-178- Les mères

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La peluche était désormais avec nous, qu'est ce qu'elle contenez? Personne ne le savais, qu'elle était cette grosse peluche bleu? A quoi servait-elle?
Miguel la tenez toujours loin de lui au cas ou elle se déciderais à exploser ce qui ne changerez en riant la donne. Il la tendis à Denver tout tremblant.

''Tenez monsieur Dnever'' Dit-il la voix tremblante

''Ne fait surtout aucun geste brusque''Lui demanda Palerme

Miguel réussis à donner la peluche à Denver avec tout le calme et la précision don il était possible, Denver parti alors avec doucement, je retira mon masque et vis alors que Miguel venez vers moi, il avait un large sourire qui lui arriver jusqu'au dessous de ses lunettes de vue.

''Je ressortirais si vous en avais besoin madame Pripiat'' Me dit-il

''C'est bien Miguel, c'est bine, vas t'asseoir tu veux?'' Lui demandais-je en souriant

Il se dirigea vers les siens, et lorsqu'il arriva vers une jeune brune, cette dernière la pris dans les bras, les otages se mirent à applaudir, j'avais également envie d'aplaudire, mais je ne pouvez pas, je donna simplement un regard bienveillant et heureux au jeune gens avant de rejoindre Denver et l'ours en peluche.
Il déposa cette dernière dans un bac qui passerez dans une machine, qui détecter absolument tout, comme dans les aéroport, ce truc là devais avoir un nom, mais je le connaissait pas, comme tout le monde ici, on se pencha alors vers l''écran qui nous indiquer ce que contenez l'ours.

''Il y a un téléphone à l'intérieur'' Annonça Palerme

''Mais aucune bombe?'' S'étonna presque Helsinki ''Il y a autre chose''

''Ouvre le Helsinki'' Lui demanda Palerme

Les deux hommes se regardèrent avant qu'Helsinki ne se dirige ers l'ours, coller par Nairobi, il n'eus rien à découdre seulement tirer les bout de tissu de chaque coté de ce que l'on pouvez appelait une ouverture, il pénétra sa main gauche et en sorti un petit sachet de pilule rouge.

''De la drogue?'' Demanda Palerme en regardant les pilule

''De la MDMA pour être plus précis'' Dis-je en regardant Nairobi

Stockholm elle aussi regarder Nairobi comme si elle était viser, et c'était le cas, Nairobi se pinça les lèvres en tournant la tête, Helsinki la regarda à son tour, avant de prendre le téléphone qui se mis instinctivement à sonner, Helsinki n'eus le temps de prendre se dernier que Nairobi lui arracha des mains.

''Espèce de pétasse, tu veux quoi!'' Hurla t-elle au téléphone

On se regarda tous avant de nous concentrer sur Nairobi.

''Tu peut te la mettez au cul'' Dit-elle en raccrochant

Elle pris alors l'ourson et parti sans dire un mots, je ne bougea pas, elle savais ce qu'elle avais a faire, mais Palerme lui n'était pas du même avis, tout devais rouler sur ses ordres, il attrapa alors le bras de Nairobi, l'arrêtant dans sa nouvelle course.

''Ou tu vas comme sa'' Demanda t-il

Mais il n'y eu aucune réponse,s i ce n'est l'arme de Nairobi plaquer contre le front de Palerme, il recula alors de quelques pas.

''Lâche moi'' Dit Nairobi en partant vers les marches

''Qu'est ce qui se passe?'' Demanda Rio

''Sa vous concerne pas'' Dis-je soudainement en la regardant montez les escalier

''Si sa nous regardes, alors vas la chercher tout de suite!'' M'ordonna Palerme

''Non, ton caprice de Diva tu la garde bien au chaud dans ton pantalon'' Dis-je froidement à Palerme

''Quoi! Tu me désobéis!'' Hurla t-il

''Qu'est ce que tu vas faire? Me taper à coup de canne? Vas y je t'attend!''

''Arrêter tout les deux'' Nous demanda Stockholm ''C'est pas le moment, Pripiat viens on vas discutez avec Nairobi'' Me demanda t-elle alors

Je la regarda, elle me tendez sa main, je soupira et la suivis sous le regard des garçons qui de toute évidence ne comprenez rien, il n'avais pas ce que l'on avais, même Tokyo ne l'avais pas, nous étions mère, nous savions pertinemment ce que ressentez Nairobi, seule les mères comprennent ce genre de chose, car elles ont cette instinct, un instinct fort et profond et dans le cas de Nairobi, c'était encore pire, elle avait perdu son fils.
On entrait dans le bureau du président, Nairobi était assise près du mur et serez de toute ses forces l'ours en peluche à tel point que ses doigts était rouge écarlate, Stockholm venue vers elle tendis que je referme la porte, elle nous lança un simple regard avant de replonger sa tête sur la peluche.

''C'est la peluche de ton fils sa?'' Lui demanda Stockholm d'une voix douce

Pour toute réponse Nairobi s'effondra en millier de larme déchirante et poignante.

''Il n'y a plus son odeur'' Dit-elle en me déchirant le cœur

On venue alors toute les deux s'asseoir près de Nairobi, son visage était crispé de rage et de tristesse.

''Nairobi'' Lui dit Stockholm calmement ''Ils font sa pour te faire souffrir''

''Je sais, et bah c'est plutôt réussis parce que tout ce que je veux là, c'est sentir l'odeur de mon enfant'' Dit-elle nous crevant le cœur à nouveau

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce nouveau chapitre !
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant