-197- La gueule du loup

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Je regarder Suarez avec une certaines frustration, comment sa lui présenter le professeur? C'était un flic, malgré ses aveux, je ne pouvez pas le faire confiance aussi facilement, c'était comme ce ejeté dans la gueule du loup qui nous avais nourrit pour mieux nous faire grossir, et pour devenir un plat succulent, je ne compter pas être assez stupide pour lui présenter le professeur, loin de là!
Je repoussa alors brutalement Suarez, ses épais sourcils se froncèrent, comme si il était étonner de mon geste, je parti vers le bureau sans même lui accorder un regard.

''Quoi? Je dois bien rencontrer le chef de la bande pour y entrée non?'' Me demanda t-il toujours aussi étonner de ma réaction

''C'est pas e que j'ai dis'' Dis-je en soupirant

''Ah et qu'est ce que tu dis justement?'' Me demanda t-il en croisant ses bras sur son torse

''Que tu est un flic''

''Attend tu te fou de moi?'' S'énerva t-il ''Après tout ce qu'il c'est passer entre nous tu pense encore que je suis de l'autre coté?''

''J'en sais rien Suarez'' Dis-je en soupirant ''Les flics vous êtes tous des renards près à bouffer toute les poules de la basse-cours''

''Les poules de la basse-cours? Non mais attend tu rigole? Tu crois quoi que t'es une simple poules?'' Dit-il en écarquillant les yeux ''Je couche pas avec la première venu, je pense que tu a assez étudier mon dossier pour le savoir non? Ou alors peut-être que c'est toi qui couche avec le premier venu''

''Quoi!'' Dis-je vraiment énerver par ce qu'il venait de dire ''Tu me traite de pute là?''

''C'est pas ce que j'ai dis, ne déforme pas mes mots''

''C'est ta tronche que je vais déformer
oui!'' Dis-je en donnant un coup de pieds dans la poubelle

''Merde'' Dit-il en soupirant à son tour ''Je suis sincère Pripiat, ce que je t'es dis, t'es pas qu'un simple coup d'un soir''

''Je m'en fou de sa!''

''Quoi c'est parce-que je veux intégrer les Dalí?''

''Entre autre, on deviens pas braqueurs du jour au lendemain''

''Y'a des études? Je savais pas'' Dit-il en souriant à moitié

''Y'a pas de diplôme, y'a des raisons, c'est mieux encore''

''Des raisons?'' Demanda t-il ''Explique moi les tiennes dans ce cas, pourquoi attaquer l'état?''

''Ce lever pour 1200 c'est insultant non?'' Dis-je en souriant de travers ''Pourquoi tu veux entrée dans le groupe?''

Il pris une grande inspiration, comme si il jouer sa vie à l'instant.

''Parce que j'en est marre d'être un toutou qui donne la patte au moindre ordre, parce que j'ai suffisamment étudier vos dossier à tous pour savoir que vous n'êtes pas des méchants, je t'es vues travailler avec t'es otages, je n'est jamais vue autant de respect envers des otages que celui que tu leurs accordes et je parle même pas des trois jeunes qui son au petit soin avec les plus pagés''

''Notre groupe, c'est une famille, pas un
gang'' Le coupais-je

''Justement, j'en est marre de faire parti d'un gang ou out le monde et remplaçable, je sais que vous, vous ne me remplacerais pas si je meurt, y'a qu'a voir comment tu te comporte avec moi''

''Comment je me comporte?'' Demandais-je intriguer par ce que venait de dire Suarez

''Oui, tu peut pas remplacer Berlin, sa se vois, tu est frustré rien qu'à l'idée de penser à quelqu'un d'autre que lui''

''J'ai un enfant avec lui''

''Sa n'excuse pas tout, c'était l'homme de
ta vie'' Me dit-il me provoquant presque un bouleversement intérieur ''Tu la épouser lui en sachant qu'il aller mourir, parce que vous étiez fait l'un pour l'autre, deux fort caractère, je pourrais pas le remplacer, ni moi ni un autre d'ailleurs...je veux pas prendre la place de quelqu'un mais je veux me faire ma place'' Dit-il en insistant sur le Ma

Je regardais ailleurs, fuyant presque les vérité que me verser Suarez, je ne voulez pas entendre un mot de plus, je n'aimais pas être comprise, car moi même je ne me comprenez pas, mais Suarez sembler lire en moi comme dans un livre, comme le faisait Berlin, je sentez les battements de mon cœur aller de plus en plus vite, pousser par l'adrénaline? Ou la peur? Peut importe.

''Je veux faire le bien, au moins une fois dans ma vie, faire quelques chose qui est
un sens'' Ajouta Suarez

Suarez venu vers moi d'un pas rapide, il se trouver à quelque centimètre de moi, je pouvez sentir son parfum traverser mes narines délicatement, provoquant une sensation de douceur dans mon ventre, quand tout à coup nous fume couper par le téléphone rouge poser sur le bureau, je soupira et lâcha le regard de Suarez pour le téléphone, je décrocha aussitôt.

''Prof, je ne suis pas seul'' Dis-je de bute en blanc

''Qui est avec toi?'' Me demanda le professeur

''Suarez'' Dis-je en le regardant ''Il...il veux vous parler justement''

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour le chapitre ! En espérant qu'il vous a plut !
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant