-181- La guerre sanglante

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Je décida d'appeler Séoul, qui venue aussitôt vers moi.

''Tu vas ramener Suarez et le rattacher compris? Je vais voir ce qu'il se passe'' Lui ordonnais-je

''Pourquoi moi?''

''Parce que c'est comme sa, allez bouge'' Dis-je en partant

Je n'avais jamais franchis des marches aussi rapidement qu'aujourd'hui, c'était une première, mais j'aurais repéré qu'elle n'arrive jamais étrangement.

''Venez vite!'' Hurler Stockholm dans le bureau

Je sentais mon cœur battre plus vite à chaque foulée, entendre les cris de Stockholm me faisait comprendre qu'on avais touché à la seule personne qui avais était là pour moi lors du dernier braquages, lorsque tout aller mal, la seule qui était capable de remonter le moral de ses troupes, la seule, Nairobi.
Helsinki fut le premier à entrer et s'arrêta aussitôt, bien qu'Helsinki faisait au moins trois foi ma taille et quatre fois mon poids, je le poussa suffisamment fort pour qu'il ne soit plus devant mon passage, c'est alors que je découvris, là, juste en face de moi Nairobi, allonger dans ce que l'on pouvez appeler une mare de sang serrez dans les bras de Stockholm, je l'entendais respirer et je la voyais bouger ce qui me rassurais quelques peu, je me jeta à son chevet.

''Putain, qu'est ce qui 'est passer?'' Demandais-je voyant la plaît en sang de Nairobi

''C'est les flics'' S'écria Stockholm
''Les enculer!'' Dis-je me levant

Je pris mon arme et me dirigea vers la fenêtre, bien décidé à régler mes comptes avec ses enfoirée, mais une main m'attrapa le pieds, je vis alors que Nairobi tenez de sa main ensanglantée le bas de ma combinaison déjà rouge.

''Pripiat garde tes excès de colère dans ton jolie petit cul compris'' Dit-il en venant voir Nairobi

''Nairobi tiens bon, je t'en pris tiens
bon'' Hurlais Helsinki au côté de Stockholm

Je m'accroupis alors vers Nairobi, essayant de rester la plus calme possible, bien que je n'avais qu'une idée, tuer tout les flics de cette putain de banque en commençant par Suarez! Mais le regard de Nairobi me disait de rester près d'elle.
C'était la panique tout autour de nous, les autres arriver constatant avec effrois la blessure grave de Nairobi, jusqu'à ce que du sang se mettent à couler le long de ses lèvres.

''J'ai mal'' Dit-elle en regardant le seul qu'elle aime réellement ici, Helsinki

Il ne savais d'ailleurs plus quoi faire, ses deux là était si proche, Helsinki avais déjà perdu beaucoup, il avais perdu son frère et dieu seul sait qui d'autre au cours de sa vie, il posa tout de même sa main sur la plaie pour arrêter le plus possible l'hémorragie.

''Ça va aller'' Dis-je me voulant rassurante

''Qu'est ce que t'y connais toi en médecine! Tu sais juste tuer des port!'' Me Hurla Denver

''Ferme là! Pas de panique ok, on ne panique pas!'' Dis-je paniquant moi même ''On dois, on dois extraire la balle, c'est sa Helsinki?'' Dis-je en respirant fortement

Helsinki me regarda complètement déboussolée,r mais ce n'était pas le moment de flancher, nous étions en guerre et notre soldat principal venez de tomber au combat, on ne pouvez pas le laisser, Nairobi était comme le soldat Ryan, il fallait absolument la sauver.

''Il me faut du gaz! Tout de suite'' Hurla Helsinki en prenant conscience

Denver se jeta alors sur ce qui nous servez de mallette de secours sauf que dedans on n'y trouver aucun pansement et aucun sérum physiologique
Dehors les Dalí ce mettez à hurler de plus en plus fort, les flics nous sortez une bonne technique Russe, ou peut être international mais j'aimais me dire qu'elle était Russe, on attaquer doucement, une petite attaque de rien du tout, histoire de semer la panique et une fois que cette panique est lancer, on attaque réellement, c'était exactement ce qu'il se préparer, je me leva soudainement sous le regard des autres.

''On vas se faire entuber! Palerme faut qu'on prenne les armes, ils vont essayer d'entrés'' Dis-je alors étonnant tout le monde ''Allez on se magne!''

Mais personne ne m'écoutais, je regarda Nairobi une dernière fois et soupira en sortant de la pièce, avant que Denver n'arrive en m'appelant.

''Pripiat!'' Hurla t-il ''Ils sont là!''

''Je sais pourquoi je me barre à ton avis, prend ton arme Denver, sa vas saigner'' Dis-je en enlevant le cran de sécurité de mon arme

Je ne savais pas quoi faire, sa non, je n'en avais même aucune idée, mais je savais que je devais faire quelques chose.
Et dans tout ce K.O nous étions loin de nous douter que dehors, un K.O tout autre était entrain de s produire, sans qu'on ne le sache dehors, nous perdions aussi l'un de nos membres les plus important, les flics étaient en train de semer la pagaille dans nos troupes et sa, je ne les laisserais pas faire.
Palerme nous avais rejoint, il avais pris son talkie-walkie et appeler le professeur qui ne répender pas, nos nerfs étaient à cran, nous avions peur, je ne penser qu'à cette foutue promesse faite à mon fils, je reviendrais, je reviendrais, putain de merde je dois revenir!

''Professeur! Professeur!'' Hurlais Palerme dans le talkie-walkie sous notre regard inquiet à Denver et moi ''Professeur!'' Disait-il les mains tremblante ''Professeur! Répondez! SERGIO!'' Fini t-il par hurlait

''Ils ont exécuté Lisbonne'' Fut la seul phrase que le professeur pu dire

''Mon dieu non'' Dis-je en posant ma main sur ma bouche

Denver à mes côté me regarda et me pris dans ses bras, comment est-ce que tout sa c'était possible? Comment...je n'avais plus les mots, nous étions entrain de perdre la bataille, nous perdions réellement la bataille, c'était fini.

''Ils on...ils ont tiré sur Nairobi'' Ajouta Palerme ''Elle est dans un état critique c'est graves et...nous subissons une attaque''

''Ils ne s'agit plus d'un vol, ni de détruire le système, nous sommes en guerre, alors agit en conséquence''

''Putain!'' Hurlais-je en poussant Denver

C'était sa notre fin? La fin des Dalí? Des grand Dalí? La fin de ma vie? Je m'en étais toujours tirer pour finir...morte dans une banque? C'est ce que l'on raconterez à mon fils? Ta mère était stupide, elle avais tout ce dont une femme veux, mais il a fallut qu'elle est des principes, alors les flics les on abattu?

''D'accord, c'était un honneur de suivre vos ordre'' Ajouta Palerme en raccrochant le talkie-walkie ''Aller on y vas, Denver
Pripiat!'' Hurla t-il en sortant de la pièce

''Fait chier'' Dit Denver en sortant

Je les regardas sortir et pris rapidement le talkie-walkie, j'avais envie de faire un putain d'adieu à mon fils, un putain d'adieu au professeur, j'avais envie de hurler que Lara Akimov, Pripiat ou n'importe qu'elle soit son prénoms avais était une femme d'honneur ou une connerie dans se genre.

''Professeur, prenez soin de lui, arrêter tout, partez loin, prenez la fille de Raquel, le fils de Stockholm et le mines et barrer vous, oubliez nous, pour une fois faite ce que je vous demande prof''

''Non'' Dit-il d'une voix tremblante

''Alors vas bien de faire foutre Sergio! Ta compris!''

''Pripiat!'' M'appela Palerme

Je jeta presque le talkie-walkie sur la table et les rejoins, une boule au ventre aussi grosse qu'une boule de bowling.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Et voilà nous entrons dans la guerria ! Ça va chier ! Ouais je m'emporte!
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant