-172-Robin des bois

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La situation, nous sembler sous contrôle, un véritable contrôle, alors que là, dehors, le professeur et Lisbonne vivait leurs pires cauchemar, mais nous étions loin de nous douter, que cet merde aller nous tomber dessus. Assise en bas des marches je repenser à Berlin, quelques chose qui m'arriver souvent malgré moi.

Flash-back

Mes yeux poser sur son visage, voilà ce que j'aimais ces derniers temps, le regarder, toujours un peu plus longtemps, le matin, l'après midi, le soir, toujours, mais ce que je préférais, c'était le regarder après nos moment charnel, des moments rien qu'à nous, des moments de plaisir et d'amour, nos deux corps sembler n'en faire plus qu'un, jamais je n'avais vécu cela. Je le regarder avec bonheur, le soleil lui redonner des teinte rougeâtre sur les joue, qui semblait presque le rajeunir de quelques années, dans l'une de ses mains il tenait une cigarette, comme un peintre tient son pinceau, le regard fixer étrangement sur le plafond, à quoi penser il? Je me le demander bien.

''A quoi tu pense?'' Lui demandais-je d'une voix douce

Il tourna son regard vers moi et me tendis un large sourire.

''A la vie'' Me répondit-il

''La vie? Pourquoi est-ce que tu pense à la vie?''

''Parce qu'elle est belle, regarde toi, regarde ou nous sommes'' Me dit-il les yeux pétillant

''Alors comme sa la vie est belle?'' Lui demandais-je en passant ma main sous ma tête pour faire un appuie

''Quoi de plus beau?'' Dit il en souriant ''Qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda t-il soudainement

Je le regarda étonné, comment sa qu'est ce qu'il m'arrive? Rien, j'avais tout ce qu'il me fallait autour de moi, de l'argent, un Berlin, une maison, je vivais sur une plage, tout aller pour le mieux, tout.

''Rien, tout vas bien'' Dis-je en souriant

''Non, quelques chose ne vas pas'' Me dit-il comme si il me connaissait par cœur

Il se redressa sur son coude et me fixa d'un regard interrogateur, mais qu'est ce qu'il voulais que je lui disent? J'avais tout, tout se donc une femme voulez.

''Je te dit que ça va'' Le rassurais-je

Mais Berlin avait une sorte de dons, pour les personnes qui lui étaient chers, il savait reconnaître quand quelque chose tracasser quelqu'un, pourtant Berlin était loin d'être empathique, mais lorsqu'il s'agissait de Sergio ou de moi, tout changer, ce n'était plus le Berlin sans aucun sentiments et aucune pitié qui était là, mais un autre homme, presque un ange, ce qui était assez fou.

''Toi aussi sa te manque?'' Me demanda t-il en crachant la fumée de sa cigarette

Je le questionna du regard, qu'est ce qui me manquer? Le manque d'argent? La Russie? Le célibat? Non rien ne me manquer.

''Depuis qu'on est ici, il me manque une chose'' Avoua t-il en se levant du lit ''Je suis née pour sa tu sais Lara, je suis née pour braquer, pour voler des bijoux'' Me dit-il avec de grand geste qui me redonner le sourire '' Quoi de mieux que de voler de l'argent? Des bijoux? Voler l'état de tout ce qu'il nous on pris, voilà ma putain de mission sur terre''

''N'importe quoi'' Dis-je en riant face à son exaltation pour le braquages

''Je suis très sérieux'' Dit-il revenant sur le lit '' Toi, moi, deux armes et une banque'' Me dit-il soudainement

''T'es malade'' Dis-je en riant

''Si je suis malade, ce n'est que des tes beau yeux, car ils ont l'avantage d'être deux'' Me récita t-il en souriant

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant