Le casse du siècle [Part 1]

-67-Dernières heures

On entra tout les deux dans le bureau le cœur lourd, cet appel on aurais préférais ne jamais le faire, tout comme pour Oslo mais nous n'avions pas d'autres choix.
Je m'essaya sur une chaise tendis que Berlin prenez dans sa main toujours tremblante le téléphone, il pressa le bouton avec une certaines lourdeur du poids qu'il avais sur les épaules.
Il y eu un silence de la part des deux hommes, un silence qui voulez t'en dire.

''Moscou est mort'' Dit soudain Berlin brisant le silence

Le prof ne répondit rien et raccrocha, Berlin serra la mâchoire et déposa le téléphone sur son socle en regardant au loin.
Je plongea mon visage dans mes mains avant de me relever de la chaise.

''Les gars?'' Demanda la voix de Nairobi

Je redressa la tête laissant mes mains tomber sur la table comme si elle étaient a bout de force, Nairobi était dans l'encadrement de la porte un sourire réconfortant au visage.

''On vas...mettre Moscou en bas''

On hocha tout deux la tête avant de suivre Nairobi jusqu'au sous sol, là ou on était entrée avec le camion, Moscou était couvert d'un draps blanc tacher de sang du a sa plaît qui avais continuer de saigner un long moment, Denver était dans les bras de Monica et regarder le corps de son père traîne
par Helsinki et Rio, Berlin venue les aider en soulevant le corps lourd et froid de Moscou pour le mettre dans une sorte de cagette près d'Oslo, ils le déposèrent doucement sous le regard perdu de Denver, puis on resta là, a regarder le draps blanc sens dire un mots, Nairobi sembler prier, sûrement pour son salut, Tokyo Helsinki avais les yeux river sur le cercueil en cagette d'Oslo pensant sûrement ''On vas tous finir comme eux''.

''On le referme?'' Demanda Berlin à Denver avec compassion

On regarda tous Denver attendant sa réponse.

''Quoi? Juste comme sa? Je crois qu'on devrais dire quelque mots je ne sais pas'' Dit-il en nous regardant les uns après les autres ''Pripiat qu'est ce qu'on dit dans ton pays quand quelqu'un meurt?''

''On fait une simple prière et on ferme le cercueil''

''Une prière hein?...notre père qui est au cieux que ton nom soit sanctifier, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel''

''Que ton règne vienne'' Le coupa Rio d'une voix hésitante

''Quoi?'' Lui demanda Denver

''Ta oublier cette phrase, après que ton nom soit sanctifier c'est que ton règne vienne''

''Qu'est ce qu'on s'en branle la tu peut me dire?'' Lui cracha Denver

''Si tu veux prier il faut le faire bien'' Ajouta Helsinki

''Tu crois que Dieu est là pour vérifier les bonnes phrase au bon moment?''

''Aller reprend Denver'' Dis-je ne voulant pas qu'il y est un conflit dans un moment pareille

Il hocha la tête positivement et se tourna vers le cuiller de son père, il avala difficilement sa salive avant de continue.

''Donne nous aujourd'hui notre pain de se jour et pardonne nous nos offense comme nous pardonnons aussi a ceux qui nous on offenser mais ne nous soumet pas à la tentation et délivre nous du mal...Amen''

On fit tous un signe de croix, même si on n'était pas tous croyant dans cette pièce.
Tokyo fondu en larmes dans les bras de Nairobi tendis que Berlin et les autres partez refermer le cercueil, je pinça ma joue à l'aide de mes dents pour ne pas pleurer de nouveau mais se fut un échec, je sentis glisser une larmes chaude sur le coin de ma joue, je ferma les yeux et détourna le regard, mais quoi que je face je revoyez Moscou, Moscou sourire, Moscou chanter, Moscou faire des blagues, je le revoyez à Tolède entrain de me parler, me raconter sa vie, me dire que j'avais un caractère de cochon, plus je penser à lui plus les larmes coulez sur mes joues.
Le cercueil fermer Denver pris une bougie et le déposa sur le cercueil.
On parti le laissant seul avec Monica, on devais continuer notre travaille et pleurer nos morts plus tard, c'était injuste pour nous comme pour Moscou, les braqueurs non pas de pause pour pleurer leur mort. Moscou ne mériter pas d'être enfermer dans une caisse, ne mériter pas de mourir de l'ombre et ne mérité pas de mourir tout court, mais la faucheuse n'en à rien a faire, il faut se préparer a voir des gens mourir lorsque l'on fait un braquage que se soit une banque ou une supérette.

''Je vais aller creuser le troue'' Dit Tokyo essuyant les larmes qui continuer de glisser sur ses joues

''Je viens avec toi'' Dis-je m'étonnant moi même

Elle hocha la tête et on descendis toute les deux en bas, les yeux de Tokyo était rouge et elle renifler toute les demi secondes.
On entra dans la pièce qui nous mener au tunnel, elle pris une pioche et me la tendis.

''C'est pas de ta faute'' Dis-je en voyant Tokyo dans un tel état

''Ah ouais? C'est celle de qui alors?''

''Tokyo je sais ce que je t'es dit, mais c'est pas de ta faute c'est ses putains de flics qui on ouvert le feu, tu devais bien trouver un endroit ou aller'' Dis-je les larmes au yeux tout comme Tokyo ''Quoi de mieux que la famille pour se protéger?''

Elle me regarda toucher par se que je venez de lui dire, on s regarda un long moment avant qu'elle ne se jette dans mes bras laissant les larmes et les sanglots prendre place, je la pris dans mes bras en lui caressant le dos.

''C'est pas de ta faute Tokyo tu comprend?''

Pur toute réponse elle hocher la tête, elle resta a pleurer dans mes bras un long moment avant que je ne la repousse doucement.

''Maintenant on vas le creuser se putain de troue et on vas se barrer d'ici, a nous le sable blanc et la putain de vie de rêve''

''Amen'' Me dit-elle souriant

On descendis toute les deux en bas, on donner des coups aussi fort les uns que les autres, on entendez de l'autre coter les serbes donner de grand coups, plus le temps passer plus on était proche de notre sorti.
Je donna un grand coup qui fit tomber un ta de cailloux au sol, en face de nous se trouver un homme, un homme au grosse lunette, à la barbe bien tailler, un homme qui nous avais sauver d'un futur en prison, le professeur.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre 67 déjà...
La grosse bise 😘