-53- Mise en place du plan Cameroun

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''On vas lancer le plan Cameroun'' Annonça Nairobi a nos collègues

On c'était tous réunis dans la grande salle de pause pour pouvoir discutez de la suite du plan après que j'ai eu le deuxième appel du professeur.

''On vas libéré les otages qui son dans le sous terrain'' Dis-je

''Et on vas faire venir une journaliste pour enregistrer tout sa'' Ajouta Nairobi ''Et l'un de vous vas devoir faire une interview et notre option c'est toi Rio''

On se pencha vers lui sachant déjà la réponse mais qui ne tente rien n'a rien comme on dit, Rio fixer la table en face de lui sens dire un mots.

''On comprend que tu soit en rogne Rio mais on a besoin de toi, tu peut le faire sens masque et puis tu est très sympatrique'' Dis-je en lui faisant un sourire

''Vous voulez que je joue le jeux? Pour que Tokyo me vois de sa cellule et que je face un grand sourire et surtout vous voulez que j'évite de parler de ce qui c'est passer ici?'' Nous dit-il en nous fusillant du regard ''Mais je suis un otage compter pas sur moi pour vous aider''

''Bien'' Dis-je en me redressant ''Rio nous faisant un caprice je pense qu'on vas devoir élire quelqu'un d'autre''

''Aller moi je le fait, je suis un poupon moi j'ai une belle petite gueule'' Se dévoua Denver

''Ta pas une tronche de poupon, ta une tronche à faire des poupon'' Lui dit Helsinki nous faisant bien rire ''Je le ferrais si il ne faut pas trop parler je le ferrais''

''Écouter les gars j'ai déjà une deuxième option mais c'est vraiment cool de vous être proposer'' Dis-je me tournant vers Berlin

Nairobi n'était as au courant de mon idée elle me regarder donc avec un air incompris.

''Berlin tu vas le faire'' Dis-je d'un ton froid

''Quoi Berlin?'' Demanda Nairobi en désaccord avec moi''Si il y a bien un que je n'es jamais vue ressentir quelque chose ici c'est bien lui''

''Détrompe toi Nairobi'' Dis-je en regardant Berlin droit dans les yeux tendus qu'il me faisait un sourire en coin ''Berlin cache juste très bien son jeux''

''J'ai tout pour être un remarquable maître de cérémonie'' Ajouta Berlin en se levant

''Pripiat à raison'' Me soutenue Helsinki ''Pour sa il serra parfait''

''Très bien le rôle est à Berlin dans se cas'' Accepta amèrement Nairobi

''Et bien voilà c'est pas si compliquer bon préparons des petit four et sortons le champagne on à de la visite qui arrive'' Dis-je en sortant de la pièce

Le plan qu'avais mis en place le prof ne pouvez que bien se dérouler et comme prévue une heure après notre discutions de groupe quelqu'un sonner à notre porte une journaliste prête à se nourrir de notre braquage et de nos aveu.

''Aller tout le monde masque sur la tête'' Dis-je à tout le monde

On déposa les masques sur nos têtes avant que je ne parte vers le bouton de la porte pour appuyer sur le bouton qui aller ouvrir la grande porte qui nous couper du monde.
Nairobi compter les minute en regardant sa montre.

''Maintenant'' Cria t-elle ''Berlin fait pas de connerie''

''Allons Nairobi est confiance'' Lui répondit-il avant de se racler le font de la gorge

Je pressa le bouton qui fit s'ouvrir la porte dans un bruit sourd de ferraille, on aperçut alors deux silhouette celle de la journaliste ainsi sue son cameraman.

''Bonjour'' Dit Berlin en approchant de la journaliste '' Je suis Andrés de Fonollosa''

''Bonjour vous voulez bien portez ceci?'' Lui demanda la journaliste

''Oui bien sur'' Répondit-il en prenant le micro que lui tendais le cameraman

Il l'installa tendis que la journaliste nous regarder tous, elle devais être un peut paniquer et il y avais de quoi, elle se retrouver enfermer ici, en pleine prise d'otages et ne savais rien sur nous, hormis que Berlin avais soit disant violer et vendu des femmes ce qui devais la mettre mal alaise, quand à nous elle ne savais rien de nous elle devais se demander qui se cacher sous ses masque de Dalí, peut être des tueurs en série, des assassins de renommé mondial ou des braqueurs de grandes envergure si seulement elle savais la réalité sur nous, nous n'étions pas que des tueurs et braqueurs nous étions des être humains avant tout.

''Sa tourne'' Annonça le cameraman

''Monsieur Fonollosa je doit vous demander pourquoi vous avais autorisé une équipe de télévision a venir vous filmé en direct'' Demanda la journaliste

''Ceci est un moment décisif pour tout ceux qui son ici avec moi et on avais besoin de votre présence pour l'enregistrer mais venez entrer'' Dit-il en les faisant entrer dans le coeur de la fabrique

Nos gorges était serrez, ce que Berlin aller dire aller changer la vision des téléspectateur quoi qu'il disent ou qu'il face aller faire changer l'avis publique.
Il entrèrent dans la grande salle de l'entrer ou les 11 otages avais était mis en ligne sens leur masques.

''Voici les 11 otages'' Dit Berlin ''Ils vont enfin être libéré''

La journaliste balayer des yeux ses 11 otages pour certains des vieillards, pour d'autre des jeunes femme plein de vie, quand à moi je me demandais ce qui se passer dans la tête de cette toute jeune journaliste après tout elle avais une drôle de passion pour les crime, les rame politique et toute ces choses qui lui permettre de vivre, comment pouvez on vivre du malheur des autres? C'était assez ironique de penser sa, surtout venant d'une preneuse d'otages.

''On est tous un peut nerveux, un peut comme à l'école quand on attendez que la cloche sonne l'heure de la récré je voulez vous saluer, vous tous'' Dit Berlin un air empathie je au visage ''Pour le courage donc vous avais fait preuve oui'' Il se dirigea vers une femme enceinte jusqu'au dent ''Toi spécialement toi et ton enfant tu nous à montrer que tu était une femme très forte''

''Pourquoi avoir soudainement décider après les avoir détenue 5 jours en captivité de libéré les otages?''

''Cinq jours? Difficile de croire que cinq jour se son écouler pas vrai?'' Demanda Berlin au otages qui acquiesçaient

Berlin pris une aspiration avant de venir plus près de la journaliste.

''Voyer vous je dois vous avouer que c'est un moment difficile pour nous tous, notre situation est critique nous n'avons plus d'autres choix que de nous rendre c'est pour sa que nous sommes là...se geste marque le commencement de la fin pour nous Pripiat c'est l'heure'' Il regarda les otages ''Vous êtes libre merci à vous''

Les otages se dirigèrent vers la porte pendant que Berlin continuer de saluer ses otages qui avais passer 5 jours entier avec nous, cinq jours stressant et angoissant pour eux comme pou nous, je me mis derrière le bouton de la porte et salua de la main les otages avant d'appuyer sur le bouton, la portes se rouvrirent dans un bruit qui fit sursauter les otages
La lumière clair du jour leur brûla les rétine mais la joie et le bonheur de sortir les fit courir vers cette lumière comme des vache que l'on libérerais de l'abattoir.
Une fois tout le monde sorti je pressa de nouveau le bouton qui ferma alors la porte.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
J'espère que vous aller bien et que nous avais apprécier ce petit chapitre assez grand
La grosse bise😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant