-79- L'eterniter

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''Terre'' Cria la voix forte d'Heslinki

Mes yeux s'ouvrirent en grands, je venez de dormir quelques heures sens même ne m'en être rendu compte.
Je me redressa et constata que ma tête était poser sur l'épaule de Berlin, il était aussi réveiller et ne disait pas un mot en fixant Helsinki qui faisait de grand geste.

''Qu'est ce qui se passe?'' Marmonnais-je en passant ma main dans mes cheveux décoiffée

''On est arriver'' Me répondît Berlin en tournant la tête vers moi

Je regarda au loin et vis un petit port sens personne autour mais je sentis surtout un mal de crâne me taper le cerveau.

''Oh la vache j'ai un de c'est mal de crâne''

''Pas étonnant avec tout ce que tu a picolé'' Me dit Helsinki

''Moi aussi je suis heureuse de te voir vieux balourd''

Il se mis à rire avant d'aller réveiller Nairobi qui était allonger au sol dans une couette.
Tokyo et Rio étaient encore endormi malgré le vacarme qu'avais fait Helsinki.

''Bonjour tout le monde''

On tourna tous la tête vers le professeur, il était déjà habiller de son costume cravate, ses chaussures de villes malgré la chaleur qu'il faisait, il reboutonner sa manche de chemise en nous souriant.

''Bien nous allons arriver au port, une fois là bas nous allons rester ensemble une semaine, le temps que tout le monde décide ou il eux aller, qu'il achète son île enfin le temps qu'on se prépare''

Il s'avança vers Tokyo et Rio qui était tout deux blottis l'un contre l'autre.

''Debout'' Leur dit-il sur un ton agréable

''C'est là que débute notre éternité'' Me chicota Berlin en me regardant tout souriant

''Je ne sais pas peut être que je vais changer d'avis'' Dis-je en plaisantant

''Se serrez dommage de m'avoir sauvez la vie pour me laisser mourir''

''C'est pas possible Berlin t'es obliger de faire le poète à 8 heures du matins?'' Dit Nairobi en se levant

Il me fit un clin d'œil avant de se lever et de partir voir son frère, je resta à me frotter le crâne comme si la douleur aller s'évaporer en un frottement de main, je soupira et poussa la couverture qui était poser sur mes jambes, je regarda la mer calme et sentis un sourire se former sur mes lèvres.
Quelque minutes plus tard on arriver sur le port, Helsinki fut le premier à descendre suivis de Nairobi, il n'y avais personne l'endroit était comme désert.
Lorsque mon pieds toucha le sol je me sentis libre, libre comme l'air, ici plus rien ne pouvez nous arriver de plus on était riche!
Le professeur nous emmenez jusqu'à une sorte d'hôtel ou de gîte qu'il avais près payer avant notre arriver, il n'y avais personne comme prévue seul des oiseaux venez se perdre dans les palmier, je regarder la court du gîte avec des étoiles dans les yeux, c'était si beau!

''Bon chaque couple à une chambre je veux que vous fassiez très attention''

''C'est bon professeur détendez vous'' Dit Denver en voulant passer le pas de la porte mais il faut stopper par le professeur

''Denver laisse moi finir...je disait donc faites très attentions à ne pas laisser la moindre trace de votre passage bien qu'ici on ne soit pas rechercher il ne faut pas oublier qu'ailleurs nous le sommes et que des milliers de policiers son à nos trousse''

''Bon vous l'ouvrez cette porte ou merde'' Dit Denver impatient

Le professeur le regarda et sorti la clés de sa poche, il la laissa glisser dans la cellule et poussa la lourde porte.

''Bordel c'est sa d'être riche!'' Dit Denver en pénétrant dans l'entrée de la maison

Lorsque se fut mon tour d'entrée je manqua de m'étouffer, il y avais des canapé en cuire noir disposer par tout dans la pièce, des tableaux, des vases, des fleurs, des babiole qui semblez coûter un max! Le sol était en marbre pur et dur je n'avais jamais vue sa, le lustre était en cristal et briller avec la lumière du jour.

''Bordel'' Fut le seul mot qui réussi à sortir de ma bouche

''Impressionnant'' Dit Berlin derrière moi en restant très neutre comme à son habitude

''Denver fait attention ce n'est pas un jouer'' Réprimanda le professeur en voyant Denver s'approcher d'une statuette assez laide d'une femme accoudée à un tonneau ''Je vous laisse choisir vos chambres pour ma part je dormirez en bas''

La main de Berlin m'attrapa le poignet, je le regarda toute sourire avec des yeux ébahie.

''Si madame veux bien se donner la peine'' Dit-il en me montrant l'escalier en marbre

On parti alors tout les deux à l'étages, c'était immense assez grand pour ne pas entendre Helsinki s'écrier que le lit était confortable, Berlin poussa la première porte qui se trouver en face de nous, en entrant je n'en croyez pas mes yeux, la télévision suspendu au mur sembler être un écran de cinéma tellement elle était volumineuse, le balcon était décor de fleurs, sur le lit les draps semblez ne jamais avoir servis, deux coupe en verre et une bouteille de champagne était poser sur le lit avec un petit mots que Berlin avais pris le temps de déplier.

''Félicitations, vous l'avais bien mériter avec toute mes salutations, signer le professeur''

Mais je me ficher bien du mots du professeur et même de toute cette luxure, je n'avais qu'une envie me glisser dans ses draps tout frais au coter de Berlin, comme le font les couples lambda même si il faut bien l'avouer nous n'avons rien d'un couple lambda.

''Berlin'' Dis-je d'une voix timide

Il releva la tête vers moi un sourire scotcher au lèvres, je ne l'avais jamais vue sourire aussi longtemps et se sourire...mon dieu se sourire.
Je venue vers lui avant de lui arracher le bout de papier qu'il tenez et de le laisser voler dans la pièce avant de l'embrasser tendrement, je le sentis sourire un très bref instant avant qu'il ne pose ses main sur mes hanches, je les sentis remonter le long de mon dos délicatement, le baiser devenez de plus en plus fort et intense.

''Je t'es promis une vie mouvement me semble t-il'' Constata t-il

''En effet c'est ce que tu ma promis'' Dis-je un sourire aguicheur au lèvres

Il ne lui en fallut pas plus pour venir embrasser mon cou tout en passant ses main sous mon t-shirt m'aidant à le retirer.
On était riche, vivant et amoureux, qu'est ce qui pouvez bien détruire notre vie maintenant? Je me sentez invincible c'était donc vrai ce qu'on disait à propos du frics, quand on en a on se prend pour le roi du monde et bordel ce que c'est bon.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Je tiens à vous prévenir qu'il n'y aura peut être pas de chapitre demain!
Sa arrive très rarement mais je part très tôt demain matin et je ne pourrais sûrement pas poster donc je vous inquiéter pas si vous n'avais pas la notification, désoler mais j'ai pas vraiment le choix😬
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant