-89- On s'aime pourtant on se detestes

650 22 28
                                    

Je pris mon paquet de cigarette et en sorti une, je la fuma puis j'en sorti une deuxième, une troisième, une huitième et toute d'affiler sous le regard de Berlin qui c'était tourner entre temps, je l'entendis bouger dans le lit mais je ne put détourner mon regard vers lui c'était impossible, je ne pouvez pas le regarder, pas le voir, pas le voir comme sa, dans un tel mal, putain de maladie.
Je sentis alors une présence derrière moi, je n'eus le temps de me tourner que deux mains étaient déjà passer autour de ma taille, je sentis le menton de Berlin se poser sur mon épaule, son souffle saccader dans mon cou, son odeur nauséabonde de personne malade, mais ses mains était toujours ses mains, son pouls contre mon dos était toujours son pouls.
Je ferma les yeux comme pour échapper à la dangereuse réalité.

''Je veux que tu parte Pripiat'' Me chuchota t-il dans l'oreille

''Non'' Dis-je d'une voix faible et chevrotante

''Pour une fois écoute ce que je te dis''

''Je te laisserez pas, pas maintenant'' Dis-je ravalant mes larmes ''Pas après tout ce qu'on à vécu''

Il soupira de plus belle, je balaya de ma main les larmes qui glisser encore malgré moi et me tourna vers lui, je lui fit un sourire qui de toute évidence était faux et caressa sa joue, son regard se plongea dans le miens, un regard intense qui ne pouvez que me faire frissonner à nouveau, son regard était toujours son regard et c'était bon, mais pourtant je le détester, je détester le voir souffrir, tremblé, vomir et encore plus je détester l'imaginait mourir, sans lui qui serrais-je? Rien qu'une femme perdu sans aucun repère, pourquoi fallait-il que tout ceux que j'aimais meurt? Qu'avais-je fait pour mérité sa? Voilà que je m'apitoyais sur mon propre sort, je me battez jour et nuit pour continuer à vivre, sourire, rire toutes ses choses que l'on faisait au quotidien était devenue si dur à faire, pour rester heureuse je me souvenez des jours heureux, des jours ou tout aller bien.

Flash-back

Assise sur le sable je ne pouvez que regarder les vagues bleu se jeter à mes pieds, j'avais toujours rêver de vivre sur une île loin de tout.
Ce matin les garçons étaient tout deux parti en ville car à ce qu'il se disait aujourd'hui était le jour de ma naissance, voilà que je prenez mes 29 ans, un jour qui se fête selon le prof, je n'avais jamais eu l'habitude de fêter mes anniversaires, lorsque j'étais petite fille ma mère me tricoter un pull ou un gilet, elle préparer ensuite un baba au rhum, c'était mon gâteau préférais, qu'est ce que je ne donnerez pas pour pouvoir manger un baba au rhum de ma mère...
Puis quelques amis venez chez moi si leurs parents n'étaient pas fâcher contre mon père, si c'était le cas je passer la journée dans la forêt derrière chez nous et je me construisez une cabane.
Un sourire se forma sur mes lèvres en repensant à ses souvenirs d'enfance.

''Madame Fonollosa qu'elle beau sourire'' Dit une voix à mes côtés

Je détourna la tête et vis Berlin, qui d'autre que lui?
Il tenait dans sa main une rose blanche, les pétales se compter par dizaine autour de cette tige verte.

Fin flash-back

Finalement ma vie était comme cette rose, chaque jour un pétales tomber, puis ceux qui rester se sont mis à faner et à pourrir de l'intérieur, puis la rose avais fini par se dé sécher et s'effriter en miette, la vie que nous menons avec Berlin était comme cette rose, tout se passer doucement jusqu'à un certain stade ou les pétales se ronger de l'intérieur comme la maladie de Berlin puis il ne resterait que des miettes, plus une seule pétale juste une tige vide, sans pétales, la tige sans fleur n'est rien, elle est jute un autre bout d'herbe inintéressant, ma vie sans Berlin était comme cette tige sans fleur, inintéressante et banale.

''Je resterais avec toi jusqu'à la fin'' Dis-je en le serrant contre moi comme pour oublier que la mort se trouvez dans la pièce

''Et tu me donnera à manger à la petite cuillère? Comme si j'étais un enfant?'' Dit-il en me repoussant

''Si il le faut je le ferais''

''Non... non personne ne s'occupera de moi comme à un gamin, j'ai déjà eu une mère j'en est pas besoin d'une deuxième... toi et Sergio vous partiraient de L'île''

Je resta un instant sans comprendre, j'étais dans la plus grande incompréhension, jamais je ne partirais de cette île! Jamais.

''Tu n'aura cas refaire ta vie avec lui'' Me dit-il en souriant faussement

''Arrête!'' Criais-je de désespoir ''On trouvera une solution''

''Une solution? Il n'y en a aucune mais c'est comme sa'' Il venue près de moi à nouveau ''Des hommes et femmes meurt presque toute les minutes, je serrais juste une personne de plus, juste une minute de plus''

Je baissa la tête, surrement trop triste pour le regarder droit dans les yeux.

''Vois le coter positif, tu serra la plus belle veuve de tout le continent''

Je senti sa main éfleurer ma joue et un sourire c'était dessiner sur ses lèvres, c'était si dur de le voir si optimiste à sa propre mort, c'était... je n'avais même plus les mots.

''Nous avons encore du temps ensemble, chaque secondes que nous avons nous devons les vivres avec envie et ardeur, je ne veux pas que tu est le souvenir d'un homme faible qui passe ses nuits à vomir mais plutôt d'un amant perfectionniste... oui j'aime bien cette idée''

Berlin rester Berlin malgré la maladie, malgré que sa maladie lui ronger les muscles, les tendons, les os et maintenant lui ronger la vie... il rester lui.
Ses lèvres se posèrent sur les miennes et nous échangions à nouveau l'un de ses baiser copieux, ses mains passer sur mon ventre dans une lenteur follement agréable, sa respiration se mêlant à la mienne.
Une fois se long baiser terminer il me regarda et me fit un sourire que je ne put que lui rendre, puis il parti se coucher, les événement de la nuit l'avait fatiguer et affaiblit tout comme moi, dans se grand lit on se serra fort, aussi fort qu'on le pouvez pour vaincre notre peur, même si il paraissait être un homme sans peur Berlin avait bien peur de la mort, comme tout être humain, c'était normal après tout d'avoir peur de la mort, la mort n'est pas simple et elle surviens quand bon lui semble, un peut comme la vie.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Désoler je penser avoir poster alors que pas du tout 😂 je suis vraiment désoler du coup j'espère que se chapitre vous a plus, je viens d'avoir un rat que j'ai appeler Nairobi ! Voilà je vous raconte ma vie
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant