-101-Fraîcheur d'une nuit

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''Alors comme sa tu est la fille Akimov'' Me demanda t-elle

''Oui en effet...je suppose que vous êtes au courant pour mon père''

''Bien sûr, pauvre homme...bien je vais vous servir à manger vous devais avoir une faim d'ours!'' S'écria t-elle

Elle se leva à nouveau et parti vers ses plaques de cuissons.

''Qu'est ce qu'il a son fils?'' Demanda Raquel dévisageant le pauvre adolescent qui devais avoir 17 ou 18 ans

''Qu'est ce qu'il a ton fils?'' Demandais-je à la vielle femme qui réchauffer une sorte de soupe

''C'est un martien'' Dit-elle en riant faussement ''Un Tchernobylien comme on les appel dans le coin, mon maris à était envoyer sur la zone et il ma ramener sa'' Fini t-elle par dire en haussant les épaules ''Comme si j'en avais eu besoin un jour tiens, j'en avais déjà cinq qu'est ce que j'aurais put faire d'un sixième à je vous jure les bonhomme, pauvre homme il est mort paix à sa pauvre âme'' Dit-elle en remuant la tête de gauche à droite

Je me tourna vers Raquel pour lui expliquer tendis que le prof buvais son verre délicatement, il semblait être si mal à l'aise que sa en était presque comique quand à Berlin il trembler comme une feuille et ses paupières se refermer délicatement.

''Son père était contaminer alors quand ils on fait un autre enfant il c'est retrouver avec des malformation''

''Contaminer?'' Me demanda Raquel étonner

''Ouais Tchernobyl, peut être quand Espagne vous en parler pas beaucoup mais ici c'est un sujet qui est toujours présent, on est sur les terres des anciens, ceux qui l'on vécu... bref ici on vie dans le nouveau monde, le monde de l'après Tchernobyl '' Dis-je un pincement au cœur

On passa au repas peut de temps plus tard, la vielle femme ne parler pas beaucoup et donner à manger à son fils sous le regard bienveillant de Raquel, elle était mère et devait sûrement ressentir ce que ressentez cette mère.

''Je devrais aller me coucher'' Me chuchota Berlin d'une vois faible

''Ouais je vais lui demandais ou son nos lit'' Dis-je réalisant que Berlin était vraiment mal en point ''Excuse moi ou est ce qu'on peut dormir?''

''Vous aller prendre la chambre de Léonide, suivez moi'' Dit-elle en déposant la cuillère de son fils dans l'assiette pleine de soupe

On partit tout les quatre à la suivis de notre hôte qui nous emmena jusque dans une petite chambre décorer d'ourson fait au pochoir, deux matelas tait poser au sol.

''C'est matelas son vieux, je suis une ancienne partisane vous savais'' Me dit-elle fièrement en souriant

Je regarda Berlin et le prof.

''C'est une ancienne partisane''

''Oh vraiment? Dit lui que notre grand père en était aussi un'' Me demanda Berlin un sourire de fierté au lèvres

''Leur grand père était aussi un partisan''

Elle posa alors la mains sur son cœur et un sourire flamboyant lui pris le visage.

''Que dieu vous garde mes enfants, vous êtes les bienvenus, c'est matelas son vieux mais peuvent encore être douiller, il me servais a héberger des gens durant la guerre''

Elle nous salua de la main avant de nous laissez dans la chambre, l'odeur de cendres régner dans cette minuscule chambre, la lumière était très faible, cette chambre me rappeler celle que 'javais lorsque j'étais une petite fille, ce qui me fit sourire, je sentis des mains m'entourer et un baiser se posa sur mon cou.

''Je suis vraiment heureux d'être en Russie avec toi'' Me dit-il sincèrement

''Moi aussi'' Lui répondis-je fermant les yeux pour savourais cette accolade pleine de délicatesse

''Dit donc tout les deux on vas passer la nuit ensemble alors calmer vous'' Nous coupa Raquel en riant

On parti alors tous se coucher mais le froid pris nos membres entre ses mains ce qui nous empêcha de dormir durant un long moment mais le sommeil termina par s'inviter dans la chambre de Vassili qui passer la nuit dans son fauteuil par notre faute.
Lorsque le jour passa à travers la vitre on se réveilla, le professeur avais était celui qui avais sûrement passer la moins bonne nuit des rat c'était inviter dans son t-shirt, sûrement à la recherche de chaleur.
La vielle dame nous attendez déjà en bas, son fils allonger dans un fauteuil décorer d'un tissu fleurer, elle le regarder en buvant son café.

''Bonjour'' Lui dis-je frottant mon crâne

Elle sursauta avant de nous faire un large sourire.

''Tiens voilà mes Espagnol, vous avais bien dormis?'' Nous demanda t-elle en se levant pour faire chauffer un plat

''Oui merci beaucoup de votre hospitalité''

''C'est bien normal après tout ton père était l'un de mes meilleurs amis, tu est sa fille et il était le parrain de l'un d'entre eux'' Dit-elle ne sachant pas qui était Sergio

''Lui madame'' Dis-je en lui montrant le professeur

''Ah c'est lui le fameux Sergio, nous n'avons pas eux le temps de nous présenter mais c'est mieux comme sa, si la poliza viens je ne pourrais pas parler, bien café? Vodka? Thé?'' Nous demanda t-elle

''Je pense que vous pouvez oublier la vodka'' Dis-je en riant

On se mis autour de la table et la vielle femme nous servis plusieurs chose à manger à tel point que nous étions rassasiez à la fin du petit déjeuner.

''Alors aujourd'hui vous aller voir la tombe de ta pauvre mère c'est bien cela?'' Me demanda t-elle

''Oui j'ai gagner assez d'agent pour lui faire installer un très beau cavot''

''Tu est une bonne enfant'' Me dit-elle en souriant'' Bien vous feriez mieux d'y aller maintenant il n'y a pas beaucoup de monde au cimetière à c'est heures si'' Dit-elle en regardant la pendule chat qui se balancer au dessus de la porte d'entrée

''Oui vous avais raison, on vas partir maintenant'' Dis-je prenant la décision seule

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour se chapitre 101, déjà c'est passer vite !!! Bientôt le retour en Espagne ou... peut être pas 😳
La biseeee😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant