Le casse du siècle [Part 1]

-74- Pulsion de vie

''Putain'' Dit-il me tirant ma main vers le tunnel

''Descend en premier'' Lui ordonnais-je

''No...''

''Ta pas le choix, si tu descend pas je descends pas'' Le coupais-je avant qu'il ne finisse sa phrase

Il soupira et fut obliger de descendre le premier, une fois en bas il regarda sa montre.

''Il vont faire exploser la porte'' Me dit-il

C'est ce qu'il firent presque aussitôt que mon pieds avais toucher la terre du tunnel, je tira alors la main de Berlin en courant dans le tunnel, on était bien trop grand pour se tunnel, toute les secondes je sentez la terre et les pierres se frotter à mon crâne et sa devais être pire pour Berlin, mais la douleurs ne tue pas.

''Et c'est quoi ton plan maintenant?'' Me demanda t-il

''J'espère que malgré ton âge tu court encore vite'' Lui dis-je sortant une grenade d lea poche

''C'est quoi sa?''

''Notre porte de sorti, à trois tu court comme si nos vies en dépendez, parce que c'est le cas'' Dis-je l'embrassent comme pour la dernière fois d'un baiser remplis de sentiments '' Aller on cours''

On se mis alors à courir aussi vote que possible au dessus de nos tête en pouvez entendre les pas des flics qui entrer dans le coffre fort.

''Professeur?'' Criais-je sans mon oreillettes

''Pripiat!''

''Préparer vous à partir tout de suite on arrive dans deux minutes''

''Ok'' Me répondit-il

Je voyais enfin le bout du tunnel, Berlin avais réussis à garder un très bon rythme, mais une balle me siffla l'oreille, je tourna la tête tout comme Berlin avant que l'on vois la lumière des armes des flics.

''Pas aujourd'hui bande de puceau'' Dis-je en dégoupillant la grenade

Je la lança aussi loin que je le pouvez, sa retarderez les flics mais le tunnel que l'on avais construit aller s'effondrer sur nous, on avais deux chances sur milles de s'en sortir vivant mais quitte à mourir autant le faire avec une certaines classe.
L'explosion eu lieu aussitôt que la grenade fut tomber au sol nous projetant en avant, Berlin tout comme moi tombèrent mais il ne faillais pas traîner, des gravas commencer déjà à tomber, je tira alors le bras de Berlin pour l'aider à se lever et on termina notre courses folle contre la montre juste à temps, on monta à l'échelle aussi vite qu'on le pouvez sens se soucier des flics qui devais être bloquer par les grava.
Lorsqu'on mis le pieds dans l'entrepôt on constata avec un certaines effrois qu'il n'y avais plus personne.

''Ici'' Cria le prof dans l'encadrement d'une porte en ferraille

On courut aussi vite que possible jusqu'à lui, il voulue nous prendre dans ses bras mais on le repoussa, pas le temps pour les câlin en famille, le prof se résigna comprenant qu'on avais plus aucun temps, on se précipita vers les portes du camion, Berlin me fit entrer en première et je m'installa dans l'arrière de la cabine, la ou les camionneur installer un vieux matelas, pour nous se matelas était fait de sac de billets, mon cœur sous ma poitrine battez encore aussi vite que tout à l'heure.

''Pripiat! Bordel j'y crois pas t'es là!'' Crier Helsinki au volant

Berlin et le prof montèrent à leurs tour, Helsinki n'en revenez pas, il nous croyez mort comme les autres d'ailleurs.

''Aller Helsinki on se casse d'ici'' Dit Berlin en reprenant son souffle

Helsinki démarra aussitôt tendis qu'on laisser derrière nous la fabrique de billets.
Je passa ma main sur mon visage n'en revenant pas de l'énorme risque que je venez de prendre.

''Qu'est ce qui t'arrive?'' Demanda le prof inquiet

''Rien je me suis pris une balle''

Je releva la tête aussitôt et me précipita vers Berlin, son visage était crisper de douleurs, je chercha d'où venez le sang qu'il avais sur les mains et vis sa jambe ensanglanter, le fait qu'il est pris une balle dans la jambe me rassura quelque peut.
Dans un grand mouvement il arracha une parti de sa combinaison laissant apparaître la plaît, du sang couler le long de sa cuisse.

''On vas s'occuper de toi' Lui dit aussitôt son petit frère laissant les informations fusé dans sa tête ''Pripiat il dois y avoir une sacoche verte derrière''

Aussitôt dit aussitôt fait, je retourna sur mon siège et chercha la fameuse sacoche, je l'attrapa et la donna au prof, avec les mouvement du camion dû à la route légèrement gondoler le prof avais du mal à recoudre la plaît, mais par chance la balle avait traverser la cuisse de Berlin.
Je me laissa tomber dans le fond de mon siège et me mis à rire.

''On est sorti, putain de bordel de merde on est sorti'' Dis-je en riant n'en revenant pas

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Désoler c'est un petit chapitre ...mais j'espère qu'il vous plait quand même
La grosse bise 😘