-63- Accéleration

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Moscou se mis soudainement à tousser me faisant sursauter, j'étais assise sur cette chaise à ses coter depuis une bonne demi heure, je le regarda en souriant faussement pour le rassurer.

''Et Moscou ça va?'' Lui demandais-je d'une voix douce comme si je parler a un enfant

''J'ai connue mieux'' Me répondait-il d'une voix faible

''Ouais...c'est une question un peut bête'' Dis-je en baissant la tête

Je sentis une main se poser délicatement sur mon épaule, je tourna la tête vers le propriétaire de celle ci et vis Tokyo, elle avais les yeux rouge et gonfler, comme si elle avais passer un très long moment à pleurer.

''Qu'est ce que tu veux?'' Dis-je assez froidement

''Je voudrais...passer un peut de temps avec Moscou si sa ne te dérange pas''

Je me leva de la chaise en regardant une dernière fois Moscou et les laissa tout les deux seules dans le hall.
Je monta les marches et sorti mon paquet de cigarette, il ne m'en rester que trois, il faut dire que je fumer beaucoup c'est dernier temps, peut être même trop, une fois sorti une chose est sûr je me calmerais sur la cigarettes, sa serrait con d'être milliardaires et mourir d'un cancer dans les mois qui suivent.

''Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer se que c'est sa!'' Crier Nairobi dans l'un des bureaux

Je parti en direction de celui ci et ouvris la porte, Nairobi tenez dans ses mains un sac de billet.

''Qu'est ce qui se passe?'' Demandais-je en crachant une épaisse fumée

''Regarde moi cette merde'' Me dit-elle en me montrant un sac de billet ''Enfin merde les filles'' Dit-elle en se tournant vers les otages ''Je vous est dit de faire des paquets d'un millions d'euros sa c'est du n'importe quoi''

Elle me donna le paquet qui en effet n'était pas plein, je soupira et le déposa sur l'un des bureau ou se trouver deux autres sacs qui eux étaient pleins.

''Bon vous continuer a imprimer encore quelques heures, ensuite vous stopper les machines et vous m'effacer tout les registre'' Dit Berlin en entrant dans la pièce

''Ok, tout le monde on se remue le popotin, on se donne au maximum de sa forme'' Dis-je comprenant que Berlin avais eu le professeur au téléphone et que notre départ était pour dans quelques heures ''Aller aller''

J'éteignis ma cigarette à l'aide de mes doigt avant de la replonger dans sont paquet.
Berlin attrapa mon bras avant de sortir de la pièce sens que je ne lui donne mon accord.

''Et lâche moi Berlin'' Dis-je en poussant sa main

''Quoi? Ce n'est pas une bonne nouvel? On vas bientôt pouvoir sortir d'ici''

''Si bien-sûr que si mais sa ne te donne pas la permission de me casser un os'' Dis-je en caressant mon bras endolorie

''Tu a réfléchis a ce propos?''

Non, non je n'avais pas réfléchis il faut dire que je n'avais pas vraiment eu le temps entre les otages, l'arriver plutôt fracassante de Tokyo et Moscou, je n'avais pas eu le temps de réfléchir.
Au moment ou j'allais parler, Berlin me coupa en posant son indexe sur mes lèvres.

''Attend attend, qu'est ce que sa te coûte au finale de venir avec moi?''

Il retira son indexe en soupirant.

'' Je vais mourir dans les mois qui vont suivre, sa ne serra que quelques mois, quelques mois d'amour, de bonheur et de sexe, rien de plus, quand mon heure viendra tu pourra partir, trouver un homme plus beau et plus jeune''

''Berlin''

''Laisse moi finir...je ne crois plus en l'amour et je n'y croirais sûrement plus de ma vie, mais ce qu'il y a entre nous c'est forts, c'est puissant même comme une drogue''

Je sentis ses mains se poser délicatement sur mes hanches, il plongea son regard dans le miens un regard doux remplis de sincérité, un sourire francs et chaleureux.
Je me mordis la lèvres inférieure comme une idiote, comme ses gamine dans les films qui tombe amoureux du rois du lycée, voilà je me sentais comme elle, enfin remarquer.
Je sentis ses lèvres se déposer sur mon front, je ferma les yeux, je me sentais si bien à se moment, j'avais l'impression que l'on était entrain de vivre un moment loin du temps, loin de la fabrique de billet, loin des otages, de la police, comme sur une île loin de tout, seul lui et moi.
Depuis toujours je me suis comme refuser le bonheur, comme si il ne devais pas m'atteindre, mais si finalement je n'avais juste jamais connue le bonheur avant aujourd'hui?
Je ne me souvenez pas de la dernière fois ou je m'était senti aussi bien, ici j'avais une véritable famille, un père, des amis, je me sentais aimer et accepter, je n'avais plus l'impression d'être seule et ce sentiment m'emplissez d'un bonheur enivrant, et pour la première fois un homme attirant et séduisant m'accorder de l'attention et du respect.
Le long baiser de Berlin se termina, il me regarda se mordillant les lèvres en souriant, mais ce moment de douceurs se termina lorsque la porte derrière nous se ferma.

''Ça va je vous dérange pas'' Nous coupa Nairobi ''J'y crois pas tout le monde se bécote ici ou quoi!''

Berlin releva la tête vers elle lâchant mes hanches, tendis que je me tourner vers Nairobi, elle se tenez droite devant nous les bras croiser sur sa poitrine.

''Nairobi tu a quelque chose à nous dire peut être'' Lui répondit Berlin

''Hum...comment vas Moscou?'' Me demanda t-elle

''Il est...il est stable du moins pour le moment''

Elle hocha la tête avant de venir plus proche de nous.

''Bon il ne nous reste que quelques heures de travaille on peut faire des billets de 500 alors?'' Nous demanda t-elle des étoiles dans les yeux

''Des billets de 500 c'est un truc de Russe ou de ringard''

''Et je te permet pas'' Dis-je prenant la défense de mon pays ''Bien que se ne soit pas faux''

''Bon j'imprime ou non!?!'' Nous coup a-t-elle brutalement

''100 et 200 euros rien de plus'' Lui ordonna Berlin

Nairobi parti alors vers Tores qui se trouver au loin, je regarda Berlin avant de partir de mon coté sens lui dire un mots.
Je descendis de nouveau les marches jusqu'à arriver a la salle ou se trouver Rio et Denver, il était tout deux en sueur.

''Et les gars arrêter vous pour boire un peut'' Leur dis-je

''Non'' Répondit Denver en donnant un grand coup de pioche dans le mur ''On dois finir rapidement''

''Je sais Denver mais si tu te déshydrate on pourra pas sortir d'ici''

''Je pense que Pripiat a raison'' Lui dit Rio essoufflé

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà un chapitre plus grand, désoler je manque un peut d'inspiration sa fait un petit moment que j'ai pas écrit haha, mais sa vas revenir vite pas d'inquiétude.
Sinon je pense faire une parti 2 mais sur un autre livre, donner moi vos vais 😉
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant