-54-Le corps d'Oslo

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''Je vous pris de me suivre'' Leur demanda Berlin en montant les premières marches

La journaliste assez surprise regarda son cameraman comme pour avoir l'autorisation de monter les marches, il hocha positivement la tête est la jeune femme se mise à monter les marches suivis par trois Dalí comme nous appeler les médias,moi, Nairobi et Moscou.
Dans le grand bureau ou se passer toujours plein de chose tout avais était organiser pour l'arriver de la journaliste, Helsinki et Denver avais tout deux préparer la salle pour en faire la pièce d'une scène terrifiante.
Berlin poussa la porte et soupira voyant l'état de la pièce.
Là au milieu de la pièce ce trouver une table ou était allonger Oslo, du moins le corps sens vie d'Oslo il avais les deux mains jointe sur le ventre et sur sa tête afin qu'on ne le reconnaissent jamais un masque de Dalí, la journaliste fut surprise de voir se corps allonger sur la petite table face à elle.

''Je ne sais pas si vous avais déjà vue un cadavre'' Demanda Berlin à la toute jeune journaliste qui ne devais jamais en avoir vue de toute sa vu ou du moins pas d'aussi près ''Pour certains d'entre nous c'est aussi la première fois''

Berlin avais pris un aire triste et endeuiller qui me donner presque des frisson tellement il jouer bien son rôle.

''Vous êtes venue ici pour filmer la réalité ceci est la réalité'' Dit-il en avalant difficilement sa salive ''Un homme à nous est mort ici...c'est important que vous les sachiez et il est important que vous le confirmer s'il vous plaît''

La journaliste légèrement perdu s'avança près du corps d'Oslo elle le regarda un instant pensant sûrement ''Je suis vraiment entrain de prendre le pouls d'un homme qui de toute évidence est mort?''
Elle le dévisagea à tel point que sa mâchoire devenue dur comme du béton, elle pris une petite inspiration qui devais ne pas se faire voir à la caméra et déposa deux doigt dans le creux du coup de l'homme au masque à la recherche d'un pouls qui était de toute évidence introuvable.

''Oui, oui je confirme il est décédée'' Ajouta t-elle en retirant rapidement ses deux doigts en regardant la grosse caméra braquer sur elle

''Un des otage la frapper à mort lors d'une fuite et..on a rien pu faire peut être, peut être qu'au yeux du publique cette homme là est un bandit, un simple voleur'' Berlin baissa la tête ''Mais pour nous c'était un compagnon et aussi un ami'' Dit-il la voix légèrement chevrotante ''Et rien ne peut vous préparer à sa, rien c'est aussi une des raison pour les quelle on a pris la décision de libéré les otages certain d'entre nous en arrivant ici penser qu'on ne pourrais pas tous repartir en vie mais franchement je ne croyez pas que sa lui arriverais''

''Vous voulez dire que d'autre au sein du groupe était près a''

''Non, non non pas du tout on est des personne sensé on a parfois eu des difficulté de tout type et parfois sa peut même pousser les meilleur à commettre des choses que par la suite on regrette mais on le fait pour nos famille pour tous ceux qui son cher a nos cœur'' Dit-il nous regardant tous avant de s'arrêter sur moi se qui me déstabilisa légèrement ''Venez'' Dit-il à la journaliste en pressant le pas loin d'Oslo ''Je suis gravement malade j'ai une maladie dégénérative les policiers le savais et pourtant sa ne les a pas empêcher de raconter des mensonges sur moi laissez moi vous dire une chose d'accord je suis un voleur''

Je fut étonner tout comme les autres de voir Berlin dans un tel état ils sembler être plus qu'affecter par ce qu'il était entrain de dire, peut être avais on sous estimer ses peur le oyant comme un homme sens cœur, un homme qui de toute évidence n'avais pour les autres aucun sentiments, alors que l'homme que l'on avais face à nous et a la grande caméra l'homme qui se trouver là était un être humain comme les autres doter de peur, de chagrin, de joie et d'amour.

''Tout ma vie je les était, j'ai braquer des coffre des bijouteries j'ai était un cambrioleur mais je n'est jamais vendu quelqu'un''

Un silence pesant s'installa entre nous tous.

''Je n'est jamais fait la traite des blanches je ne suis pas un proxénète ni un trafiquant ou un violeur de mineur'' Disait il l'es larmes au yeux ''C'est des conneries et pourtant si vous croyez la police je serrais coupable d'avoir commis tout ses horreur''

''Vous...vous voulez dire que la police à mentit à l'opinion publique?'' Demanda la journaliste

''La police à menti oui, elle a menti à l'opinion publique elles on menti à mes proches, elle a bafouer le nom de ma famille je suis un voleur...mais un voleur à le droit lui aussi de dire non à la diffamation et surtout j'espère bien avoir le droit de..de mourir en paix et dans l'intimité...je suis désoler on arrête '' Dit-il a bout ''On arrête je vous en prie''

Voilà comment nous sommes devenue le sujet de conversation de toute l'Espagne tout le monde ne parler que de nous, nous les braqueurs au grand cœur, dans les parc, les bars et tout ce qui s'en suivez nous étions le centre de la discutions, on était devenue la putain d'équipe du Cameroun.

''Nous allons y aller'' Dit la journaliste ''Merci beaucoup de nous avoir permis d'entrée''

''Ce n'est rien Pripiat, Helsinki ramener ses messieurs dames à la port je vous pris'' Nous demanda Berlin

Jon fit signe tout les deux à la journaliste et son camarade encore sous le choque avant de descendre les marches et de les faire sortir, une fois la porte fermer j'enlève mon masque de sur la tête tout comme Helsinki, on se regarda un court instant avant de se sourire.

''On a réussis '' Dit Helsinki en criant de joie

La joie fut courte et la réalité nous rattrapa surtout lorsque le téléphone sonna dans toute la fabrique, je regarda u instant Helsinki avant de montez les marches et d'entrer dans le bureau, Nairobi avais déjà répondu et tenez dans ses mains le téléphone.

''Nairobi je veux que tu disent à Rio quand t'en que capitaine de l'équipe je vais faire sortir Tokyo le plus vite possible de prison''

''Sa c'est bien professeur je lui dirais''

''Passe moi Berlin''

''Berlin'' Demanda Nairobi

Berlin qui était entrain de regarder par la fenêtre avança jusqu'à Nairobi.

''Moi?'' Demanda t-il surpris

''Tu vois un autre Berlin ici?'' Lui demanda Nairobi

Il pris le téléphone en remerciant Nairobi avant que l'on sorte toute deux de la pièce en fermant la porte derrière nous.

''Ta bien fait de demander à Berlin'' M'avoua t-elle

''Ouais je pense aussi'' Dis-je en sortant une cigarette de ma poche''Je...je vais aller voir Berlin''

''Ouais vas y'' Me dit-elle en me faisant un petite sourire qu'elle perdit assez rapidement

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre j'espère que vous l'avais apprécier .
La grosse biseeeee😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant