-88- Le plan Murillo

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''Mais tu est complètement folle'' Hurler Berlin faisait les quatre-cent pas dans la chambre

''Oh ça va j'étais pas censé savoir qu'elle accepterais! Ton frère aller mal et...''

''Et quoi? Tu a penser que lui donner l'espoir que sa chère et tendre vienne vivre ici le ferait se sentir mieux''

''Ouais'' Dis-je sur le même ton que lui

''Vous nous mettez dans une position foireuse là!''

''Écoute les choses sont faites maintenant, on peut plus aller en arrière donc si tu a envie de hurler vas hurler sur quelqu'un d'autre j'en est marre de devoir subir tout le temps ton mauvais caractère Berlin''

Je sorti de la pièce aussi vite que j'y étais rentrer, le professeur était toujours dehors, assis sur sa chaise entrain de regarder son assiette, la viande devais être froide comme le reste du plat, je pris la bouteille de vodka qui était poser face à lui et parti marcher au bord de l'eau.
Il faisait maintenant nuit noir, j'étais assise sur le sable près des vagues qui venais me tremper les pieds, j'avais presque fini à moi seule la bouteille, mais je n'en avais rien à faire j'en avais marre, tout simplement marre de tout, si seulement... non Lara tu ne dois pas penser à sa... pourtant si j'avais sur moi, ne serrais-ce qu'un joint.
Je soupira avant de boire une nouvelle gorgée, comme si l'alcool n'était pas un poison ni une drogue, c'était la même chose elle me détruisais autant que la drogue et j'en étais tout aussi addict, une ami dans un des centres ou j'étais aller pour me faire arrêter la drogue m'avais dit un jour ''ici on t'enlève une drogue pour t'en donner une légale'' à vrai dire ce n'était pas faux, beaucoup d'ancien droguer finissait par devenir alcoolique.

''Pripiat'' Dit la voix de Berlin derrière moi

''Quoi'' Dis-je aussi froidement que je le pouvez

''Arrête de faire la tête on vas plutôt trouver une solution''

''Il n'y a pas de solution Berlin, Murillo vas venir ici à point c'est tout et si t'es pas content tu n'as cas changer d'île''

Je me leva en dépoussièrent mon pantalon qui était plein de sable et parti vers notre maison sans lui prêter attention, j'entrais dans la chambre enleva mes vêtement et enfila une robe de nuit blanche en soie, j'enlevais ensuite ma montre et la posa près de celle de Berlin comme tout les soirs avant de me glisser dans les draps frais, je ferma les yeux mais je n'arriver pas à dormir, j'entendis le parquet grincer et sentis Berlin se coucher près de moi, la fraîcheur du lit était t-elle que sa ne pouvez être que lui, il éfleura mon bras et pensa sûrement que je dormez puisqu'il tourna dans le lit et éteignis la lumière, la nuit on entendaient le bruit des vagues, c'était si reposant et apaisant que les problèmes parter vite pourtant cette nuit là, les problèmes n'allais faire que s'accentuer.
Je sentis mes paupières se lever doucement, des bruits de pas rapide venez tout juste de me réveiller, je regarda par la baie vitrer qui était encore ouverte le ciel qui était noir, seul quelques étoiles illuminer la mer et ses vagues, je tapota la place à mes coter, place qui était encore chaude mes vide, je vis au loin la lumière de la porte de la salle de bain allumer, je soupira et me leva délicatement, les yeux encore coller, le cœur battent.
Des bruits de vomissement se faisait entendre au moins à l'autre bout de la maison me faisant soupirer, les jours devenez de plus en plus dur et les nuits de plus en plus courtes, il était assis au coter des toilettes les yeux en amende, la main sur son ventre, je voyais pour la première fois chez Berlin une faiblesse qui me tétanisa sur place ce qu'il remarqua.

''Part'' Me dit-il d'une voix tremblante

''Berlin je vais pas te laisser...''

''Part'' Me coupa t-il plus bruyamment

Je resta à le regarder tendis qu'il se mis à tousser sentant le liquide de notre dernier repas lui brûler la gorge, je décida de le laisser ne voulant pas l'énerver d'avantage, j'entrais dans la chambre mais je ne pouvez plus dormir, j'en étais incapable, je pris mon paquet de cigarette et sorti dehors, le sable était frais et agréable, je regarda au loin les vagues s'onduler, je regarder se spectacle avec un profond sentiment de tristesse, on pouvez encore entendre les cigales qui se donner à cœurs joies de chanter durant cette nuit qui paraissez calme, je crois même que je n'avais encore jamais connue de nuit aussi calme ici, si ce n'était les bruit de vomissement qui me trancher les oreilles, je sentis sur ma joue une larme glisser, difficile de les retenir, mais elles coulez dans un silence qui s'accorder avec cette nuit douce.
J'entendis la chasse d'eau et des pas venir vers la chambre, j'entendis le lit grincer sous le poids de Berlin, mon visage se tourna vers Berlin qui venait juste de s'allonger sur le coter, dos à moi.
Peut être avait-il honte? Honte de ne plus être lui, honte de se sentir faible car faible il l'était dorénavant.

''Berlin'' Lui dis-je d'une voix à penne audible

Il ne me répondit rien, j'écrasais ma cigarette dans le cendrier poser sur une table en marbre avant de venir vers le lit d'un pas doux et chancelant, mes mains trembler face au sentiments qui me parcourez l'esprit, je me mis à genoux sur le matelas et le pris dans mes bras comme je le pouvez, il sentait les médicaments, la cigarette mais aussi le vomis, un mélange horripilant qui me donner la nausée mais qui au delà me donner envie de laisser des larmes par centaine, que dis-je par milliers s'échapper mais je me devais d'être forte pour lui.

''Ça va aller'' Lui dis-je n'y croyant même pas moi même

C'est yeux se refermerez et sa mâchoire se contractait comme si il aller à son tour pleurer mais il se retenait pour ne pas perdre toute sa dignité et rester le Berlin que j'avais connue, que tout le monde avaient connue, mais moi, moi je n'étais plus capable de jouer la comédie, comme si tout aller bien, non plus rien n'allais bien, je savais ce qui m'attendez mais maintenant que j'étais face à cette situation tout me sembler si irréelle, alors je le serra dans mes bras, fort, si fort que mes muscles étaient tendus autant qu'ils le pouvaient, je ne savais même pas si il pouvez encore respirer t'en je le serrez dans mes bras, je voulais oublier qu'autour de nous le chaos s'abattait , que rien ne serrait plus comme avant que le destin était écrit comme sa, putain de destin, il n'as pas honte se foutue destin de nous traiter comme sa? Ou alors était-ce les dieux? Quoi qu'il en soit je voudrais revenir au temps d'avant au temps ou Berlin était lui, même si sa méchanceté pouvez me trancher la gorge, il était lui.
Et voilà, les larmes coulez sur mes joues dans des hoquet de voix que Berlin perçut, il pris ma main dans la sienne et inspira profondément je me leva ne pouvant plus resta là sans rien faire, je devais me lever, marcher, fumer, boire, je ne savais pas mais je devais faire quelque chose, bien que ce quelque chose aurais était inutile.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí🔫
Et voilà pour ce chapitre, Berlin commence à avoir une santé un peut bancale
La grosse grosse bise😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant