-92- La famille

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''Alors qu'est ce que tu a penser de cette journée?'' Me demanda Berlin

Il était assis sur une chaise, il devait être légèrement fatiguer en vue de son état, il siroter son verre de vin tendis que j'installais la table.

''Ce village est vraiment beau''

''Je te parlez surtout du temple''

''Il était beau... oui'' Dis-je en plaçant les couteaux

''Tu sais j'ai toujours voulue fonder une famille''

Je m'arrêta net et me tourna vers lui.

''Dit moi, c'est t'es médicaments qui te rendent aussi comique?''

''Tu n'y a jamais penser? Pourtant faire des enfants et l'une des première qualité des femmes, vous avaient été crée pour sa''

Je me stoppa de nouveau, je tourna la tête vers lui, il poser sont verre sur la table et me dévisager du regard.

''Non à partir du jour ou on ma annoncer que je ne pouvez pas avoir d'enfant je n'y est jamais penser'' Lui dis-je sur un ton froid ''Et c'est peut être mieux comme sa''

''Un enfant est un beau cadeaux qui est offert à ceux qui le mérite''

''Moi qui penser que tu aimer les enfants comme tu aimer les policiers''

''C'est le cas... mais je ne voudrais pas te priver...''

''Arrête!'' Criais-je voulant qu'il se taise ''Je ne peut pas avoir d'enfants donc tu ne me prive de rien compris? Ensuite si tu en veux un je te rappel que tu a une fille... bon sur ceux je vais aller me changer''

Je parti alors que Berlin me demander de revenir mais j'avais besoin d'être seule, le sujet des enfants avait toujours était un sujet très sensible pour moi, une femme qui ne peut pas avoir d'enfant, qu'elle vie franchement, je pris une robe coloré et l'enfila doucement suivis d'une paire de chaussure blanche, je me regarda dans le miroir et toucha mon ventre comme par instinct, je m'étais fait à l'idée de ne jamais avoir d'enfant je m'étais même convaincue que je serrais une très mauvaise mère, après tout lorsque j'ai appris que je n'aurez jamais d'enfant je tourner à 5 grammes de cocaïne par jour alors une mère comme moi n'aurais pas était bonne, bien au contraire je pense que mes enfants m'auraient détester, mais maintenant que Berlin m'en parler je ressentez à nouveau cette boule dans mon estomac, ne pas avoir d'enfant c'était rester seule jusqu'à la fin de sa vie... je soupira avant que quelqu'un ne frappe à la porte.

''Pripiat? C'est moi Raquel''

''Raquel? Heu entre''

Elle poussa la porte et entra d'un pas lent, elle c'était changer elle aussi, après tout il fallait fêter ce dîner en famille.

''Les garçons sont entrain de discutez alors je me suis dit''

''Ouais, ils font sa tout les soirs''

Un silence s'installa, je ne connaissais pas Raquel Murillo, elle, elle devait me connaître c'était un agent de police après tout, mais je sentez que Raquel était une bonne personne.

''On pourrait aller discutez dehors nous aussi? Le coucher du soleil est vraiment beau'' Lui proposais-je

Elle hocha la tête et on sorti toutes les deux de la chambre, on s'installa sur le sable face à la mer tendis que les garçons buvez leurs verres, vin rouge pour Berlin et un jus d'orange sans pulpe pour le professeur.

''Alors je suppose que tu sait plus de chose sur moi que moi je n'en sais sur toi?'' Dis-je à Raquel en riant tout comme elle

''En effet, je sais que tu est une ancienne drogué, que tu est une délinquante, que tu a fini en prison et que durant ton séjour tu t'es battu avec une femme''

''Ah j'avais oublier sa... elle s'appeler''

''Stéphanie Rekov'' Disons en coeur

''Et je sais aussi que tu a tuer ton maris...'' Me dit-elle en plongeant son regard dans le miens

Un nouveaux silence s'installa entre nous je ne savais pas quoi dire, la pire erreur que j'avais put faire dans ma vie était probablement celle là, mais qu'est ce que j'aurais put faire? Attendre que se soit lui qui me tue? Oui peut être que c'est ce que j'aurais du attendre, décidément ma journée était une remise en question constante.

''Dit moi... je voulez te demander... pourquoi tu à tuer ton maris?'' Me demanda t-elle d'une toute petite voix ''Enfin je veux dire... non excuse moi ce n'est pas une question''

''Il me battez'' La coupais-je ''Des qu'il était soue ou droguer il me taper, avec le fer à repasser, des bouteilles de vin, des torchon... un soir je me suis dit c'est lui ou moi alors le choix à vite était fait... les journaux on fait passer son meurtre pour meurtre avec préméditation''

''Tu... tu a était battu?'' Me demanda t-elle sur un drôle de ton

''Et bien oui c'est peut être dur à croire mais c'est pourtant la vérité''

Raquel sembler si toucher par les aveux que je venez de lui faire.

''Et toi pourquoi tu n'as jamais tuer ton ex maris?'' Lui demandais-je en riant mais je sentez que ce rire était loin d'être partager

''Mon ex maris ma battu lui aussi''

Je resta stoïque, je ne bouger plus, je ne savais pas quoi dire, jamais je n'aurais penser que Raquel aurait put être une femme battu, bien au contraire le professeur m'avait expliquer qu'elle et son ex maris était tout deux dans la police criminel, quoi de plus horrible qu'un flic qui bas sa femme? Comme quoi ceux qui doivent nous protéger son parfois devenue des monstres.

''Il est temps de passer à table'' Nous appela le cuisiner

On parti alors tous autour de la table, une ambiance de joie peser au dessus de nos têtes, tout était parfait, on avait retrouver cette ambiance familial qu'on avait put avoir à Tolède, bien que l'ambiance entre Berlin et Raquel était assez froide, j'étais heureuse de voir le professeur aussi joyeux, mais après le soleil viens toujours la pluie.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour se chapitre ! En espérant qu'il vous aura plut!
La bise😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant