu fais dans l'herbe
mouillée?'' Me demanda t-il sans un sourire

''Je sais pas, je regarde la lune, les étoiles une dernière fois''

Il hocha la tête et venue vers moi, je passer souvent mes nuits au côté de Marseille, nous restions assis sur un banc, un mur ou même au sol à regarder le ciel, Marseille ne parler pas beaucoup en réalité j'en savais autant sur lui que sur le boulanger de la ville, mais sa compagnie était agréable, il ne posé pas de questions et se contenter de fumer cigarette sur cigarette sans dire un mots.
Il veut s'asseoir à côté de moi en terminant sa cigarette.

''Un peu de vodka?'' Lui demandais-je en présentant la bouteille bien entamée

Il hocha négativement la tête, alors je me servis un nouveau verre que je bue dans la minute qui suivit sous le regard de Marseille.

''Demain c'est le grand jour alors'' Dis-je ne voulant pas de se silence ce soir

''Oui''

''Pas trop stresser?''

''Non''

Marseille n'était pas bavard il en était même loin, je soupira intérieurement et resta à fixer Marseille qui lui fixer le ciel et ses belles étoiles lumineuse dans la nuit, jusqu'à ce que le regard que je lui portez n'attire son attention, sans que je ne comprenne réellement ce qui venez de ce passer je sentis les lèvres de Marseille se poser sur les mienne, mes yeux s'écarquillèrent et dans un mouvement calme de la main je repoussa Marseille qui me regarda perdu et gêner.
Dans ma tête tout c'était éparpiller comme lorsqu'on laisse des feuilles près d'une fenêtre ouverte.

''Marseille'' Bégayais-je'' Je...je ne sais pas quoi te dire Marseille''

Il détourna le regard en soupirant, il devait être si mal...mais après tout rien n'avait était ambiguë entre lui et moi, je ne chercher pas à retrouver quelqu'un c'était impossible, trop tôt ou peut être trop tard finalement, mais ce n'était pas le moment.

''Marseille je ne peux pas dire que je n'est pas aimer que tu m'embrasse mais...je ne suis pas prête à reconstruire quelque chose enfin je veux dire...Berlin est mort depuis si peu de temps et pour tout te dire il hante mes pensée jours et nuits, j'aimerais vraiment...''

Je me coupa dans mon aller, Marseille quand à lui avais tourner son regard vers moi, était-ce les étoiles,La nuit, l'endroit, la lune, l'alcool ou tout simplement ma détresse? Mais en le regardant je sentez quelque chose en moi, je ne savais pas ce que sa pouvez être mais je me sentez presque vivante comme je ne l'avais pas était depuis des mois je sentis alors petit à petit la raison quitter mon corps, raison qui m'aurait poussé à laisser Marseille assis sur cette herbe humide.

''Et puis merde'' Dis-je en retirant mon t-shirt sois le regard bien plus qu'étonner de Marseille qui ne savais où donner de la tête

Je m'approcha de lui et l'embrassa d'un baiser fougueux, il mis du temps à se joindre à moi mais termina par se joindre à ce baiser étrange, ressent quelque chose Lara, ressent quelque chose, me disait une voix lointaine dans ma tête, je poussa Marseille sur l'herbe trempée et approfondit ce baiser.
Ressent quelques chose, ressent quelque chose, ressent quelque chose, je n'étais pas réellement focaliser sur le baiser que l'on échanger, non je n'étais que spécificatrice de mes émotions, ou était elle? Bordel!
Il passa sa main dans mon cou, elle était humide et froide, elle traversa à taton mon cou jusque dans mes cheveux, la fraîcheur se posa sur mon dos découvert me donnant des frissons, nos lèvre se détachèrent pour la première fois, je le regarda, ressent quelques chose! Crier presque cette voix intérieur, je pris alors le bas du t-shirt vert de Marseille et le tirant le long de sa peau jusqu'à ce que je le lance un peu plus loin sur le sol, mes mains passèrent sur sa peau, ses cicatrices, sa peau qui n'était pas la sienne, ses cicatrices qui n'était pas les siennes, ses grain de beauté qui n'était pas les siens, je m'arrêta en regardant le torse de Marseille, Marseille me regarda en reprenant son souffle qui était saccader, je sentis le long de ma joue une larme chaude faire sa descente et compris pourquoi Marseille me fixer si étrangement.

''Fait moi ressentir quelques chose'' Lui dis-je d'une voix faible ''Je veux ressentir quelque chose Marseille, de la joie, de la tristesse ou n'importe quoi d'autre mais bordel je veux ressentir un truc peut importe ce que se serra du moment que j'ai l'impression de vivre'' Lui dis-je sans m'en rendre compte

Cette voix au fond de moi avait finalement pris possession de moi, j'étais à califourchon sur Marseille entrain de pleurer, pleurer pour une raison inconnue.

''Pripiat'' Fut la seule phrase qui sortir de la bouche de Marseille

Il se redressa et resta un très court instant à me regarder ne sachant quoi faire, qu'est ce que l'on est sensé faire lorsqu'une fille vous saute dessus, vous déshabille et finit par pleurer toute les larmes de son corps face à vous?
Sans que je n'est le temps de réagir je sentis son corps muscler se coller au miens, ses mains passer dans mon dos, ses muscles se serrer autour de ma masse osseuse et compris alors qu'il me prenait dans ses bras, comme l'aurait fait n'importe qui face à cette détresse que je renvoyer.

''C'est rien'' Dit-il dans un soufflement ''On devrait aller se coucher tu veux que
je reste avec toi?'' Me demanda t-il plein de bonne attention

Pour toute réponse j'acquiesça, il se leva, pris nos deux t-shirts, enfila le sien qu'il enfila avant de me tendre sa main pour m'aider à me lever, on traversa l'herbe humide éclairés par la lune avant de rentrer dans ma chambre, Tolède était encore endormis mais je ne pris même pas le temps de le regarder bien trop bouleversé par cette boule énorme qui c'était former dans mon estomac, une boule qui sembler grandir en me déchirant le ventre, l'estomac et tout ce qui pouvait se trouver sur son passage jusqu'à devenir moi.
Marseille s'assit pris le deuxième coussin qui était poser sur les draps et pris une petite couverture qu'il jeta au sol.

''Non reste là'' Dis-je d'une voix à peine audible

Il reposa alors le coussin, là couverture et s'assit sur le lit en me regardant lointainement.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre dont je suis vraiment fière je peut pas vous le cacher !
Bon alors Marseillex Pripiat à vitres avis sa vas avoir lieu ou pas? 🤗
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant