Le casse du siècle [Part 1]

-80- Le temps d'avant

Je regarda la place vide à mes coter et eu un sourire ravis au lèvres, un sourire assez débiles je dois bien l'avouer mais un sourire sincère.

''Bordel te voilà riche et fiancé par dessus tout'' Dis-je en plaquant mes mains sur mon front

Je repensa alors à toute ses années de galère, je revoyez ma mère compter les petites pièces de monnayais sur la table pour pouvoir acheter ne serrais-ce qu'un sac de patates, les noëls de mes 8 ans ou pour seul cadeaux j'avais reçut un sachet de bonbon périmer de quelques jours, puis le cancer de ma mère, le départ de mon père nous laissant dans une merde sens nom, Viktor et c'est petit boulot à droite à gauches, les flics, l'argent facile, trop facile pour ne pas apporter de problème puis le premier joint, suivis du deuxième, après tout il faut goûter les produit qu'on vends? Puis la cocaïne, la première overdose, les frais médicale multiplier par deux, la mort de ma mère et l'enterrement qui coûter si cher...la deuxième overdose pour éviter de penser à se manque de tout les jours, puis le premier casse dans une pharmacie de ville pour avoir des cachetons, puis le braquage d'une banque, encire une pharmacie, puis une quatrième et une sixième, puis le mariage, l'alliance en toque trouver dans un super marcher très vite suivis du premier coup de poing, la défonce tout les soirs, les flics qui frappe et qui embarque Viktor, le retour accompagner des coups de poing, de pieds, puis le coup de fer à repasser...la dernière overdose qui cette fois devrais enfin me coûter la vie, vie qui m'épuise et me tranche la gorge a chaque respiration, mais la vie qui reprend, les médecins, la première désintoxication, puis les coups suivis du pétage de plombs, l'arme, le sang, les larmes, la fuite, je me revoie encore courir dans la foret le cœur battant si vite que je craignais une crise cardiaque, les nuits seul dans le froid, la peur puis le sauveurs, le professeur qui me propose le casse.
En revoyant le film de ma vie je me sens bénis, je suis parti de rien pour arriver là ou presque personne n'arrive, serte par des moyen pas très légaux mais j'étais tout de même arriver au top.
Quelqu'un frappa à la porte me sortant de mes penser.

''Ouais?''

La porte s'ouvrit sur Denver, il à dans la main une cigarette et un sourire jusqu'au oreilles, il s'approche de moi avant de s'allonger sur le lit à mes coter, il se mes à fixer le plafond tout comme moi.

''On est riches'' Me dit-il en portant la cigarette à sa bouche

''Ouais riche'' Dis-je en attrapant sa clope pour tirer une taf

''Mon père t'aimais vraiment tu sais''

Je tourna alors la tête vers lui et durant deux ou trois minutes peut être nos regards se croisent.

''Quand on c'est pris la tête avant...avant tout sa il ma dit qu'il aurais préféré avoir une fille comme toi plutôt qu'un imbécile de fils comme moi''

''Denver'' Dis-je ne voyant pas crée de conflit entre nous

''Non laisse moi finir Pripiat...je comprend pourquoi il ma dit sa, j'ai mis du temps à comprendre mais je comprend maintenant, tu était à l'écoute avec lui, t'a toujours était gentille, droite et sincère avec lui... puis faut dire que t'es vachement plus bonne que moi'' Dit-il en riant tout en prenant la cigarette que je tenez entre mes doigts ''Où il est ton père?''

''Mort''

''Et bah sa nous fait un autre point en commun''

On se mis à rire légèrement.

''Merci Pripiat''

''De quoi?''

''D'avoir était là pour lui...deux ans après que je naisse...'' Commença t-il a avouer ''Ma mère et tomber enceinte''

Il tourna alors al tête vers moi avec un regard sérieux qui me donner des frissons dans le dos.

''Cinq mois après on a appris que se serrais une fille, je ne me souviens pas de tout, j'étais trop petit mais je me souviens que mon père était heureux, il voulez à tout pris avoir une fille, une princesse à son papa...mais ma mère la perdu...je savais pas comment jusqu'à ce que mon père m'avoue tout, ma mère la tuer en prenant de la drogue...et elle a fait une fausse couche...depuis je n'est jamais vue mon père aussi...heureux et je le rêverais d'ailleurs jamais...si je te remercie c'est parce que tu lui a permis d'avoir la fille qu'il n'as pas eu''

Je regarda Denver sens savoir quoi lui répondre, mais son sourire me donner l'impression qu'il n'y avais tout simplement rien à dire, on fixa alors de nouveau le plafond sens dire un mots avant que je ne prenne la paroles voulant casser se silence.

''Alors comme sa tu vas devenir père?'' Dis-je tournant la tête vers lui

''Il faut croire'' Dit-il e prenant. Y'en dernier taf ''Qu'il l'aurais crue''

Il afficher un sourire radieux au visage, Denver serrais un bon père il n'y avais aucun doute, il prendrais soin de l'enfant de Monica comme si c'était le sien.
La porte s'ouvrit sur Berlin qui fut surpris de voir Denver allonger à sa place, je me redressa en le regardant, il reboutonna sa veste de costume.

''Tout le monde nous attend en bas'' Dit-il en regardant l'extérieur

Denver se redressa et on parti tout les trois en bas, Berlin ne disait pas un mots, mais je savais qu'il n'y avais pas de confusion pour lui.
Tout le monde était autour de la grande table, sa me rappeler nos début à Tolède, sauf qu'il manquer deux d'entre eux.
Je pris place au coté de Nairobi qui venez tout juste de décapsuler une bière fraîche qu'elle me donna.

''Bien, je voudrais avant que l'on entame se repas vous remercier tous du travaille que vous avais fournis'' Intervenue le professeur en levant la bouteille vers le plafond ''Je sais que sa na pas était facile pour tout le monde de vivre cette sorte de confinement mais vous vous en êtes bien sorti...bien à notre richesse''

On leva tous nos bières en l'aire en se souhaitant une bonne richesse avant de boire et d'entamer un repas digne d'un mariage, deux plats de viande, un de poissons, trois accompagnements et je ne parle pas de l'alcool qui défiler sous nos yeux.

''Joséphine?'' Dis-je en riant tout comme Nairobi

''Quoi c'est jolie Joséphine'' Répliqua Denver

''Non cette enfant ne s'appellera pas Joséphine'' Rectifia Monica

''Mais pourquoi c'est jolie!''

Le tout jeune couple se chamailla tendis que Berlin prenez son verre et donna des petits coup de cuillère comme pour attirez l'attention de tout le monde, le calme s'installa très vite dans le petit groupe.

''Je voudrais vous annoncer quelque chose''

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Me revoilà j'ai passer une journée de dingue! Genre je suis crever mdr 😆
La grosse bise 😘