-110- S'éloigner

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''Aller Pripiat on dois faire vite!'' Me cria le prof en me tirant hors de ma propre maison

''C'est ton frère!'' Criais-je ''C'est ton frère Sergio tu ne peut pas le laisser ici!''

''Pripiat arrête'' Me répondait-il en pleurant lui aussi

Comment nous pouvions le laisser ici? Comment le Professeur faisait pour garder sont sang froid? Plus les kilomètres nous éloigner de Berlin, plus mon cœur se serrez à tel point que l'ai qui gonfler mes poumons avait du mal à les atteindre.  Sans que je ne m'en rende compte nous étions arriver à la voiture. Raquel et sa famille nous attendez les larmes au yeux, j'agrippai la portière de celle ci, ne voulant rentrer à l'intérieur. 

''Lara arrête'' Cria le Professeur ''C'est fini pour Berlin, nous, on a encore une chance'' Dit-il me poussant comme il le pouvez dans la voiture 

 Non je ne pouvez pas, je n'entendais presque plus le Professeur qui s'efforcer de me redonner raison, mais ma raison n'étais plus, ma raison était lui, je n'avais pas étais si bien depuis que je l'avais rencontrer, comment pouvais-je le laisser ici? Deux bras m'attrapaient me faisant tomber dans la voiture, je détourna le regard quelques secondes pour voir un homme au gros bras surement affoler par la situation, le Prof ferma les portes et la voiture pris sa route. Notre maison, notre vie, l'amour, s'éloigner petit à petit, mes yeux étaient river sur cette endroit, mais la seule chose à la qu'elle je penser était à lui, le seul, l'amour de ma vie, je l'avais laisser mourir seul sur cet plage, je l'avais abandonner. Les larmes qui couler sur mes joues était aussi tranchantes que des lames de couteaux, j'avais mal, si mal, comme si quelqu'un venez de me couper le ventre en deux, chaque respiration m'étouffer, me bruler la gorge, m'anéantissez. Ma tête était lourde et tomber en avant, j'étais morte, morte de l'intérieur, morte de l'extérieur, ma vie venez de prendre fin j'en était sûr. Ma vie était fini, je me repasser les images de Berlin et moi, notre oui, se oui sur une plage, accepter de devenir sa femme, sa tendre, accepter de devenir sa dernière femme, je le revoyez m'embrasser, je le revoyez peindre sur la plage, plus je me repasser des images de lui, plus mon cœur se serrez. Je n'avais même pas chercher à comprendre qui était cet homme qui nous conduisez ailleurs, je n'en savait rien, je n'avais pas prêter attention au crie de la fille de Raquel qui ne comprenez rien à toute cet situation, tout comme la mère de Raquel qui passer sont temps à rire, j'avais envie de la fracasser, comment pouvez-elle rire dans un tel moment? Je vie alors Sergio dans le rétroviseur, des larmes coulez sur sont visage, lui aussi venez de perdre un être cher, mais ma peine compter plus que celle de n'importe qui, peut-être étais-je égoïste? Mais lui il avait encore Raquel, il n'étais pas seul, je la vie d'ailleurs poser sa main sur l'épaule de Sergio. J'étais jalouse, si jalouse à ce moment de les voir se regarder les yeux larmoyant mais pleins d'étoiles provoquer par ses putains de papillons qui pousser dans leurs ventre dû à l'amour.  Je ne voulez que Berlin, qu'il me sert dans ses bras, bien qu'il sente le vomi, qu'il soit geler, qu'importe je le voulez lui, qu'il me dise que tout ceci n'est qu'un de mes nombreux rêves, mais tout était bien trop réelle pour être un rêve. 

''Professeur je vous emmène directement au bateau?'' Demanda l'homme qui n'avait encore pas toucher un mot

Le prof se redressa et regarda l'homme à travers à ses côtés, il remis ses lunettes en place sur son nez en prenant une grande inspiration.

''Oui merci Marseille''

L'homme prénommer Marseille hocha simplement la tête et se reconcentra sur la route tendis que Sergio regarder à nouveau le paysage défiler sous ses yeux.
Moi, je voulais sautez par la porte de cette foutue voiture, je voulez m'étaler contre la route, ou encore partir en courant vers ma maison, Berlin, mourir avec lui, Berlin, Berlin, Berlin, Berlin!
Je mourez de l'intérieur et ce nom de ville, bordel il me faisait si mal, je le détester de me faire autant de mal, sale enfoirée.
Les larmes se mêler à la colère me provoquant de drôle de sanglot que Raquel ne compris pas, du moins c'est ce que j'avais penser en la voyant me regarder de travers.
On arriva assez rapidement à une sorte de port abandonner, il y avais quelques bateaux rouiller qui flotter sur la mer verte, l'eau était bien différente de celle que l'on avait sur notre île.

''Aller on se dépêche'' Nous ordonna Marseille avec son accent d'ailleurs

On sorti de la voiture mais je ne tenez presque pas debout, mes jambes étaient faites de coton mais qui cela pouvez interpeller? Raquel qui devais surveiller sa mère, sa fille et épauler le prof? Le prof qui de toute évidence avais perdu lui son frère.
Je ne comptais plus, pour personne, c'était cette sensation qui me tenez, seule, seule et encore seule comme je l'étais il y a trois ans, comme je l'étais quand j'ai perdu ma mère, c'était invivable, qui pouvez vivre seule? Personne.
Je réussis tout de même à marcher jusqu'au petit bateau qui nous emmènerez loin d'ici, loin de se paradis, de cette éternité, je ne voulez pas partir, non je ne pouvez pas, je m'arrêta net.

''Aller qu'est ce que tu attend?'' Me demanda Marseille impatient

Je tourna la tête vers le bateau, tout le monde était déjà dessus, Raquel avais pris Paula sur ses genoux et la bercer en caressant ses cheveux, le prof quand à lui était debout face à la mer, la mère de Raquel était assise et me regarder se grand sourire au visage.

''Professeur je fait quoi d'elle?'' Demanda alors Marseille 

''Pripiat!'' Soupira le Prof 

Je sentis à nouveau les bras de Marseille passer autour de moi, il me traina t'en bien que mal jusqu'au bateau, je n'étais plus là, mon âme avait comme quitter mon corps, je voyais tout, mais ne pouvez plus rien faire, j'avais déjà vécu ça, avec de la drogue bien évidement. Marseille m'aida à monter dans le bateau avant de nous saluer, puis aussitôt le bateau démarra, je regarder une dernière fois le port jusqu'à ce que Marseille ne ressemble plus qu'à un point noir au loin. Je venez de l'abandonner... mon cœur se déchirer à chaque centimètres parcourue. La nuit tomba petit à petit, jusqu'à ce qu'on y voit plus.

''Pripiat'' M'appela le prof d'une vois faible

Je tourna le regard vers lui, il se tenez derrière moi et avait poser sur ses épaules une couverture qui devait lui tenir légèrement chaud, dans sa main il tenez deux tasse dont il me tendis celle de gauche, je la pris sans vraiment me soucier de son contenue.

''C'est... un café'' Me dit-il venant à mes côtés

J'haussa les épaules et me reconcentra sur le paysage qui m'avais envoûter.

''On arrive dans quelques minutes... tu sais Berlin''

''Ne me parle pas de Berlin'' Le coupais-je froidement

''Hum'' Fit-il en regardant le café noir qui se balancer dans sa tasse blanche tacher de vieux café

Il fit alors demi tour et parti s'asseoir près de Raquel, me laissant de nouveau seule, j'avais envie de hurler mais je ne pouvez pas, je n'en était pas capable, dire une phrase avais était si dur à faire.

''On est arriver'' Nous prévenue un nouvel homme

On se retrouva sur une île bonder de monde, les gens faisait la fête en buvant un verre, puis deux et tout sa a l'affiler, cette île me faisait penser à Tokyo, elle aurais aimer cette île, Berlin l'aurais détester, sa c'était sûr.
On traversa alors cette fête pour arriver devant un immeuble délabrais.

''C'est ici, si vous avais besoin d'aide appeler moi professer'' Dit l'homme avant de disparaître dans la foule

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre 110 😌
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant