La porte c'était refermer plus violemment derrière moi, je tourna la tête et vis alors Berlin, il avais le regard noir et se diriger vers moi d'un pas lent, je le regarda un regard aussi noir que lui.
Je ne voulez pas créer une dispute entre lui et moi, mais il était aller trop loin avec Nairobi et je ne supporter pas sa, Nairobi était devenue comme une sœur durant se braquage et elle m'avais épauler, les gens qui m'épaule devienne des allier et je prendrais toujours la défense de mes allier.
Berlin se trouver maintenant en face de moi, il ne me dévisager pas mais ne me regarder pas avec tendresse et amour tout comme moi.''Ne t'interpose pas entre moi et les autres Pripiat, tu a beau avoir mon soutiens du a notre relation mais sa ne te donne en aucun cas le droit de me couper la parole'' Me dit-il avec de ton qui m'on supporter chez lui, un ton de supériorité
''Je vais t'expliquer quelque chose Berlin avant qu'on s'engage toi et moi dans une relation comme tu dit'' Dis-je en m'avançant vers lui le fixant du regard''Tu n'as aucun ordre à me donner, premièrement parc qu'ici tu n'est pas le seul à être au commande et deuxièmement parce que je suis une femme libre et ni toi ni personne d'autres ne pourra me l'enlever, c'est bien clair? Monsieur Fonollosa'' Dis-je à seulement quelques centimètres de lui ''Et un autre conseille ne t'en prend jamais à Nairobi ni à Denver''
Il me regarda ne sachant quoi répondre, je savais que Berlin était capable de me balancer les pires merde à la tronche, c'était assez facile de sen douter on avais presque le même caractère tout les deux, comme quoi les contraire ne s'attire pas toujours.
Il termina par sourire et rire de son rire narquois qu'il utiliser souvent, avant que son regard ne tombe dans le mien.''Attend Pripiat pour qui tu te prend au juste?''
''Je me prend pour moi Berlin, la fille que tu veux épouser sur la plage c'est celle là pas une autre, pas une femme qui fermera sa gueule face à toi, pas une femme qui te laissera prendre toute les décision en disant Amen à tout, alors si tu cherche se genre de femme dit moi le tout de suite''
Il y eu un silence, comme si le monde autour de nous venez juste de s'arrêter, mon cœur battez vite, j'avais beau avoir un caractère fort et ne presque pas montrer mes sentiments, je ne voulez pas perdre Berlin, pour la simple et bonne raison que depuis ma naissance je ne m'étais jamais senti aussi bien avec un homme, jamais de ma vie je n'avais crue en se que je croyais maintenant, en l'amour et en une éternité de sentiments, je ne voulez pas perdre sa, pour rien au monde, pas maintenant, pas dans une fabrique de billet, pas dans un braquage mais si il en était ainsi je ne pourrais qu'accepter le sort et vivre avec ma rancœur jusqu'à la fin de mes jours.
Le silence se coupa lorsque je remarqua que Berlin avais cesser de me regarder.''Tu sais Pripiat toute les femme que j'ai eu non jamais sue se montrez aussi franche que toi, je crois que dans une certaine mesure elle avais peur de moi et de mes réactions, je ne vois pas pourquoi je suis un être terriblement amicale et plein de sentiments'' Me dit-il en riant presque
Il fini par faire un pas de plus vers moi en me fixant du regard.
''Peut être que les choses doivent parfois changer n'est ce pas? Quand on sortira d'ici je te jure que je te montrerez à qu'elle point je suis le chef'' Me dit-il un sourire loin d'être sain coller au visage
''Mais avec plaisir'' Lui répondis-je du même air
Il me fit un dernier sourire avant de regarder sa montre.
''En attendant il est temps pour nous de partir'' Dit-il en se dirigeant une nouvelle fois vers le bureau de Nairobi
Il sorti de sa poche une oreillettes qui plaça à son oreille avant de m'en donner une, que je pris.
''Attend maintenant?'' Lui demandais-je étonner
''Maintenant'' Me répondait-il avant d'entrer dans le bureau de Nairobi
''Nairobi on s'en vas'' Dit Berlin en entrant
''Il y a encore de l'argent à prendre''
''T'en pis pour ses valises là'' Il se dirigea vers les otages présent''Mesdames et Messieurs se fut un plaisir de vous séquestrer mais je pense qu'il est temps pour nous de prendre des vacances bien mériter'' Dit-il ouvrant les sacs et jetant les billets en l'aire tout en riant
Je sentis une drôle de sensation me prendre le bas du ventre, un mélange d'excitation et de peur, se genre de mélange de sentiments que l'on éprouve lors d'un braquage en parti vers la in de celui là.
Berlin se tourna vers moi et me fit un clin d'œil en me montrant le ta de billets qu'il tenez dans sa main, il m'embrassa devant tout le monde d'un baiser des plus langoureux avant que nos pieds se mettent à trembler et qu'un bruit d'explosion se face entendre, Berlin me lâcha aussitôt et regarda autour de nous.''Bordel c'est quoi sa'' Demanda Nairobi
''Nos amis les flics viennent tout juste d'arriver'' Dit Berlin en sortant son arme
''Et merde'' Crachais-je en sortant à mon tour mon arme ''Aller mes amis on vas descendre tout ensemble et vous aller vous asseoir'' Dis-je d'un calme des plus étonnant
Bien que la situation paraissez sous contrôle on devais continuer le plan et rester calme se qui n'était pas facile mais qui nous était obligatoire.
La peur nous fait agir par intuition un peut comme des moutons poursuives par un loup, les moutons vont se mettre à courir sens regarder ou ils vont, l'un deux finira toujours par ne pas suivre la bonne direction et celui là, celui là se ferra attaquer à la gorge par l'un des loups, la peur et l'ennemi de tout plan de cambriolage.
Les otages me suivirent avec panique, des bruits de balles raisonner en bas, les flics avais ouvert le feu et pour qu'ils ouvrent le feu c'est qu'ils avaient trouver l'un des nôtres.
On descendis les marches aussi rapidement qu'on le pouvez moi en premières je devais protéger mes chers otages, le béatement de mon cœur battez au rythmé des balles qui fuser en bas.''Assis! Aller assis!'' Criais-je en laissant les otages ici ''Aller vous rester calme! Merci d'avoir suivis mes ordres, ce fut un véritable plaisir'' Dis-je le souffle coupée par l'adrénaline
Berlin et Nairobi avais encore du travailles là haut, il devais effacer notre trace, je n'avais pas d'autre choix que d'aller aider mes camarades, je fit un signe de croix assez bête pour croire que dieu veillerais sur une fille comme moi et parti en direction de l'entrepôt à billets.
...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour sa chapitre, bon j'ai changer la fin qui était prévue genre hier soir sur un coup de tête j'ai effacer les trois derniers chapitres 😂
Aller la bise 😘
VOUS LISEZ
Le casse du siècle [Part 1]
FanfictionMoi c'est Pripiat, enfin avant comme toute personne normal j'avais un vrai prénom mais j'ai appris à ne plus m'en servir, comment? En faisant ce qui semblez être le meilleur casse de toute ma vie. J'étais probablement là meilleure candidate pour se...