-150- Boum Boum Ciao

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Même si le cœur était à la fête notre travaille nous attendez, Denver et moi descendions en bas pour voir si Bogotá sans était sorti et surtout voir si le gouverneur était toujours aussi stable.
Lorsqu'on arriva les machines que nous avions installé était déjà en marches, la chaleur était épuisante mais elle était nécessaire.
Ce fut d'ailleurs Bogotá qui nous accueillis à notre plus grand plaisir.

''Il est vivant'' Dis-je en riant

''Je vois que vous deux aussi'' Nous fis t-il remarquer

''C'est moins une'' Ajouta Denver

''Qu'est ce qui c'est passer là haut?'' Nous demanda Nairobi en venant vers nous

''On a eu un léger contre temps'' Dis-je me remémorant la scène ''Disons qu'on a dû sortir nous mêmes''

''Quoi?'' S'étonna Nairobi ''Tu dois prendre le moins de risque possible Pripiat''

''Elle était avec moi'' La rassura Denver ''On savait ce que l'on faisait''

''Bon'' Dis-je en claquant dans mes mains ''Tu ne veux pas me montrer comment marche tout sa?'' Lui demandais-je en souriant

Elle me fit un large sourire et me pris la main comme une enfant.

''Tu sans cette odeur?'' Me demanda Nairobi

Je renifla mais aucune odeur ne me venez au nez si ce n'est le parfum de Nairobi et la transpiration des gars qui travaillaient.

''Ça ne sans rien'' Me coupa Nairobi danses recherches ''Extracteur industriels haha'' Dit-elle en tournant sur elle même comme une danseuse ''On récupère les gaz on les passe dans la machine on les liquéfie et goudougoudou goudougoudou'' Me dit-elle en longeant un tuyau ''Jusque dans le coffre fort, contamination atmosphérique 0 oui bon demain attention parce qu'il vas y avoir du Zinc et du CO2 à tous les étages et ici nous faisons fondre 52 lingot à l'heure, on a atteint notre vitesse de croisière ''

''Et qu'elle croisière'' Dis-je aussi enthousiasme que Nairobi

''Oui comme tu dit, On a déjà fait fondre 1600 kilos et là la meilleur parti, ici on verse l'or bouillant et regarde sa ressort en granulé, en minuscule balles, comme des petits pop corn''

Nairobi sortit alors une poignée de grain d'or qu'elle versa dans un ta un peu plus loin.

''Des bonnes graines pour oiseau'' Dis-je en riant ''Nairobi c'est magnifique

''Je sais'' Dit-elle en souriant

''Pripiat'' M'appela Tokyo

Je tourna le regard et vis Tokyo elle souriait en regardant elle aussi se spectacle.

''Les otages son a ta disposition'' M'annonça t-elle

''Bien'' Dos-je en regardant l'heure ''C'est l'heure de la sieste''

Je parti en saluant Nairobi et monta jusqu'au otages, ils étaient tous assis en rangs, certaines pleurer, d'autres se ronger les ongles, une vie banale pour un otages mais certaines venait d'être marquer au fer rouge de cette drôle d'excursion sur les balcon, ils avaient tous besoin d'un peu de repos.

''Bien écouter moi tout le monde'' Dis-je en montant sur les marches ''Après ce moment perturbant qui viens de vous arriver je pense que vous avez le droit à un peu de repos'' Dis-je en souriant ''Je vais vous distribuer à tous un petit médicament pour vous détendre vous n'êtes pas obligé de le prendre bien entendu''

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant