-73- La mort en costume noir

768 29 15
                                    


''Ils son au sous sol'' Annonça Berlin ''Aller!'' Cria t-il une drôle d'expression au visage

Il n'y avais plus un sac on avais réussis à tous les descendre à temps, Berlin entra dans la pièce.

''Aller vous descendez maintenant'' Nous dit-il

Je le regarda tout comme les autres ne comprenant pas ce « vous ».

''Faites se que je vous dit''

''Berlin qu'est ce que tu nous fait là?'' Lui demandais-je comprenant que Berlin avais pris une décision qui ne me plaisait pas

''Je sauve notre peau'' Me répondait-il

''Non tu sauvent rien du tout tu veux te sacrifier! tu rentre dans se putain de tunnel'' Lui ordonnais-je criant suffisamment fort pour que les autres écoute notre conversation

''Berlin qu'est ce que tu fou tu viens avec nous'' S'ajouta Nairobi

Mon cœur battez vite mais cette fois pas pour la même raison, la peur qui venez de m'envahir n'était pas celle de me retrouver en taule ou de me faire tuer par les policiers, mais la peu d'être de nouveau abandonner, la peu de devoir sortir d'ici sens Berlin et cette peur me tétaniser.
Rio et Tokyo le regardèrent un bref instant avant de descendre dans le tunnel, j'entendis alros dans mon oreillette le professeur parler.

''Ils descende les escalier''

''Entendu'' Répondit Berlin au prof ''Il savent ou on est vous devais partir'' Me dit-il en me regardant droit dans les yeux

''Non, non je partirez pas Berlin'' Je me tourna vers Nairobi et Helsinki ''Aller y bouger vous''

''Pripiat bordel tu part avec eux'' Me cria Berlin sur un ton sévère

''Il me semble que je t'es dit que personne ne prenez de décision pour moi'' Dis-je en le regardant les larmes au creux des yeux

''Helsinki emmène les'' Ordonna Berlin d'une voix ferme et forte à Helsinki

Helsinki attrapa alors mon bras gauche et celui de Nairobi en me tirant vers lui, près à m'emmener dans le tunnel de force.

''Lâche moi Helsinki!'' Criais-je ''Lâche moi ou je tu fume et crois moi j'en suis capable'' Dis-je sortant mon arme là collant contre sa tempe

Les larmes coulez déjà sur mes joues mais je n'était pas prête de laisser Berlin mourir ici, il en était hors de question, si je devais mourir sa serrais maintenant et t'en pis pour le frics, car j'avais enfin quelque chose qui ne s'acheter pas, l'amoure.

''Helsinki lâche moi'' Dis-je une dernière fois en le regardant droit dans les yeux

Il compris alors que je ne rigoler pas, l'arme sur son front lui prouver que c'était le cas, je n'était pas là pour jouer les Roméo et Juliette comme dans une pièce de théâtre mais j'étais là pour faire se qu'il me sembler juste.
Il lâcha alors mon bras tendis que Berlin venez vers moi le regard froid.

''Je t'es dit de partir si ils entrent dans le tunnel on est tous mort'' Me répéta Berlin

''Je partirais pas! T'entend!'' Lui criais-je dessus ''Helsinki emmène Nairobi''

''Non Pripiat'' Cria Nairobi lorsqu'Helsinki l'attrapa dans ses bras plus fermement''Non!'' Crier elle en pleurant

''Non Lara tu dégage'' Cria Berlin d'une voix qui me glaça le sang

''On se casse d'ici tous ensemble à point c'est tout'' S'interposa Nairobi

Helsinki la tira dans le tunnel, on entendez plus que ses pleurs étouffer tendis que Berlin me regarder droit dans les yeux, d'un regard de glace.

''Si notre amour doit s'arrêter Berlin sa serra parce que je les décider, maintenant au boulot'' Dis-je passant à coter de lui

''T'es complètement malade''

''C'est pas pour sa que tu m'aime?'' Lui demandais-je en me mettant derrière la mitrailleuse

Il venue vers moi aussi vite que possible.

''Tu sais a quelle point je peut être matcho, les femmes et les bébés en premier''

''Et toi tu sais à quelle point je peut être têtu?'' Lui répondis-je sur le même ton que lui

Il soupira, il savais qu'il n'aurais pas le dernier mot avec moi, je le pris alors dans mes bras avant de l'embrasser, comme un baiser d'adieu, un baisez au goût amer.

''Putain'' Dit-il s'énervant

Il se résigna à aller derrière la mitrailleuse en préparant le matériel, le temps fut long, très long avant que les flics n'arrivent, nos cœurs battez aussi fort qu'on pouvez les entendre, je soupira, la voilà, la mort, la mort que j'avais attendu un long moment, la mort qui durant toute mon enfance m'avais terroriser, elle était là face à moi vêtu de sa cape noir et de son couteau tranchant.
Berlin chargea la mitraillette et à penne le visage d'un flics passer, il se mis à tirer, le bruits de la mitrailleuse était abasourdissante à tel point que mes oreilles siffler.

''Ils on une mitraillettes'' Cria l'un des flics a son équipe

''Comme si ils le savais pas'' Dis-je en riant

Il faillais mieux rire que pleurer dans une situation pareille, la mitrailleuse avais fini son premier rouleau de balles je pris alors le prochain pour la recharger, je faisait aussi vite que je pouvez mais les balles des flics résonner dans toute la pièce, certaines passer à nos coter nous sifflant les oreilles, une fois la mitrailleuse charger les flics arrêtèrent de tirer.

''On est Bonnie et Clyde'' Cria Berlin un sourire au lèvres

''Non je préfère qu'on soit Jeanne et Mesrine'' Dis-je en souriant à mon tour

Au moment de recharger une nouvelle fois la mitrailleuse l'un des flics lança une grenade, Berlin tira alors ma main me faisant me lever et on courue jusque dans la chambre forte, il me poussa dans celle ci et entra en fermant la porte, on se mis dans le font et il me couvris de l'explosion qui fut aussi forte que je mis attendez, après cette grenade on savais qu'on aurais 5 minutes pour nous préparer à enfin mourir.
Berlin se releva et me tira de nouveau par le bras.

''Maintenant tu descend'' Me cria t-il

''Non! Sa se passera pas comme tu la décider soit tu viens avec moi soit on meurt ensemble''

''Mais putain Lara tu croyais quand même pas tout ce que je t'es dit'' Me dit-il en prenant mon visage dans ses mains tremblante ''Tu me vois agoniser et baver dans mon lit?''

''Et toi tu me vois partir d'ici seule? Sens toi? J'ai rien et personne qui m'attend dehors! Tu ma redonner l'envie de vivre Berlin, quand je suis venue ici je savais pas si j'allais m'en sortir et j'en avais plus rien à foutre, avant que le prof viennent'' Je m'arrêta ne voulant pas avouer une chose stupide à Berlin mais si sa pouvez nous sauvez alors je me devais de lui dire ''Avant que le prof ne vienne j'étais aller à la pharmacie pour acheter des cacher'' Dis-je les larmes coulant à présent sur mes joues ''J'avais prévue de me tuer en rentrant chez moi, j'avais plus goût à le vie Berlin, même tout ce frics ne me motiver pas pour rester en vie et puis toi et ta putain de promesse vous avais changer ma vie, alors soit tu tiens ta promesse et on part maintenant soit on crève ici et sa c'est pas négociable''

''Vas t'en'' Me dit-il une nouvelle fois d'une voix faible

''Je t'aime Berlin, je t'aime putain sa te suffit pas sa'' Criais-je comme pour déclarer ah monde entier se sentiments qui me tenez ''Tu veux que je garde le souvenir d'un homme qui tiens ses promesses et qui me rend heureuse ou alors le souvenir d'un lâche qui abandonne celle qu'il aime pour ne pas baver sur son lit?'' Lui crachais-je au visages les larmes coulant de plus en plus sur mon visage en me brûlant les yeux

''On aura pas le temps d'arriver jusqu'au professeur''

''N'oublie jamais que je suis Russe Andrés Fonollosa''

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Alors à votre avis? Berlin vas il céder à la demande de Pripiat? Ou vas t-il faire son Berlin ?
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant