-152- Il y a ton sourire

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Tokyo était assise sur une chaise en dehors de la pièce la tête dans ses penser, sûrement pensant à Rio.

''Tokyo?'' L'appelais-je doucement en la sortant de ses pensées

Elle sursauta délicatement et me regarda.

''Le professeur veut te parler'' Lui dis-je

Elle hocha la tête et se leva, on entra de nouveau dans la pièce sous le regard des autres.

''Elle est ici professeur'' Dit Palerme en regardant Tokyo entrait de son seul œil valide

''Dit le de prendre le talkie-walkie'' Lui ordonna le Professeur

Tokyo venue vers le bureau d'un pas décidé, elle pris le Talkie-walkie que lui tendais et Palerme, durant un court instant elle hésita à parler ayant sûrement peur de ce qu'aller lui annoncer le professeur, mais elle pris les devant sur sa peur.

''Professeur?'' Demanda t-elle d'une petite voix

''Tokyo, Rio est en Espagne'' Annonça le Professeur

Ce fut u vent de soulagement qui nous empara tous, Denver et moi nous prirent dans les bras comme deux gamins, souriant jusqu'au oreilles.

''Merci'' Dit Tokyo au professeur ''Je voudrais vous embrasser et vous dire merci en face si on se revois''

''Bien sur qu'on se reverra'' Dit le Professeur en riant

Denver me lâcha et on se reconcentre sur Tokyo et le professeur qui était encore en lignes.

''Le plus difficile reste à faire mais on vas réussir, tu m'entends? Nous allons
réussir'' Disait le Professeur avec force

Tokyo lâcha le talkie-walkie avant de se jeter dans mes bras sous le regard amusé de tout le monde, je la serra fort contre moi.

''Je suis tellement heureuse'' Lui dis-je

Après quelques secondes elle me lâcha et pris Denver dans ses bras, c'était une moment de fête, un moment de gloire, mais la dépression nerveuse qui me suivez depuis des mois maintenant n'aimer pas ce drôle d'effet de joie qui me parcourait.
Je regarda Tokyo si heureuse et me rendis compte que jamais je ne serrais heureuse comme elle car jamais on ne me rendra Berlin, cette pensée me fit l'effet d'une balle en plein cœur, le sourire qui s'était dessiné sur mes joues disparue aussi vite qu'il était venue, ce que Palerme remarqua.

''Ça ne vas pas?'' Me demanda t-il en chichi

''Si si'' Dos-je froidement

''Viens avec moi'' Me dit-il en me tirant le bras

On se retrouva tout deux dans le couloir, Palerme se mis à marcher et je le suivis.

''Tu sais Pripiat moi aussi je ressent cette solitude qui t'accable'' Me dit-il ''Seulement tu n'est pas seule''

''Je sais j'ai mon fils, si jamais quelqu'un n'avais pas compris qu'il me le disent, seulement mon fils ne remplacera jamais Berlin, personne ne pourra jamais le remplacer parce qu'il est le seul et l'unique Berlin'' Dis-je me libérant quelque part de cette masse grise qui m tourner autour ''J'ai...j'ai l'impression que son fantôme me suis partout ou je vais, son putain de rire me fait l'effet d'une perceuse la nuit, ce vois son regards qui me transperces et me traversent de pat e part, Palerme j'en peut plus'' Dos-je sachant qu'il était le seul à me comprendre

Je savais qu'entre lui et Berlin il n'y avait pas eu que de l'amitié, ils ne me lavaient jamais réellement dit l'un comme l'autre mais je le sentais, je le savais c'est tout, je savais que ce que je ressentez Palerme le ressentez aussi , peut être même plus que moi, pourtant il ne me répondis rien, il resta à me fixer de son œil abîmer et soupira simplement.

''Je fait tout pour que qu'il revienne avec nous parce que si je ne fait rien je vais en finir, je le sais, je n'arrive pas à tenir, mon fils me tiens en vie que temporairement quand il sera grand qu'est ce que je deviendrais? Avec qui je serrais? Personne je serrais à nouveau seule et je ne veux plus jamais ressentir cette douleurs bien que je soit habituer à cette putain de solitude mais je n'en peut plus, si seulement...je pouvez mourir dans
ce casse'' Avouais-je à Palerme qui c'était arrêté de marché

Il me regarda de la tête au pieds avant de se mettre à rire, d'un rire puissant.

''Pripiat allons ne dit pas n'importe quoi, la vie doit suivre son cours'' Me dit-il en riant toujours autant

''Moi qui penser que tu me comprendrez je me suis bien tromper'' Dis-je en soupirant '' Tu crois que je ne sais pas pourquoi tu a inventer ton boum boum ciao? Éviter les relations ne t'aidera pas''

''Toi non plus'' Me dit-il reprenant son calme

''Moi? Je n'évite pas les relations''

''Ah vraiment? Dit moi que tu a coucher avec Marseille alors''

''Je vois pas le rapport'' Dis-je fuyant Palerme du regard

''Tu vois je le savais, tu n'as pas à me donner de leçon dans l'état que tu est de plus je ne sais pas si tu a remarquer mais nous sommes en plein braquage et tu devrais être à ton poste tout comme moi alors fait moi le plaisir de ressortir la putain de russe qui est en toi et fait face à sa'' Dit-il en reprenant sa route tout seul

Je le regarda parti au loin et soupira, je me mis une énorme gifle intérieur et parti voir mes petits otages qui n'avait pas bouger, certains d'entre eux étaient entrain de dormir t'en le temps avais étaient long, d'autre regarder en face d'eux sans rien faire sûrement pensif à la suite de leur vies, si il y en aurait une.
Je m'approcha de Séoul, Delhi et Montréal qui était tout les trois entrain de discuter, en m'approchant je remarqua que Séoul et Delhi était assez proches.

''Dit moi Delhi tu veux que je t'aide à bouger ton cul?'' Lui dis-je ' chuchotant afin que les otages n'étende pas Lui dis-je en chuchotant

''Quoi je fait rien de mal'' Me répondit-il

''Prend moi pour une conne'' Dis-je en tirant le bras de Séoul pour la lever

Elle soupira ne comprenant pas pourquoi j'agissais comme sa avec elle, je la tira un peu plus loin.

''Non mais ça va pas?'' Lui demandais-je les nerfs à vifs ''Je pars deux minutes et je le retrouve collé à toi? Heureusement que je suis pas parti une heure sinon je le retrouver la main dans ta petite culotte?''

''Hey Pripiat personne ne t'as demandais ton avis'' Dit Delhi qui n'avais pas pu rester assis à sa place

''Toi je ne t'ai rien demander, dégage vas voir si ils non pas besoin d'un crétin pour jouer avec de l'explosif en bas''

Il soupira et partit en rouspétant.

''Pripiat je fait ce que je veux je te signal'' Me dit Séoul en croisant ses bras sur sa poitrine

''Je n'est jamais dit le contraire, tu fait ce que tu veux avec qui tu veux sauf lui c'est clair? Il y a plein de monde ici mais toi tu choisi le plus gros enfoirée?''

''Arrête un peu ton cinéma il est vraiment très gentille ton frère''

''Pour le moment attend de le connaître'' Lui dis-je en soupirant ''Ne traîne pas avec lui, c'est pas compliqué à comprendre quand même?''

Elle soupira en partant tendis que je la regardais en répétant.

''Ce n'est pas compliqué à comprendre quand même, ne pas fricoter avec Delhi'' Dis-je seule

''Tu parle seule maintenant?'' Me demanda Tokyo en riant

''Oh ferme là j'en peux plus de c'est trois adolescent moi'' Dis-je en soupirant

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà enfin ce chapitre j'ai mis du temps à le poster mais le voilà quand même.
Pour ce qui est de la musique c'est celle que j'ai mis en audio, Il y a ton sourire de Euphonik c'est Addia_ qui me l'a conseillais en me
Disant que sa lui faisait penser à Pripiat, alors écouter là et vous verrais que c'est vrai ! Vriament j'ai l'impression que la musique a était écrire pour Pripiat haha
La grosse grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant