-187- Confiance

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Le cœur battant à pleine allure, je fixais le plafond, il était dans un sale état, la peinture s'effrite et tombait sûrement en petite poussière sur les épaules et le carrelage de tant à autre, des plaques de moisissure c'était former entre les fissure grisâtre du plafond.
Je n'arrivais pas réellement à croire ce qu'il c'était passé, j'avais couché avec quelqu'un d'autre que Berlin? Pourquoi? Pourquoi Suarez et pas Marseille? Pourquoi aujourd'hui? Et surtout pourquoi est-ce que je me sentais...bien?

''Lara?'' Me dit la voix forte de Suarez me sortant de mes penser

''Ne m'appelle pas comme ça'' Dis-je froidement ''Je déteste se prénom, appelle moi Pripiat''

''Hum et bien, Pripiat'' Reprit-il ''Ce qui vient de se passer entre nous, comment est-ce qu'on doit le percevoir?''

''Ce qui c'est passé, c'était mal'' Dis-je en me redressant ''Sa n'aurais jamais dû arriver, tu est un otages et moi je suis une braqueuse, tu est un flic et je suis toujours une braqueuse, entre nous, rien est possible, c'était un moment agréable mais il prend fin, habille toi'' Dis-je aussi froidement qu'une porte de prison

''Je sais ce que tu a, tu t'en veux d'avoir coucher avec moi''

''Habille toi''

''Tu pense quand couchant avec moi, tu rompe ta promesse auprès de Fonollosa''

''Ne parle pas de lui'' Dis-je en enfilant mon soutien gorge bleu

''Je sais que c'est ce que tu ressent, mais il est mort''

''Tu ne sais pas ce que je ressens, habille
toi'' Continuais-je

Pour toute réponse il soupira et se leva, je ne pensais à rien d'autre que me dépêcher, il ne manquer plus que l'un des gars de l'équipe entre à ce moment et me vois nue presque nue avec Suarez.
Une fois totalement habillé, Je remis les chaînes à Suarez et l'emmena avec les autres, Gandia ne s'empêche pas de m'interpeller.

''Et la Poliakov'' Me dit-il froidement

''Oh tu change de surnom?'' Dis-je en me tournant vers lui

''Tu reste bien longtemps avec t'es otages dans t'es bureaux, tu veux pas me parler à moi'' Dit-il avec son sourire mesquin

''Pourquoi pas, après tout tu n'est pas repoussant'' Dis-je en s'abaissant vers lui ''Tu sais Gandia on pourrait vraiment s'amuser toi et moi, seulement je suis une amatrice de cinéma, j'aime regarder de belle scène, bien tourner et bien réalisé, j'aime filmer ce que je fait et je doute que ta chère épouse n'apprécie le film qu'on tournerez ensemble'' Dis-je en souriant avant de me redresser

Il se mit alors à pester comme il le faisait presque tout le temps, mais je ne me préoccupais pas de ses jérémiade et parti vers Montréal qui devait probablement s'ennuyer, je m'assis à ses côtés en regardant en face de moi les otages qui ne disaient pas un mot.

''Il y'a des nouvelles de Nairobi?'' Demandais-je soudainement

''Non pas encore'' Répondit cette dernière

''C'est une battante, elle ne mourra pas de sitôt, quand à Palerme tu l'as vue?''

''Il est dans son bureau, comme toujours'' Me dit-elle en soupirant

''Reste ici, je dois discuter avec Palerme''

Je me leva et monta les marches, Palerme c'était approprier le bureau ou nous avions laisser le talkie-walkie qui nous permettez de discuter avec le professeur, je frappa alors à la porte et il me demanda d'entrer ce que je fit, il était assis sur sa chaise de bureau, l'œil tourner vers moi, un œil noir et plein de rage.

''Je dois te parler Palerme'' Dis-je un peut angoisser de sa réaction

''Je t'écoute'' Me répondit-il froidement

''Je ne pense pas que Raquel soit morte''

''Ah, tu a des idées maintenant?''

Il me fit un sourire froid et plein de rancœur, je ne prêta pas attention à ce qu'il me disait et vint plus près de lui.

''Ils ne pourraient pas la tuer, ils auraient trop à perdre en la tuant'' Continuais-je

''Et alors? Qu'est ce que sa change?''

''Tu ose demandait ce que sa change?'' Demandais-je outrée ''Mais ça change tout, ça veut dire que nous n'avons pas perdu complètement la guerre, au contraire, tu dois en parler au professeur''

''Le professeur? Il n'est pas joignable, tu sais sûrement que lorsqu'on perd notre amour, notre tendre et unique amour, on veut être seul, le professeur est un être humain avant d'être le professeur, il a besoin de se retrouver seul''

''Palerme, ils ne peuvent pas tuer Raquel!''

''Et comment tu le sais? Tu as parlé avec Alicia? Encore, t'es accord au téléphone ou quoi?''

''Suarez me la dit''

''Suarez?'' Demanda t-il presque en hurlant de rire ''Et tu crois ce que ce fou te dit?''

''Il a une parole que certain non pas dans cette pièce''

''J'imagine que tu parle de toi?'' Ajouta Palerme

''Peut-être, là n'est pas le problème, j'ai confiance en lui''

''Confiance? Peut tu réellement m'expliquer et m'épeler ce mot qui sort de ta putain de bouche alors que tu n'en connais pas la signification?''

''Je te demande pas de me faire la liste d tout ce qui est horrible chez moi, premièrement parce que tu n'aurais pas assez de feuilles pour les écrire mais aussi parce qu'il y a plus important, je suis sûr de ce que je te dit''

Il soupira avant de me tendre le talkie-walkie.

''Alors appelle le toi, je ne veux pas être vecteur de fausse rumeur''

''C'est si joliment dit'' Dis-je en prenant le talkie-walkie

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce petit chapitre, je me retape l'entièreté de Game of throne du coup j'ai envie de faire une fanfic, conclusion ? J'écris un nouveau livre alors que je n'est pas poster, bref sinon ce matin je me suis fait réveiller par la marseillaise, c'était un délire l'affaire
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant