Le casse du siècle [Part 1]

-123- Trop jeune?

''Pourquoi je ne veux pas? Parce qu'elle a 16 ans!'' Criais-je dans le long salon du professeur

Nous étions à la veille de nôtres départ en Italie, là où l'on commencera à réviser notre plan et cela faisait très exactement 2 heures que le professeur et moi menons un combat acharner pour savoir si oui ou non Séoul ferais parti du casse.

''Nous avons besoin de beaucoup de mains d'œuvres''

''Tu n'as pas trouver assez de personnes qu'une gamine de 16 ans!''

''Écoute moi Pripiat il ne lui arrivera rien, vous serez tous ensemble présent pour la
protéger'' Me disait à nouveau le professeur

''Peut être en effet mais elle ne sait pas tenir une arme, pas gérer des otages et encore une fois elle n'as que 16 ans''

''Rappel moi l'âge au quelle tu à commencer toi?''

''Ne me parle pas de moi! Je ne veux pas que cette gamine vivent ce que moi j'ai vécu''

''Bon'' Nous coupa Séoul

Elle était assise sur l'un des canapé et observer le spectacle qui s'offrait à elle en soupirant de temps à autres, elle se leva d'un bon et venue vers nous.

''Écouter j'ai peut être 16 ans mais je pense que je peut donner mon avis, on est plus dans les années 60'' Elle tourna son regard vers moi ''Pripiat c'est vraiment gentille de te soucier de mon avenir mais...Je sens que je suis capable de prendre des armes...c'est vrai je le sens depuis longtemps comme si j'étais née pour sa...peut être que c'est a cause de mon père...je ne sais pas mais pourtant je le sens, je suis la fille d'Andrés Fonollosa! J'ai 16 ans et je suis capable de faire des choix, alors Pripiat laisse moi participer à votre rébellion pour sauver un membres de nôtres famille qu'est ce qu'on lorsque? Vous avez tous survécu au casse du siècle non?''

Je soupira en regardant ailleurs, bien-sûr je ne pouvez pas prendre de décision pour elle, je n'étais ni sa mère, ni sa tante, juste sa belle mère veuve et puis elle avait 16 ans, si à son âge on m'aurais interdit quelque chose je l'aurais mal pris.

''Vois sa avec ton oncle moi j'ai un enfant à surveiller''

Je sortit du salon en soupirant si fort que mes poumons était comme vide de tout air.
Denver était assis sur la terrasse et tenez Tolède dans ses bras, il ne le lâcher presque pas du regard tout comme les autres d'ailleurs.

''Alors vous avez fini votre combat de chant tout les deux'' Demanda Tokyo en riant

''Te moque pas, c'est une gamine sérieux, elle sais pas dans quoi elle s'embarque''

''Nous non plus d'ailleurs'' Annonça
Helsinki ''C'est vrai qui ici connait le plan du professeur''

''On a pas besoin de connaître son plan pour savoir que c'est le bon'' Ajouta Nairobi

''Ouais je suis assez d'accord'' Dis-je en m'asseyant

Peu de temps après on fut rejoint par le professeur et Séoul.

''Bien, nous allons maintenant faire nos valises pour partir en Italie''

''Pourquoi est-ce qu'on vas en Italie
au faite?'' Demanda Nairobi

''Parce que c'est le pays le plus beau'' Ajouta Palerme

''Ne joue pas à ce jeux là avec Pripiat'' Ria Denver

''Ok donc c'est ma fête aujourd'hui''

''Oh te vexe pas Poutine'' Ria Helsinki

Je soupira et pris mon fils dans mes bras, il aller nous suivre en Italie tout comme le fils de Denver et Monica, une fois sur place ils resteront avec les moines qui loges encore dans cette abbaye acheter il y a longtemps par Berlin, d'après Palerme se serait le meilleur endroit pour garder nos enfants mais très franchement Palerme était loin d'être une référence lorsqu'il s'agissait d'enfant.
Je rentra chez moi comme si je rentrer ici pour la dernière fois, je regarda les mur, les meubles, tout, tout une dernière fois, je ne savais pas si je reviendrais...c'était risqué comme tout mais il le fallait.
Je pris la photo de Berlin et moi, c'était le seul bien qu'il me rester de notre ancienne vie avec sa montre en or bien trop grande pour mon poignet.

''Pripiat?'' M'appela la voix de Séoul

Je me tourna et fit face à Séoul qui se tenait droite devant moi, c'est cheveux voler au grès des vents et le soleil taper sur ses joues rosées, elle ressembler beaucoup à son père à cette instant.

''Oui?''

''Je voulais te remercier de m'avoir accueillis chez toi aussi...facilement''

''C'est normal après tout tu est la fille de mon maris...enfin de mon...tu a compris'''

Elle hocha la tête comme réponse et pénétra entièrement dans la chambre en regardant les murs avant de s'asseoir sur le bord de mon lit.

''Je voulais aussi te remercier d'agir comme sa avec moi'' Dit-elle en baissant la tête

''Comment?''

''Et bien tu me protège et tu est franche avec moi...ma mère est bien différente''

''Je suis sûr que ta mère est tout de même quelqu'un de bien''

''Oui...oui bien-sûr c'est juste qu'elle est...différente...quand j'étais petite elle s'occuper beaucoup de moi, c'était une mère parfaite mais je sentez bien que quelque chose la tracassait, puis j'ai appris que mon père était parti, qu'il n'étais pas un homme bien et puis j'ai compris que ma mère n'aller pas bien, elle ne se maquiller pas, s'habiller avec des vêtements beaucoup trop grand, elle ne se coiffer même plus et dormez tout le temps...j'ai compris assez tard que le départ de mon père l'avait vraiment affecter au point qu'elle n'est plus fois en la vie'' Elle s'arrêta comme toucher pas ce qu'elle venez de me dire ''Puis elle a commencé à faire des crise étrange de panique et d'épilepsie, je me sentais vraiment seule et c'est à ce moment que tu a commencer à m'envoyer des messages et pour la première fois depuis longtemps j'ai eu l'impression que quelqu'un s'intéresser à moi, que quelqu'un penser à mon bien être...tu a était la première personne à qui j'ai pensé quand ma mère a était mise en psychiatrie, tu était la seule personne qui pouvez me sauver et je vois que je ne me suis pas tromper alors merci beaucoup d'être là pour moi''

Elle releva la tête vers moi et j'aperçois au creux de son œil une larme qui se mis à glisser délicatement le long de sa joue, je ne savais quoi répondre à Séoul, ce qu'elle venez de me dire me toucher profondément mais je ne savais comment réagir.

''Aller tout le monde on part
en Italie'' Chantonna Denver à la porte

''Oui...Séoul t'es affaires son prête?'' Lui demandais-je

''Oui oui''

Elle se leva et me pris dans ses bras sous le regard étonné de Denver puis elle parti dans le salon chercher sa valise, je pris la mienne et regarda une dernière fois cette maison.

''On se reverra'' Dis-je en partant vers la plage où tout le monde nous attendez

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'espère que vous aller bien et que se chapitre vous a plut!
La grosse bise 😘