-193- Sens sortir si facilement

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''Qu'est-ce qu'on fait maintenant?'' Commençait à s'inquiéter Rio

La panique était devenue notre alliée, et ceux bien avant même que Nairobi reçoivent cette balle en plein poumon, ou même avant que le professeur en pète un plomb, la panique était notre allié à tous depuis des années, bien avant même le premier braquages, face à cette situation, il n'y avais rien d'autre à faire, que de faire ce que l'on faisait tous depuis des années, vaincre cette panique ou vive avec qu'importe, mais nous ne devions pas faire d'elle notre ennemi, mais notre allier.

''Bien'' Dis-je en prenant je grande
inspiration ''Tokyo tu te sens prête à couper ce morceau?'' Lui demandais-je

''Oui'' Répondit-elle avec assurance

''Alors on vas le faire, Helsinki?'' L'appelais-je comme pour lui demander si il était capable de tenir son sang froid, ce qui était sûr venant de lui

Il me répondit par un hochement de tête positif avant de regarder Tokyo.

''Rio? Si tu ne te sens pas prêt, tu peut sortir, le gouverneur reste ici quoi qu'il se passe'' Dis-je en m'avançant prêt de la table d'opération

Rio et Helsinki échangèrent plusieurs regards avant que Rio ne soupire de stress et ne vienne près de Nairobi à son tour.

''On peut commencer'' Dit-il en fixant Tokyo

''Alors allons y, Tokyo à toi de jouer'' Lui dis-je

Elle prit une grande inspiration, me regarda un court instant avant d'approcher son outil de chirurgien de la plaie, elle le mis en route sous le regard attentif du gouverneur qui était le seul médecin presque qualifier de cette pièce.

''Un peu plus haut'' Lui dit-il d'une voix calme et reposé ''Faite attention''

''C'est bon je les'' Dit Tokyo

''Vous vous en sortez très bien'' Rassura le gouverneur

Le stresse était tout de même palpable mais les choses étaient presque sous contrôle.

''Maintenant il faut retirer la balle'' Annonça t-il à Helsinki qui tenez les pinces

Il glissa doucement les pince dans la cage thoracique de Nairobi et extirpa la balle avec toute la douceur dont il était capable.

''C'est bien'' Lui dit le gouverneur'' Allez y tout doucement''

La balle était enfin sortie! Elle et un morceau de poumon appartenant à Nairobi, c'est constante était stable tout ce passer pour le mieux possible.
Je pris alors une petite coupelle en fer et la mis sous la pince d'Helsinki qui laissa le morceau tomber dans celui-ci, je le regarda avec fierté, nous avions réussi! Réussis à enlever une balle alors qu'on était des putains de braqueurs!
Je souriais à pleine dents mais sa ne pouvait se voir à cause du masque chirurgicale que nous portions.

''Maintenant il faut recoudre, je m'en
charge '' Dit le gouverneur en prenant l'aiguille

Tokyo se recula et me regarda, tous deux, nous étions que trop heureux de ce que nous venions d'accomplir, de ce qu'elle venait d'accomplir, l'émotion étant trop forte on se jeta dans les bras l'une de l'autre.

''On a réussis'' Dit Tokyo presque en criant

''Non tu a réussis'' Dis-je en la serrant fort contre moi

''Et attendez votre ours d'Helsinki'' Cria Helsinki en venant vers nous

Très vite le gros nounours qu'était Helsinki nous entoura de ses gros bras, nous serrant contre lui, c'était un moment magnifique, l'un des plus beaux que j'avais passé depuis un long moment.
Nous avions retiré une partie du poumon de Nairobi, nous fêtions ce moment sans même savoir si ce que nous faisions était bien ou non, peut-être que l'on venait d'achever Nairobi, mais pour nous, nous lui avions sauvé la vie! Rien à foutre du reste, c'est ce que je me disais.
Une fois dévêtit de mes vêtements de médecin je descendis voir mes otages, je ne devais pas oublier mon but premier qui était de les surveiller, aussitôt en bas, Séoul et les autres me sautèrent au cou pour me demander comment c'était passer l'opération de Nairobi, mais sans le savoir un autre coup plus grave peut-être cette fois se préparer à l'étages, dans les toilettes, nous avions oublié, petit à petit l'existence de notre bombe atomique, Palerme, il n'était pas à son premier essaie nucléaire, si je me souvenais bien, c'était une bombe, une bombe qu'on ne pouvait pas arrêter en coupant le fil rouge.
Alors que j'expliquais au trois plus jeunes ce qui c'était passer dans la salle d'opération des pas se firent entendre, nous détournons alors le regard vers les otages, entre eux se trouver Palerme, vêtu d'un costume gris, il tenait dans sa main une mallette, pas besoin d'avoir un bac scientifique pour comprendre ce qui était en train de se tramer, la bombe avait était déclencher, par erreur peut-être comme si le président des Amériques c'était assis sur le bouton, comme si c'était un nouvelle essaie, mais la bombe était parti et c'était à nous de l'arrêter désormais.
Je me lève tout comme Séoul, Montréal et Delhi.

''Mesdames et messieurs'' Dit alors Palerme en se dirigeant vers la porte ''C'était un plaisir de travailler avec vous, mais je doit vous faire mes adieu'' Dit-il en se tournant vers les otages

''Qu'est ce qu'il fait?'' Me demanda Montréal en chuchotant

''Il fait, que tu dois aller chercher le autres et tout de suite'' Lui dis-je

Montréal hocha la tête et monta les escaliers cinq par cinq, tendis que Palerme continuait son show.

''Je m'en vais'' Continua Palerme ''Surtout garder votre bonne humeur c'est important''

''Palerme, qu'est ce que tu fou?'' Lui demandais-je

Il déposa alors sa mallette au sol, avant de me regarder.

''Je m'en vais commandant'' Me dit-il

''Non ça c'est hors de question, arrête ton coup d'état tu veux'' Dis-je en soupirant

''mon coup d'état? Ah mais je ne vois aucun coup d'état, je prend simplement les droit qui me son confesser, Amen'' Dit-il en mimant une prière

''Tu pense que tu peux partir comme ça?'' Lui demandais-je en croisant les bras sur ma poitrine

''Ne le prend pas mal Pripiat, j'ai adoré travailler avec toi et ton mauvais tempérament, d'ailleurs tu est quelqu'un de très sympathique lorsque tu le veux, seulement ma place n'est plus ici''

''Si tu pense pouvoir sortir comme ça, alors tu te trompe Palerme'' Lui dis-je en venant vers lui

''Ne t'en fais pas pour moi'' Ria t-il '' Bien quand à vous tous'' Dit-il au otages ''J'espère que mes qualité de dirigeant non pas était traumatisante, vous pourrez raconter cette expériences à vos petits enfants, vos amis, vos proches enfin bref, mesdames et messieurs ça a était un plaisir'' Dit-il en se dirigeant vers la sorti

Je pris mon arme en main, tout comme Séoul et Delhi, s'il pensait pouvoir sortir comme ça, il se fourrait le doigt entier dans l'œil.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce petit chapitre !
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant