-108- Compte a rebours

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Depuis quatre longue heures j'étais rester à c'est coter, à le regarder vomir, trembler, j'avais même crue apercevoir une lare glisser sur sa joue mal raser, durant quatre heures j'avais penser qu'a une chose, la fin de notre éternité, on le savais l'un comme l'autre que notre éternité avis une date de péremption seulement on aurait voulue qu'elle soit plus tardive...je ne savais pas si c'était le fameux jour qu'on appréhender tous, je savais juste qu'il faisait parti des dernier, qu'a se moment précis le compte à rebours était lancer.
Depuis quelque minutes maintenant un silence c'était imposer, Berlin avais les yeux fermer, il sembler apaiser, son torse se surélever en fonction de sa respiration plus lente qu'a l'habituelle.

''Je vais mourir sa y est'' Me dit-il en ouvrant les yeux me fixant du regard, un regard attendrissent qui le toucher au plus profond de l'âme

''Mais non ne dit pas n'importe quoi'' Dis-je en laissant échapper une larme qui dévalisa ma joue

''Si j'en peut plus de cette maladie...j'en peut plus, j'ai besoin de mourir''

Ses paroles, résonne et résonne dans mon esprit ''j'ai besoin de mourir'', sa tourne encore et encore comme si la seule phrase qu'on m'avais jamais dite était ''j'ai besoin de mourir''.
Je ne bouge plus je n'est même plus la force d'essayer sont front perler de sueur, je n'est plus la force de rien...rien...voilà ce que je ressent, je ne souffre pas, je ne suis pas heureuse, ni triste je ne ressent juste plus rien, mon monde ses arrêter, ma galaxie et ses douces étoiles se sont enfuit.
Alors je me lève, il ne comprend pas et me réclame mais je ne peut pas rester si près de la mort.
Je sort de la chambre, Sergio arrive au même moment avec une bassine remplis d'eau, il me parle mais je ne l'entend plus je n'entend que ma respiration, que mon cœur qui ne demande qu'une chose partir, partir avec lui! J'entends un sifflement aiguë, en face de moi les images deviennes floues comme si j'avais plonger ma tête dans l'eau, Sergio continue de me parler, il hurle même je crois, ma main se pose sur mon cœur et dans un mouvement je manque de tomber, je le vois poser aussi vite qu'il le peut la bassine sur la table près de nous et venir me tenir l'épaule.

''Lara! Lara qu'est ce qui t'arrive'' Me demanda t-il d'une voix que je n'entendez presque pas

Les larmes coules à flot sur mes joues, j'ai mal, seigneur que j'ai mal, mes mains trembles a telle point que je ne peu tenir le chiffon que j'avais dans ma main, Raquel arrive à sont tour et demande à Sergio ce qu'il se passe mais je suis incapable de répondre, incapable de penser, je le veux, juste lui personne d'autre, pas cette homme entrain de mourir sur un lit en agonisant presque, celui que je veux c'est Berlin pas Andrés! Berlin, celui qui en un regard ma provoqué des frissons, celui qui en un regard était capable de me déstabilisé, celui qui ma promis l'éternité.
Raquel m'aide à m'asseoir sur une chaise tendis que Sergio rentre dans la chambre en catastrophe.
Je n'arrive plus à respirer ma vois se trouve couper.

''Et Pripiat calme toi tu fait une crise de panique'' M'expliqua Raquel en me frottant le dos affectueusement ''Il faut que tu inspire et que tu expire doucement d'accord? Regarde moi''

Je plonge mon regard flou dans le sien et fait ce qu'elle me dit, mais je sens l'angoisse de le perdre et d'être seule me ronger de l'intérieur, comme si la force que j'avais eu de le voir dans des état lamentable était soudainement parti, envoler avec lui et cette phrase ''J'ai besoin de mourir'' Na de cesse que de tourner encore et encore dans ma tête comme un disque usée.

''Maman'' Cria la fille de Raquel en courant vers nous

''Pas maintenant chérie je suis occuper retourne avec Grand mère''

''Il y a trois bateaux qui arrive!''

Aussitôt Raquel tourne le visage vers la mer, au loin trois navires militaires s'empresse de gagner la cote, elle me lâche et entre aussitôt dans la chambre pour prévenir le professeur.
La petite fille me regarde et repart aussitôt, je regard les bateaux, ils vont arriver! Je prend soudainement conscience qu'il faut partir d'ici, je me lève et entre à mon tour dans la chambre, Andrés est entrain de vomir tripe et foie à même le plancher, Sergio n'as pas eu le temps de lui tendre une bassine, mais je n'y prête pas attention, je prend les deux cadres photos celle de notre arriver et celle de notre mariage et je les enlèves toutes deux des cadres, se sont les seuls affaires qui me tienne à cœur encore aujourd'hui, je les plonges dans ma poches et prend une chemise neuve et un pantalon propre pour Andrés, je m'approche de lui, lui qui est blanc comme un linge et qui vomit toute se qu'il a manger ses dernières semaines.

''Qu'est ce que tu fait?'' Me demanda Sergio

''Je ne le laisserez pas mourir ici seul!'' Dis-je en hurlant

Il hoche la tête et demande à Raquel de rassembler quelque affaires le splus précieuse, je prend le bras gauche de Berlin et y glisse sa montre, il se débat et ne se laisse pas faire.

''Écoute moi Fonollosa j'en est rien à faire de ton avis tu viens est c'est tout!''

Mais il se débat et hurle à qui veux l'entendre qu'il veux mourir en paix dans son lit, je ne l'écoute pas tout comme Sergio, il est habiller de la tête au pieds, Raquel reviens des affaires dans les mains.

''On y vas! L'un des bateau est presque arriver'' Criais Raquel paniquer

''On vas les retarder un peut'' Dis-je en sortant de la chambre

Je pouvez jouer les femmes marier sens ambition durant un long moment mais lorsque je me sentez en danger et que je laisser sortir la criminel qui sommeiller en moi il valait mieux ne pas être trop près de moi.
Je courue aussi vite que je le pouvez jusqu'à ce qui nous servez de garage, ici était entasser assez d'arme pour alimenter un régiment, mais l'une d'entre elle avais était prévue pour nous sauvez les miches en cas de besoin, une arme si dangereuse qu'elle ne pouvez être qu'enivrante.
Un Bazooka, utiliser pour la guerre habituellement aujourd'hui il serrais utile pour nous défendre, il devais bien faire deux fois mon poids mais je le soulever avec facilité, je traversa de nouveau la chambre.

''Pripiat'' Me coupa le prof

''Ils veulent la guerre? Je vais leur donner, préparer les affaires, Raquel c'est pas un spectacle pour ta fille'' Dis-je en sortant n'écoutant pas la réponse du professeur

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà après c'est deux chapitres je vais être détester de Wattpad haha mais bon c'est la vie 😂😢
La grosse grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant