-188- La banque du loup

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''Professeur?'' Demandais-je en appuyant sur le bouton du Talkie-walkie ''Prof, c'est Pripiat,je sais que tu doit être en plein séance de dépression, mais il faut que tu m'écoute, j'ai une théorie sur ce qui est arrivé à
Lisbonne'' Dis-je espérant qu'il me réponde

Personne, le professeur avais forcément entendu ce que je venais de dire, je le savais au plus profond de moi.

''Prof, ils ne peuvent pas tuer Raquel, c'est impossible, décrocher''

Mais toujours rien, Palerme qui me dévisager du haut de sa chaise de bureau se mit à rire.

''Je suis pas sûr que le message soit
passer'' Dit-il en riant

''Ferme là Palerme'' Dis-je brutalement avant de me concentrer sur ce que je devais
dire ''Prof, comment peut-on déstabiliser une équipe? En faisant croire qu'on en supprime un, et c'est ce qu'il se passe, ils ne peuvent pas tuer Raquel''

''Pripiat'' Dit la voix de Marseille

Je resta étonner d'entendre sa voix, son accent, je me sentis presque mal à l'entente de celle ci, ce que je venez de faire avec Suarez j'avais était incapable de le faire avec Marseille, pourtant je le connaissait sûrement mieux...du moins depuis plus longtemps.

''Qu'est ce qui te fait penser que Lisbonne est vivante?'' Me demanda t-il avec son accent

''Ou est le professeur?''

''A côté de moi, nous sommes en voiture'' Dit-il avant de prendre une grosse inspiration ''Il vas bien''

''Écoute Marseille, j'ai pas beaucoup de temps, c'est la merde ici, Nairobi est toujours en train de se faire opérer quand au flic...j'ai réussis à avoir une trêve de quatre heures, il n'en reste plus beaucoup mais nous sommes toujours en trouve''

''Alors c'est toi'' Dit Marseille en riant ''Si on a réussis à en être là, c'est grâce à ta trêve''

Je regarda alors Palerme comme pour lui dire ''Tu vois, qui avais raison?'' Il me fit un faux sourire avant d'applaudir dans ses mains tout en faisant une révérence, bien-sûr je savais qu'il se moquer éperdument de moi, mais je trouvai tout de même un peu de satisfaction dans son geste.

''Je suis heureuse de vous avoir aider'' Dis-je en souriant, comme couper de ce qu'il se passer dans la banque

''Bon qu'est ce que tu pense de Lisbonne?'' Me demanda soudainement Marseille, nous sortant de cette bulle fragile

''J'ai discuté avec Suarez, on penses tout les deux qu'ils ne peuvent pas tuer Raquel, premièrement elle à trop d'importance à leur yeux, elle était en contact direct avec le professeur sans compter sur le fait que le petit gros était forcément de la parti, il on coucher une fois ensemble dans ce que je me souviens et peut importe ils étaient très proche, jamais il n'aurait pu faire exécuter Lisbonne, de plus si Suarez disait vrai, ils on un plan pour chacun d'entre nous, il on commençait par Nairobi, quoi de mieux que de faire baisser les troupes grâce à l'amour? L'amour c'est la meilleure arme qu'ils ont entre les mains, que n'importe qui a entre les mains, mieux encore qu'une bombe nucléaire, il on torturer Nairobi avec son fils, il on torturer le professeur avec Raquel, qui est le suivant? Moi il le ferons avec Tolède, Denver et Monica avec leurs fils et ainsi de suite''

''C'est une façon de penser'' Ajouta Marseille

''Comme ils on fait avec Rio'' S'écria le professeur

''Oui pareil, Prof'' Dis-je heureuse qu'il est enfin compris

''Oui, il n'y a rien sur elle à la radio, s' ils l'avaient tué sa serait forcément une nouvelle qui passerez dans toute les radio, Marseille change de route'' Hurla presque le professeur

''Quoi? Où on vas professeur?'' Demanda Marseille

''A la banque d'Espagne'' Répondit-il

''Non, non, non, non, non c'est trop risqué'' Dit Marseille inquiet

''Marseille t'es super, mais c'est le seul endroit qui peut concrétiser mes dires'' Dis-je avant que le professeur ne réponde quoi que ce soit

''Aller Marseille on doit y aller'' Dit le professeur derrière

''Marseille nous n'avons pas d'autre choix, Raquel fait parti de l'unité la plus importante de notre braquages, sans elle, on ne pourra rien faire'' Dis-je presque en le suppliant

''D'accord'' Finit-il par dire en
soupirant ''Direction la banque d'Espagne'' Dit-il sûrement en donnant un grand coup de volant

''Tenez nous au courant prof'' Dis-je en posant le talkie-walkie

Je me tourna vers Parme qui applaudissait se levant de sa chaise.

''C'est bien Pripiat tu est en train de nous mètres tous dans une merde incroyable, je te félicite'' Dit-il en riant

''Je sais ce qu'il y a à faire, pas comme certain''

''Tu fait ce qu'il y a à faire? Envoyer le professeur dans la gueule du loup c'est pour toi ce qu'il y a de mieux à faire? Je me suis vraiment trompé sur ton cas, tu n'est pas conne, non tu est juste singlet''

''Si le professeur sais que Raquel est en vie, il trouvera une façon de la faire sortir, et surtout il redeviendra LE professeur qui nous donnes les bon plan, que tu le veuille ou non l'espoir fait vivre Palerme''

''Et si elle est morte hein? Comment on fera?''Me demanda t-il avec arrogance

''On fera ce que je sais le mieux faire, improviser, maintenant pousse toi je veux aller voir Tokyo'' Dis-je en avançant

Mais Palerme ce mis devant moi, me coupant le chemin.

''Non, je ne peut pas faire sa'' Me dit-il en me fixant d'un regard noir

''Ah vraiment? Et je peut savoir pourquoi?''

''Par-ce que tu est en train de partir en vrille Pripiat''

''Non je ne crois pas, pousse toi maintenant'' Dis-je excéder

''Non''

''Palerme, bouge de là!''

La porte derrière Palerme s'ouvrit dans un grand fracas, nous faisant sursauter, on tourna le regard vers Tokyo qui nous dévisager étrangement.

''Qu'est ce que vous faite tout les
deux?'' Demanda t-elle soucieuse de ce qu'il se passer

''Palerme je te laisse expliquer à Tokyo ce que tu fais?'' Demandais-je en lui faisant un sourir presque narquois

''Je comparer nos taille,s je doit dire que je te penser plus petite'' Avoua t-il en mentant

''Bon en s'en fou, Nairobi est revenue à
elle'' Nous annonça t-elle

''C'est pas vrai!'' M'écriais-je

Je poussa Palerme de la main est suivis Tokyo dans les couloirs de la banque, j'avais le cœur qui palpité de bonheur, c'était si bon de ce dire que Nairobi était parmis nous, elle n'était pas sortie d'affaire, mais elle était là!

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre ! J'espère qu'il vous aura plus!
Sinon en ce moment je suis entrain de reprendre une vielle histoire GOT que j'avais commencer, j'écrivais grave bien sur celle ci, je pense la poster un jour, on verra 🤷‍♀️😉
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant