Palerme venez tout juste de nous réunir dans le grand bureau afin de contacter le professeur pour lui parler de l'arrivée de Rio, ce dernier était déjà en place, Talkie-walkie dans la main près à recevoir l'appel du professeur, je venue près de Nairobi qui me fit un sourire rapide.
''Palerme?'' Appela le professeur
''Non c'est moi, c'est Rio'' Dit-il en souriant
j'imaginais déjà le sourire du professeur à l'entente de la voix de Rio, un sourire francs et plein d'enthousiasme.
''Heureux que tu soit parmi nous'' Répondit-il ''Je n'est pas beaucoup de temps, je te demande de me répondre dans la manière la plus précis possible''
''D'accord professeur'' Lui répondit le jeune homme
Nous allions enfin avoir des réponses à toute ses questions qui nous avais tous frôler le crâne plus d'une fois, nous allions enfin apprendre le calvaire que nous aurions pu tous vivre, que Berlin avait lui aussi peut-être vécu?
''Ou est-ce que tu était retenue en
otages?'' Demanda le professeur''Dans une cellule, minuscule, de la taille d'un cercueil'' Avoua t-il d'une voix tremblante sous nos regards, nous venions tous de perdre sourire ''Je ne pouvez pas m'asseoir, j'étais debout tout le temps''
''Combien de jours?'' Demanda le prof
''J'en sais rien, j'ai perdu le compte après quatre ou cinq...il n'y avait pas de lumière naturel''
''Tu te sans capable de continuer?''
''Ouais'' Dit Rio avec une force mental énorme
''Qu'est ce qu'il te donner à
manger?'' Demanda alors le professeur''Une espèce de bouillis pâteuse, comme de la farine avec de l'eau et du café, beaucoup de café, je ne sais même pas combien de tasse par jour''
Je sentez à côté de Nairobi, le regard de Tokyo s'assombrir, elle savais pertinemment que ce qu'avait vécue Rio était de sa faute, du moins en grande parti de sa faute et juste pour cela elle s'en voulait terriblement, alors entendre de la voix de Rio qu'il avait était traité comme un chien, un bâtard, la rendez encore plus en colère et lorsque Tokyo était en colère il valait mieux se méfier.
''Trente, Quarante, Cinquante par jour'' Dit Rio presque en riant ''J'étais remonté à bloc''
''C'était pour te priver de sommeil'' Annonça donc le professeur ''Tu crois qu'ils n pu mettre quelques chose dans ton café?''
''Peut-être, il était imbuvable''
On entendis alors la respiration de Tokyo dans tout le bâtiment, quand à moi je ferma les yeux, je connaissais la drogue comme si je l'avais moi même conçut et j'avais désormais du mal à entendre parler de cela.
''Mais je sais qu'il me droguer, pendant l'interrogatoire, il me faisait inspirer du gaz, j'ai aucune idée de ce que c'était mais... mais bon sa me permettait de sortir de ma cellule'' Dit-il en positivant ''Des fois je pouvez même m'asseoir''
''A part pour les interrogatoire, est-ce qu'il te laisser sortir de ta cellule?'' Demanda le professeur avec fermeté
''Même pas pour chier'' Répondit-il toucher par cette aveu ''Ils me laissaient là dedans, couvert de pisse et de merde pendant des heures''
Rio pleurer presque désormais, il n'étais plus le Rio que nous avions connue dans la fabrique, les flics, la drogue et tout ce qu'il lui avait fait subir, l'avais définitivement changer, ce n'était plus un jeune homme, ni même un homme, mais une âme brisé en deux, un homme brisé, voilà ce qu'était désormais Rio.
''Des jours'' Dit-il la voix tremblante ''Je ne sais pas''
''Tu avais accès à une douche?'' Continuais de lui demander le professeur
''Ce qui sent approcher le plus, c'est un tuyau d'arrosage''
Je sentais mon cœur se serrer sous ma poitrine, je n'arriver même plus à regarder Rio, c'était dur, de ce dire qu'une personnes avec laquelle vous avais était assez ''proche'' venais tout juste de subir les pire chose que l'homme pouvez connaître.
''Sa se passer comment?'' Demanda le prof ne lâchant rien
''Ils me déshabiller et il m'accrocher avec des chaînes'' Dit-il en fuyant désormais tous les regards ''Et puis il m'asperger avec la pression à fond, si t'as envie qu'on arrête, dit nous simplement ou est le professeur'' Dit-il en imitant les flics ''C'est ce que me répétais tout le temps Alicia et je jure devant dieu, professeur, que si j'avais eu la moindre idées de ou tu était'' Dit-il cette fois laissant les larmes couler sur ses joues ''Je leurs aurais dit''
''C'est ce que tout le monde aurait fait'' Le rassura le professeur
Personne, absolument personnes ne pouvais résister à de tel torture, pas même moi qui avais vécu des choses horrible, ou même Helsinki qui avais vécu la guerre, non personne ne pouvez résister à des mois dans le noir, à la honte qu'on lui avais infliger, le professeur le savais, c'est d'ailleurs pour cela hormis moi, qui vivait avec lui, personne ne savais ou il était, car si on l'aurais dit fasse à de tel technique de manipulation.
''Ne t'en fait pas Rio, est-ce que tu a penser que ta vie était en danger?''
''Je savais qu'on était pas en Espagne, quand le vent changer de sens, je pouvez entendre e chant d'une moskai, j'étais totalement convaincue qu'ils allaient me tuer et m'enterais dans le désert, chaque jour'' Dit-il pleurant de plus de plus ''Je me réveiller en me demandant si se serrait le dernier''
On le regarder tous avec effrois, et étonnamment j'avais envie de briser la nuque de Suarez, de Gandia et même juste pour le plaisir d'Arturo, en criant la voilà notre Vendetta! Venez, on vous tuera tous, je suis sûr que je n'étais pas la seule à penser comme sa, mais on ne devais pas devenir des tortionnaire, nous ne devions pas leurs ressembler, jamais, nous étions les putain de braqueurs au masque de Dalí!
''C'est fini maintenant'' Lui dit le
professeur ''Maintenant il faut que tu me raconte en détaille tout ce qu'il c'est passer au moment de ta libération''Rio se mis alors à sourire bêtement avant de répondre au professeur.
''Ils m'ont mis dans un avion, à l'atterrissage, il mon transférés dans une voiture et il m'ont emmené dans un hôpital militaire''
''Et comment c'est passer la nuit là bas?''
''J'ai dormi comme un bébé professeur'' Dit Rio en retrouvant une once de sourire ''Je ne sais pas ce qu'il m'ont filer mais c'était de la bonne''
Je sentis un sourire se dessiner sur mon visage.
''J'ai pas ouvert les yeux, jusqu'au lendemain matin, quand Alicia ma réveiller, bon alors ou est ma combinaison rouge?'' Ria notre cher Rio
On se mis alors à rire, bien que nous n'étions pas si apte à cela, je regarda Tokyo tristement, bien que Rio était avec nous, que nous pensions avoir la situation sous commande, je me souvenue alors que chaque mot prononcer ici, était désormais sous écoute, les flics nous avais rendu Rio mais avait intégrer en lui un véritable Talkie-walkie, et sa le professeur nous l'avais déjà expliquer.
...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre qui parle beaucoup de Rio, du moins de son calvaire, d'où le titre mdr
La grosse grosse bise 😘
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Le casse du siècle [Part 1]
FanfictionMoi c'est Pripiat, enfin avant comme toute personne normal j'avais un vrai prénom mais j'ai appris à ne plus m'en servir, comment? En faisant ce qui semblez être le meilleur casse de toute ma vie. J'étais probablement là meilleure candidate pour se...