Je n'avais plus rien ressentit durant quelques minutes, c'était presque agréable, j'avais eu cette impression d'avoir quitter mon corps, d'avoir quitter ce monde atroce, cette douleurs pesante mais sa n'avais pas durée... pas assez longtemps, je sentez dans mon bras une douleur engourdissant, comme si des millions de fourmis se pavaner dans l'entièretait de mon bras, mes yeux s'ouvrer petit à petit mais tout rester troubles, je n'entendez presque pas ce qui ce passer autour de moi, je voyais Helsinki me parler mais je n'entendais rien, il se leva et parti en courant, Denver claquer des doigts devant moi avec un air inquiet, mais j'étais incapable de prononcer le moindre mots.
Au loin je semblez apercevoir une silhouette qui s'approcher de moi d'un pas lent, très lent même, la silhouette était comme enrober et porter une longue barbe, lorsque ce visage familier se trouver en face de moi je n'en crue pas mes yeux, autour de lui tout le monde courez, aider Palerme ou m'aider mais je ne voyais clairement que Moscou, il tenait une cigarette a sa main et me fixer du regard, un regard triste.''Pripiat'' Me dit la voix de Moscou
J'étais incapable de bouger, incapable de prononcé un seul mots, je ne comprenez rien, j'étais morte? Ou je rêver? Je sentez un flot de panique envahir tout mon corps passant par mes veines comme une sorte de poison.
''Qu'est ce que tu fais là?'' Me demanda t-il énerver ''Tu pense à ton fils? Sérieusement!''
''Moscou?'' Lui demandais-je d'une voix très faible ''Moscou''
La vision de Moscou se dissiper petit à petit laissant la dur réalité me reprendre, Denver était en face de moi une larme coulant sur la joue.
''Pripiat qu'est ce qu tu raconte?'' Me demanda t-il en passant sa main sur sa bouche
Mais je n'arrivais à garder les yeux ouvert trop longtemps, ils replongèrent dans noir et l'obscurité avant qu'une nouvelle voix bien connue ne se fasse entendre mais cette fois le décor de la banque d'Espagne avais disparue, lorsque j'ouvris les yeux je me retrouver assise dans un lit, en regardant autour de moi je reconnue aussitôt les dessin sur les mur, le parquet sale, les jouet traînant au sol, le vieux tapis rose brûler par la cendres de cigarette de mon père, je me leva aussitôt du lit prise d'un vent de panique, je me frotta le crâne, tout sembler tourner autour de moi.
''Lara chérie'' Dit la voix réconfortante de ma mère
Je me tourna violemment après avoir entendu cette voix que je n'avais plus entendu depuis des années, une voix douce mais légèrement casser à cause du froid et du tabac, elle était assise sur un petit fauteuil noir coller au fond de la chambre, je sentis une larme couler sur ma joue,c 'était elle, ma mère, ma douce mère, elle tendis ses bras ouvert vers moi.
''Viens ma chérie'' Me demanda t-elle une larme au coin de l'œil
Je m'avançai d'un pas si hésitant, je ne comprenez rien de ce qu'il se passer, mes pas se faisait seule sans que je ne demande à mon corps je me retrouva agenouiller face à ma mère, les yeux tremper, je sentis sa main se poser sur ma joue, elle était froide, geler même mais pourtant il sens dégager une chaleur humaine rare.
''Ma douce enfant'' Disait-elle
en pleurant ''Nous n'avons pas beaucoup de temps'' M'annonça t-elle''Maman qu'est ce que...''
''Chut'' Me dit-elle en posant son doigt sur la bouche '' Tu dois m'écouter, je suis si fière de toi...tellement même toi et t'es amis vous avais changer la phase du monde, mon père aurait était si fier de toi lui aussi, tu a sauver l'honneur de notre famille bien qu'il est était perdu en 86'' Elle passa sa main sur sa joue pour essuyez la larme qui glisser le long de celle ci ''Tu dois t'accrocher ma fille, pour ton fils, ton petit Tolède, il a déjà t'en perdu à son jeune âge, tu n'est pas la mère parfaite mon ange mais quelle mère est parfaite? Aucune mère n'est parfaite mais tu fais de ton mieux je sais que ce n'est pas facile mais ton fils t'aimera jusqu'à la fin de ses jours, il aura toujours besoin de toi''
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Le casse du siècle [Part 1]
FanfictionMoi c'est Pripiat, enfin avant comme toute personne normal j'avais un vrai prénom mais j'ai appris à ne plus m'en servir, comment? En faisant ce qui semblez être le meilleur casse de toute ma vie. J'étais probablement là meilleure candidate pour se...