-52- Lancement de la suite du plan

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Alors que l'on discutez du plan Tchernobyl avec Nairobi pensant avoir la situation bien en mains les otages eux en profiter pour mettre au point un plan, un plan qui pourrez tous nous coûter la vie mais a ce moment nous étions encore assez bête pour croire le contraire, alors qu'a seulement deux mètres de nous l'un des otages aller réussir à se procurais une arme.

''Quoi qu'il en soit on doit partir le plus vite possible'' Dis-je en même levant de ma chaise''Nairobi il est-ce qu'on peut augmenter le rythme?'' Lui demandais-je

''Il faut que je demande à monsieur Tores''

''Alors appel le s'il te plaît''

Nairobi ce leva et ouvris en grand la porte.

''Monsieur Tores pouvez vous venir dans mon bureau!'' Hurla t-elle dans le grand couloir

Quelques secondes après le dit Monsieur Tores était devant la porte, Nairobi lui ouvrit en lui affichant un grand sourire, monsieur Tores quand à lui était un peut perdu en nous voyant tous assis autour de la table.

''Je vous en pris prenez une chaise monsieur Tores'' Lui dis-je en montrant une chaise qui se trouver en face de moi ''Vous voulez peut être boire quelque chose?café? Thé? Jus de fruit?''

''Non merci'' Dit-il s'essayant sur la chaise

''Bien monsieur Tores on aurais quelque petite question à vous poser'' Lui annonçais-je

''Je vous écoute''

''Est ce que selon vous il est possible d'augmenter le rythme d'impression?''

''Et bien il faut voir comme sa c'est possible mais attention on court un risque'' Nous mis il en garde ''Si sa coince on en a pour trois heures a faire repartir les machine''

Je me mordis le doigt pesant le pour et le contre.

''Calculer moi de combien sa augmenterais la production'' Lui demanda Nairobi

''Bien mademoiselle Nairobi'' Dit-il en se levant de la chaise

Il sorti alors dans le couloir tendis qu'on fermer la porte derrière lui, Nairobi se racla la gorge tendis que je m'asseyais de nouveau sur la chaise.

''C'est plus dur que ce que tu penser n'est ce pas?'' Me demanda Berlin un sourire en coin

''Ouais'' Dis-je constatant la réalité

Quelque temps plus tard quelqu'un frappa de nouveau à la porte, Nairobi ouvrit alors à monsieur Tores.

''Mademoiselle Nairobi?'' Demanda t-il

''Dit moi tout?'' Lui répondit t-elle aussitôt

''On pourrais augmentais notre production de 2 millions d'euros l'heure''

Nairobi me regarda pour avoir mon accord bien qu'elle connaissait déjà la réponse.

''On fonce'' Dis-je hochant la tête positivement

''Les pause technique se ne serra que tout les six heures et comme sa se serra 2 millions de gagner'' Repris Nairobi

''Très bien'' Lui répondit Tores en sortant de la pièce

''On y arrivera ou je ne m'appelle plus Nairobi'' Nous dit-elle en souriant

''Bien-sûr qu'on va y arriver c'est le casse du siècle qu'on est entrain de faire pas un casse de banlieue'' Dis-je en souriant pensant à tout se fric

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant