Je descendis les marches en fixant Palerme qui discutez avec Denver de je ne sais quoi, mais franchement je m'en ficher par mal, je me laissa presque tomber sur les marches, à tel point que je sentis mes fesses frapper violemment le sol frais, je plongea ma tête dans mes mains, ce souvenirs m'avais hanter toute ma putain de vie, je revoyez se gamin me supplier, et cette l'acheter, mon dieu...je n'étais pas fière à tel point que ce soir là, après avoir obéis au ordre de mon cher Viktor, j'avais penser au pire, à quoi bon continuer si ce n'est pour être une lâche toute ma vie?
Flash-back
J'avançais vers se lavabo, il était toujours aussi sale, impensable de ce dire qu'il avais était autre fois d'une blanc étincellent, il était maintenant d'un gris fade comme tout ce qui était dans cette appartement.
''Vas te faire foutre! Tu m'entend!
Connasse!'' Criais Viktor ivre mort dans la pièce d'à côtéJe me regarda dans le miroir, mais en me voyant je ne voyer que cette saleté de fille lâche, qui se laisser marcher dessus par tout le monde, aujourd'hui j'avais vécu un drame, un drame qui allait me hanter jusqu'au dernier jour de ma vie, j'avais laisser mourir un innocent pour me protéger, de quoi? De qu est-ce que j'avais eu peur? De me prendre une rouste? Comme si je n'en prenez jamais, oui mais c'était différent, c'était l'homme que j'aimais, c'est ce que je me persuader, alors peut-être que 'j'avais eu peur qu'il n'abuse de moi? Comme si coucher avec Viktor était toujours une parti de plaisir, oui mais c'était mon cher et tendre mari, me disais-je, alors peut-être que j'avais eu peur qu'il ne me tue? Comme si je n'y avais pas pensé moi même, prendre des xanax, de la cocaïne, un peu d'héroïne et de vodka pour faire passer le tout, n'est pas un acte bien normal, surtout pour une vendeuse de drogue, je connaissais les risques et je les avais aimer à ce moment, alors de quoi est-ce que j'avais eu peur? Je ne pouvez pas avoir peur, j'avais l'impression d'être une enfant bloquer dans son monde, le grand méchants loup et devant la porte! Il souffle et souffle encore, jusqu'à ce que la maison de paille soit tomber, maintenant petit cochon, fait toi dévorer, voilà ce qu'était ma vie, j'étais caché dans cette foutue maison de paille et penser être à l'abri de toute adversité, que me rester t-il? Désormais? Je n'étais qu'une lâche, alors pour les lâche, une mort de lâche, je pris le rasoir de Viktor, un de ses vieux machin jetable au premier prix, il avais servis tellement de fois que les poils coincés entre les deux morceau gris, tranchant, était comme fossiliser, je me regarda dans ce miroir, allez ma vieille, avant que le loup ne te croque, mais je n'en étais pas capable, la lame était à seulement quelques centimètre de mon cou, quelques tout petit centimètre, aller, fait le!
''Mon amour'' Dit une voix frêle derrière la porte ''Mon amour, je suis terriblement désolé...je...je ne sais pas ce qu'il ma pris''
Dans sa voix je ne pouvez entendre que ce sanglot, un sanglot si faux mais qui me briser le cœur, je me regarda dans le miroir et vis une larme couler sur ma joue jusqu'à tomber dans le lavabo.
''Sort, sort je t'en pris, pardonne moi...si tu savais comme je m'en veux, mais c'est la drogue, tu sais, sa me rend agressif, je suis terriblement désolé, je t'aime, je t'aime, je t'aime''
Il s'était mis à chuchoter cette courte phrase, je t'aime, qu'il ne cesser de dire, qui serais-je pour en finir alors que mon époux derrière la porte me supplie? Je ne serrais rien, encore une fois, je déposa le rasoir à sa place initiale et sortit de la salle de bain, je me dirigea vers le lit, sans même porter un regard à Viktor qui de toute évidence était bien trop pris dans ses sanglot d'enfant pour me comprendre, et je m'étendis sur le lit, en revoyant cette scène en boucle, ce petit gars me demandant de l'aider.
Fin flash-back
''Mademoiselle Pripiat'' M'interpella alors Suarez
Je redressa la tête vers lui, cachant au plus profond de moi mes émotions, Suarez me dévisager presque du regard.
''Oui Suarez?'' Dis-je d'une voix malheureusement frêle
''Je peux vous parler?''
''C'est que''
''Ça ne sera pas long'' Me coupa t-il
Je soupira, je me leva et venue vers lui.
''Je t'écoute'' Dis-je en le fixant du regard
''En seul à seul si c'est possible'' Ajouta t-il en regardant Gandia qui nous fixer d'un regard noir
''Ouais''
Je défit l'une de ses menottes et nous partions tous deux dans l'un des bureau sous le regard de Palerme, je ferma la porte tendis que Suarez me regarder.
''Vas y, je t'écoute'' Dis-je en croisant mes bras sur ma poitrine
''Laisser mes hommes sortir, je vous en pris''
Je soupira longuement, mais Suarez était bien décider à se faire entendre.
''Ils on des femmes et des enfants, vous êtes des humains avec un cœurs non? Ce n'est pas sa que vous voulez faire voir à tout le monde?'' Dit-il en marquant un point '' Alors si en effet il y a un cœur qui bat dans votre poitrine mademoiselle Pripiat, relâcher mes hommes, je resterais ici, le temps qu'il vous faudra, mais eux, relâcher les''
Sans qu'on ne réalise, l'impensable venez tout juste de se produire, il y eu un bruit de coup de feu, un bruit sourd, comme si la balle venez de loin, je regarda Suarez en coin d'œil avant de sortir du bureau, je vis alors Palerme, Denver e Helsinki partir en courant, je comprenez que quelques chose de grave venait de se passer, mais je ne savais pas encore à quelle point et encore moins, qui se toucher.
...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Bon bah je suis fière de mon petit chapitre écoute, je l'aime bien surtout la parti du grand méchant loup 😂 pcq sa peut sous entendre beaucoup de chose!
La grosse grosse bise 😘
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Le casse du siècle [Part 1]
FanfictionMoi c'est Pripiat, enfin avant comme toute personne normal j'avais un vrai prénom mais j'ai appris à ne plus m'en servir, comment? En faisant ce qui semblez être le meilleur casse de toute ma vie. J'étais probablement là meilleure candidate pour se...