-113- Le calme

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Les yeux marrons de Tolède tombèrent dans les miens me faisant sourire.

''Il se porte comme un charme'' Répondis-je a Sergio qui regarder son Neveux émerveiller

Il me rendit un sourire beau et radieux, on étaient heureux, du moins ils l'étaient, moi? J'étais spectatrice de ce bonheur, comment pourrais-je être heureuse? il manquer une personne sur le tableau de notre famille.
C'est fou car on pense tous que les choses se règles un jour ou l'autre, on pense qu'un enfant peut apporter du bonheurs et nous sauvez d'une terrible souffrance, mais tout ça n'est que rumeur, chaque jour je me lève en pensant à lui, lui, lui, lui et encore lui, juste lui, je me précipite vers le berceau de Tolède, j'ai peur, encore avec lui, peur qu'il m'abandonne à son tour, peur qu'il est la maladie de son père, peur... peur qu'il lui ressemble, mais il a tout de lui, tout, dès que je le vois je ne peux penser à autre chose que Berlin, parfois ça me fait mal, trop mal, alors je pleure en regardant ce bébé si doux, parfois je le laisse pleurer seul dans le noir, je n'est pas la force de m'en occuper, je n'est pas la force de le voir, pas la force d'être encore vivante.
Chaque jour est un jour de plus dans cette prison de peine mais je fait avec, pour lui, pur Tolède.

''J'ai l'impression qu'il a encore grandit'' Constata Sergio en regardant Tolède de plus près

''Tu sais Sergio il n'as pas changé depuis hier soir, il pleure toujours, dort toujours autant, mange toujours autant'' Dis-je en faisant en souriant ce qui fit rire le prof

Il se mis ensuite à soupirer avant que je ne me lève constatant l'île sur la qu'elle nous étions, notre nouvelle île était assez spacieuse et jolie, de beaux arbres décorés le paysage, il y en avais partout comme si nous étions dans une jungle, des fleures blanches arriver à pousser à travers le sable fin, mais elle n'est pas mon île paradisiaque. 

''On vas passer à table et...'' Il se tait

''Et?'' Lui demandais-je

''Non...ce n'est pas important''

Le professeur parti sans dire un mots, je le regarde regagner sa terrasse, je connaissais Sergio, du moins je commençais à mieux le connaître, quelque chose le tracassé mais quoi?
Tolède me rappela vite à l'ordre, c'est fou ce qu'un petit être comme lui pouvait avoir de la voix.
Je soupirais et le pris dans mes bras, ce qui ne le calma pas, bien au contraire, je sorti de la maison et rejoignais tous le monde sur la terrasse du Professeur. Il y avait un petit couffin en osier qui se balançait tout seul, je le déposa dedans et aussitôt il semblait se calmer, je le regarda un court instant avant que Raquel ne me rejoigne, elle le regardait avec des yeux émerveillés.

''Mhooo viens là mon petit Tolède'' Dit-elle en le prenant délicatement dans ses bras ce qui ne fit que réveiller ses cries aiguë

''Ah bah je te remercie pas Raquel'' Dis-je en soupirant d'entendre à nouveaux ses cris strident 

''Mais non il a juste besoin d'un câlin de sa tata Raquel'' Dit-elle en se dirigeant vers une chaise en berçant Tolède

Raquel tout comme Sergio était très impliqués dans la vie de Tolède à mon plus grand bonheurs je ne voyais pas comment j'aurais pu gérer un enfant seule surtout dans mon état.
Sergio arriva à table avec un plat qu'il déposa au centre de la table, Paula était assise au côté de sa mère et regardait à distance Tolède, elle semblée émerveiller par cette petite boule rose que sa mère câliner et embrasser.
Le repas se fit dans le calme comme souvent, nous n'avions pas grand chose à nous dires, mais pourtant j'avais l'impression que quelque chose tracassé encore et toujours le Professeur.
Tolède était endormis à mes coter, sa respiration calme m'apaiser, je le regarder s'étirait un court instant en grognant avant de reprendre son ronflement silencieux, j'aimais le regarder quelques fois, lorsque mon esprit n'était pas brouiller de souvenir, je le trouver beau, mon fils, il avait quelque chose que personne d'autres ne pouvez avoir, une beauté rare que seule lui avait, ses mains étaient belles, ses pieds étaient beaux, c'est oreilles, sa bouche, son nez.
Une bruit me sortit de mes pensées, mon ordinateur acheter sur le darknet venez de me signaler que je venez d'avoir un nouveaux mail, je me redressa et le tira vers moi, on avais pris attention cette fois si à tout nos objet, tous sans exception on ne voulez pas revivre l'arrivée des flics par bateau.

''Pripiat?'' M'appela la voix de Sergio dehors

Je referma mon ordinateur aussitôt et releva la tête vers le prof, il avait revêtu une chemise blanche ainsi qu'un pantalon blanc.

''Oui?'' Lui demandais-je en le fixant du regard

''Je dois aller en ville''

''Oui et?''

''Je...non je voulais juste te tenir au courant'' Dit-il en partant sens me décrocher un mots de plus

Mais qu'est ce qui pouvait bien lui piquer le cul à celui là, je me redressa et accourue jusqu'à la porte fenêtre.

''Prof'' Dis-je en le voyant partir vers le parking

''Oui?'' Dit-il en se retournant

''Il y a quelque chose qui te tracasse?''

''Non'' Mentit-il

''Tu me le jure?''

''Oui...oui''

Il continua alors son chemin vers son scooter sans dire un mots, je resta statique en le regardant partir, quelque chose n'allait pas...mais je n'avais pas le temps de me question sur ce que c'était que Tolède donner de la voix dans la pièce voisine.

''Ouais ça va j'arrive, tu permet? Ton oncle se comporte bizarrement tu n'est pas le centre du monde petit carpeau'' Dis-je en soupirant

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Alors à votre avis avec qui Pripiat parle elle par Mail?
La grosse bise 😘😘😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant