-70- Le vrai visage

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''Aller on se sort les doigts du cul là'' Criais-je sur les otages qui ralentissez le pas

Une vielle femme qui ne poser habituellement jamais de problème s'arrêta un peut plus loin, elle lâcha le sac qu'elle tenez dans ses mains, elle sembler essouffler, à cette vue Berlin se dirigea vers elle, ses épaules était contracter et il se tenez droit comme un piquet, je sentez déjà l'embrouille arriver, je le stoppa alors en déposant ma main sur son avant bras, il me regarda froidement, comme pour me demander se que je faisait, bien que lui et moi avions une relation, je ne devais sûrement pas, dans son esprit, me mettre contre lui, c'était le chef numéro 1 et il compter bien le rester.

''Je peut savoir ce que tu fait?'' Fini t-il par me demander arrogamment

''Elle je m'en occupe'' Lui dis-je en avançant le laissant dans le couloir

Je m'approcha de la vielle femme qui tenez reprenez un souffle presque aussi bruyant que les machines de la fabrique, je posa ma main sur son épaule et elle tourna le regard vers moi.

''Qu'est ce qui vous arrive?''

''J'ai mal au pieds mademoiselle Pripiat et mon souffle est couper'' Me dit-elle d'une voix essoufflée

''Hum je vois'' Je passa ma main dans ses cheveux gris/noir pour remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille ''Je sais très bien que c'est dur pour vous, mais dans la vie ne faut il pas essayer de pousser ses limites? Il ne reste plus beaucoup de temps avant que tout s'arrête je dirais une heure ou deux, ensuite vous pourrez vous reposer autant que vous voulez''

''Mais''

''Je ne peut plus rien faire pour vous, je ne suis plus au pouvoir...vous voulez un verre d'eau?'' La coupais-je

''Oui je veux bien''

Je parti rapidement chercher un gobelet en plastique dans l'un des bureau en le remplissant d'eau, je lui ramena sous le regard de désaccord de Berlin, mais on ne pouvez pas se permettre de les traiter mal pour la simple et bonne raison que l'on aller bientôt partir d'ici, ils restaient encore sous notre surveillant alors si l'un deux nous claquer entre les mains cette fois on passerez pour des méchant.

''Aller on retourne au boulot?''

Elle hocha la tête me rendit le verre et repris ses sacs qu'elle descendit en bas, je retourna vers Berlin qui me fixer d'un regard presque noir.

''Qu'est ce que tu fait?''

''Cette pauvre femme à le droit à un verre d'eau'' Lui répondis-je sur le même ton froid que lui

''On viens de perdre cinq minutes à cause de toi Pripiat''

''Et bien j'en prend la total responsabilité''

Il soupira et voulue me dire quelque chose mais il se retenue et regarda plutôt sa montre.

''On dois arrêter les machines'' Me dit-il en se dirigeant vers les bureaux

Je roula les yeux au ciel et le suivis jusqu'au bureau de Nairobi, elle était entrain de discutez avec Tores de chiffre.
Berlin poussa la porte d'un coup et entra le premier.

''Arrête les machines et efface les registre tout de suite'' Lui ordonna t-il avec un certains charisme ''Ensuite sort les disques dur on vas les emporter avec nous''

''Attend dans peut de temps on serra à 1 milliard, il nous restent qu'une planche à imprimer et à découper, combien de temps sa vas prendre monsieur Tores?'' Demanda t-elle au vieillard

''11 minutes'' Répondit-il du tac au tac

''11 minutes'' Répéta Nairobi à Berlin

''Tu essaye d'arrondir la somme Nairobi? Tu crois qu'on est où là? Dans le juste prix?'' Coupa court Berlin

''C'est moi qui décide des billets, si je dit que je sortirez d'ici avec 1 milliards je sortirez avec 1 milliards''

''Si je te dit d'arrêter tu arrête'' Cria Berlin dans la petite pièce

Nairobi fut surprise du soudaine énervement de Berlin, Tores quand à lui baissa la tête sens dire un mots.

''Écouter on vas pas encore s'énerver, Nairobi on a plus le temps'' Dis-je ne voulant pas que la situation s'aggrave mais Berlin en avais décider autrement

''Tu sais pourquoi c'est moi qui commande? Tout simplement parce que toi t'a rien dans la tête'' Dit-il à Nairobi'' Tu veux rester dans cette souricière pour avoir ton milliard et tu sais ce que sa me rappel sa? L'histoire de la mère qui laisse son enfant, son bébé pour aller vendre des cachets''

Je regarda Berlin d'un œil si noir qu'on aurais pu croire que la nuit venez de tomber, Nairobi quand à elle regarder Berlin avec la ferme intention de lui planter l'un de ses ciseaux à bout rond qui traîner sur le bureau dans le cœur.

''Berlin ferme là!'' Lui dis-je aussi méchamment que je le pouvez

Il me regarda surpris de se ton et de cette phrase et plissa les yeux.

''Tu est qui au juste pour dire sa? Tu te prend pour qui en disant à Nairobi qu'elle à lâcher son gamin pour vendre des cachets? Elle elle avais une bonne raison de le faire pas comme toi'' Dis-je en me dirigeant vers la porte ''Nairobi arrête ses machines'' Finissais-je de dire avant de sortir de la pièce le coeur lourd

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Désoler pour se chapitre court mais je voulais le finir comme sa donc je me suis dit t'en pis celui de demain serra plus grand.
Aller la grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant