Le casse du siècle [Part 1]

-145- Charlie et la Chocolaterie

Bogotá, son équipe et Nairobi étaient parti en bas pour déverrouiller notre coffre au mille bijoux dorée tendis que je devais veiller sur mes petits otages, notre travaille était assez simple, il ne fallait faire qu'un chose surveille, occuper les otages et éviter les mouvements de foules, sa me laisser le temps pour me reposer un peu.

''Bien écouter moi'' Dis-je au otages ''Nous allons comme je vous les dit rester ensemble un long moment c'est pourquoi je vais demander à tout le monde de lever la main si il on besoin de médicament quel-qu'il soit j'ai de tout je serrais votre Charlie et cette endroit sera ma chocolaterie, alors on m'écoute bien ceux qui on besoin de médicaments lever la main ma charmante collègue Stockholm vas prendre vos nom ainsi que votre requête, les personnes qui on besoin de serviettes hygiénique ou tampon vous pouvez également lui demander quand au pose toilettes elle serrons par tranche de 15 personnes toutes les 4 heures donc on hésite pas à faire son petit pipi ok'' Dis-je voyant que j'avais l'attention de tout le monde ''Bon puisqu'on est organiser on a prévue nos repas ce soir sa serra sandwich on a rien d'autre doc si vous êtes pas content vous ne manger pas, personnellement j'en est rien à foutre de ce que vous ingurgiter ou non, les repas son à 7 heures, 12h30 et 18h, non il n'y a pas de goutter et oui vous aurez des bouteilles d'eau toutes les quatre heures également, si vous avais un problème venez me voir, si vous ne vous sentez pas bien venez me voir, même s vous avais envie de chier venez me voir compris?''

Il n'y eu aucune réponse, mais les otages étaient mis au courant, je ne voulais pas semer la panique seulement leur montrer qu'on étaient de brave personne voulant juste piquer tout l'or de la banque d'Espagne sans tuer personne sauf si le devoir nous y conduisait.
Je me laissa alors tomber sur les marches après avoir conclu que le message était passé, j'avais affreusement mal au crâne mais j'essayais de faire diversion en regardant les otages qui discutez tous avec Stockholm quand je vis Montréal revenir avec l'otage, je regarda ma montre et constata qu'elles étaient rester toutes deux longtemps dans ses toilettes.

''Montréal tu peux venir''

Elle me regarda brièvement et venue me voir d'un pas décidé, cette gamine en avais plus dans le froque que certain membre de l'équipe.

''Oui''

''Pourquoi tu est rester si longtemps que sa dans les toilettes avec elle''

''Je les aider à se calmer''

''Hum hum, ne tombe pas amoureuse dans un braquage crois moi sa porte malheur''

''Je compte pas tomber amoureuse'' Me répondît-elle en repartant les mains dans les poches

Je la regarda s'éloigner sans dire un mot avant de plonger ma tête dans mes mains dû à la douleurs qui me frapper la tempe.

''Mademoiselle Pripiat'' Me demanda une femme

''Oui'' Dis-je en relevant la tête brusquement le provoquant des vertiges

''J'ai un léger soucis...je suis enceinte et j'ai un suivis médical''

''Ah ouais un suivis médicale à quoi bon sa sert? Tu t'es déjà poser la question?''

''Heu et bien'' Dit-elle décontenancée

''Ah rien, c'est des conneries échographie des 3 mois, des 5, des 8, sa sert à rien, bon qu'est ce que tu veux?''

''J'ai un repas assez équilibré à prendre''

''Je t'enlèverais le fromage de ton sandwich si c'est ce que tu veux'' Dis-je en soupirant

''Et Pripiat'' M'interpella Denver en venant vers moi ''Ta vue comment tu lui parle?''

Je ne m'étais pas forcément rendu compte de la façon dont je lui avais parler à vrai dire je m'en ficher pas mal, j'avais bien trop mal au crâne pour y prêter attention.

''Je sais pas...j'ai mal au crâne''

''Vas te reposer juste une petite heure, je m'occupe d'eux'' Me dit-il

''Ouais mais je dois aussi être là pour le coup de Bogotá et Nairobi''

''Je viendrai te chercher mais pense à ton fils et vas t'allonger seulement quelques minutes''

Je soupira et parti dans l'un des bureaux, lorsque je tourna la clenche du bureau un souvenir me venue en tête, Berlin et ses bureaux, cette grande histoire d'amour entre lui et les bureaux, une drôle d'histoire d'amour qui lui plaisait, mais étrangement se souvenirs n'étais pas douloureux comme tous les autres, je l'apprécier même.
Je vis alors la petite cage de Sophia, le furet de Marseille, elle était dedans et scruter les moindre coin de ce tout petit endroit, je m'approcha de la cage.

''Salut toi'' Lui dis-je en regardant sa jolie petite frimousse ''Tu dois en avoir marre d'être enfermé mais ne t'en fait pas tu sortira bientôt''

Je partit ensuite m'allonger sur une sorte de divan près d'une fenêtre dont les rideaux avaient étaient fermés par nos soin pour éviter tout regard de la police, je m'allongea et ferma les yeux, pour la première fois depuis la mort de Berlin je m'endormis presque aussitôt, c'était si agréable de s'endormir en peu de temps, je découvrais ce plaisir devenue défendu.

''Pripiat'' M'appela Denver

J'ouvris les yeux en voyant que Denver était entrain de me secouer doucement l'épaule.

''Ouais?'' Lui demandais-je en frottant les yeux

''Bogotá est entrée''

''Génial!'' Dis-je en me levant

''Tu te sens bien?''

''Parfaitement bien'' Dis-je en m'étirant

Je savais pertinemment qu'une sieste d'une heure ne changerez pas grand chose à mon état mais c'était déjà sa de gagner et il fallait l'avouer je me sentez mieux, je pris mon arme et la passa autour de mon épaule.

''Alors maintenant que je me sens mieux on vas aller voir Palerme le temps passe Denver, le temps passe'' Disais-je en traversant le bureau

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce nouveau chapitre, je sais pas vous mais je kiff le titre en même temps je kiff ce film et encore plus le mec de tiktok... seul les vrai aurons la références mdr 😂
La grosse bise 😘