-99-Départ part1

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La boule au ventre je me réveilla, je n'avais presque pas fermer les yeux de la nuit, j'avais peur, une vrai peur pas comme celle avant le braquages, avant le braquage je n'avais rien à perdre si ce n'était quelque souvenirs mais aujourd'hui j'avais tellement de chose à perdre...l'homme qui avait réussis à me faire ressentir quelque chose, une famille, une liberté que je n'avais encore jamais connue, tout sa pour une simple tombe?
Je me leva remarquant que Berlin était encore endormir, sa respiration animé la pièce silencieuse, je parti dans la cuisine et me servis un café, je remarqua alors que le jour était seulement sur le point de se lever, je décida de boire se dernier dehors sur la terrasse, il y avait un petit air frais qui me caresser les cheveux, c'était bon et sa me rassurez un peu, lorsque je tira la chaise je vis que le prof était lui aussi lever, il tenait une tasse dans sa main et était encore vêtu de son pyjamas rayé de grand père, il me salua de la main et venue vers moi.

''Bonjour Pripiat'' Me dit-il d'une petite voix rauque

''Bonjour prof''

Il tira une chaise et s'assit à mes côtés en regardant en face de nous les vagues encore calme et le soleil montrer ses premiers rayons, il but une gorgée et posa sa tasse dans un bruit de verre.

''Tu est déjà lever?''

''Oui j'ai eu du mal à fermer l'œil'' Dis-je en souriant au prof

''Moi aussi je dois bien l'avouer...j'ai confiance en ce plan mais il n'est pas assez travailler''

''Nous n'avions pas assez de temps pour le préparer peut être qu'on aurait du attendre'' Dis-je presque en suppliant le professeur

''Le temps Berlin n'en à plus beaucoup...c'est sûrement sa dernière chance d'aller en Russie avec toi''

Je baissa la tête, cette vérité me terroriser mais je ne voulez pas y penser, pas maintenant, pas aujourd'hui j'avais assez de problème dans la tête pour en ajouter des nouveaux.

''Mais tu n'as pas a t'en faire si nous suivons mon plan à la lettre tout se passera bien, nous avons des faux passeport Serbe, un avion louer uniquement pour nous au nom d'un de nos compère Serbe, on dormira chez une habitante qui a hébergé ton père durant'' Il se tut avant de regarder devant lui ''Durant le divorce de tes parents...toute les équipes qui sont à nos services son prévenue, des Serbes son déjà sur place pour surveiller les lieu...tout se passera bien''

Mais je sentez dans sa voix qu'il chercher à se rassurer lui et non moi, Peu de temps plus tard le jour était levé,Raquel et Berlin nous avais rejoint, le professeur nous avait distribué à tous les nouveaux passeport et carte d'identité qui nous était dédié, je changer de nom pour m'appeler Svetlana, on ne pouvez pas faire plus cliché, mais ce prénom n'était si moche, les valises étaient toute prête, on devait se faire escorter vers l'aéroport par un groupe de touriste chinois que le professeur avait engagé, comment avait il put faire tout cela en seulement quatre heures? L'argent, voilà où était la réponse, avec l'argent on peut tout obtenir, tout, même le temps si on le veux.

''Bien vous n'avais rien oublié?'' Demanda le prof stresser

''Surtout vous avais pris des vêtements chaud? Nous sommes en Septembre, en Russie la neige à déjà commencer à tomber et la fraîcheur ne fait pas de cadeaux''

Tout le monde sembler avoir pris des vêtements chaud et heureusement, à cette période il faisait toujours froid, les chinois venez tout juste d'arriver, il était une bonne quinzaine, tous là pour nous faire passer discrètement, un groupe de touriste quoi de plus discret?
On monta dans le bus qui était venue nous chercher avec un stresse aussi haut que possible, Raquel se ronger presque les ongles, le professeur se racler la gorge tout les minutes, quand à moi je sentez ma jambes trembler, il n'y avait qu'une seul prosterne qui n'avais aucun signe de stresse, Berlin, pour lui cette sorti était tout à fait normal, après tout lorsqu'on est condamné on vie les peurs différemment, du moins j'imagine.
Le bus démarre, laissant derrière nous nos maison qui aller être entretenue par notre cuisinier, l'argent avais étaient enfermés dans un coffre caché dans un bâtiment loin dans la jungle qui nous appartenez et pour le s'ouvrir il fallait soit le doigt du professeur, le mien ou celui de Berlin, si aucun de ses élément n'était réunis il n'y avait qu'une solution, une bombe assez puissante pour faire sauter la porte, autant dire que l'on pouvez partir tranquillement, mais si tout se passer différemment, je n'arrêter pas de me poser la question.

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant