-20- Opération

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Les médecins arrivaient près de nous sens dire un mots, ils sembler aussi apeurer qu'un agneau dans un abattoir.

''Voilà messieurs je vous laisse faire ce que vous avais à faire'' Leur annonça Berlin

Ils déposèrent leur affaires avant que l'un d'entre eux ne se penche au dessus de la plaît en faisant une sale tête.

''Je sais pas qui vous à fait les premiers soins mais c'est vraiment du grand n'importe quoi'' Dit-il

Je roula les yeux au ciel, désoler mais mon métier ses de braquer des banques pas de soigner leur directeur.

''Sa va aller docteur? Je vais m'en sortir?'' Demanda Arturo qui suer à grosse goûte

''La balle c'est loger dans la clavicule elle n'as pas toucher d'organe vitaux et je ne remarque pas non plus de fragment osseux, on ne meurt pas de sa''

Denver passa à mes coté et donna un petit coup sur l'épaule du médecins.

''Dépêcher vous'' Lui dit-il

Les médecins prirent alors une seringue pour l'anesthésie.

''Qu'elle anesthésie aller vous lui faire?'' Demanda Berlin froidement

''Si il y a des complication il vos mieux une anesthésiste générale''

''Non, non non faite lui plutôt une anesthésie local comme sa mon ami Arturo et moi nous allons pouvoir discutez pendant l'opération, pas vrai Arturo?'' Annonça Berlin en regardant Arturo

A penne le médecin eu toucher la plaît qu'Arturo se mis à hurler de douleurs, qu'elle chochotte se type.
Je remarqua alors que l'un des médecins venez de sortir une horloge de son sac, je le pointa avec mon arme.

''C'est quoi cette horloge?'' Lui demandais-je

''C'est pour l'anesthésie local, 25 minutes en cas de problème durant l'intervention il faudra lui en administrer une autre dose'' M'expliqua t-il

Je baissa alors mon arme avant que Berlin ne vienne au côté d'Arturo.

''Tu t'étais déjà pris un coup pas vrai Arturo? En changeant le nom de ta femme, remarque c'est normal en forniquant le matin avec Monica et en passant l'après midi avec Laura c'est normal que tu te trompe''

''C'est que je les aimes toutes les deux'' Répondit Arturo ''C'est la vérité, quelqu'un dans ma situation c'est très facile de le juger, tout le monde te méprise et te prend pour un enfoirée''

''Sa ne vous dérange pas si je rentre dans votre petite conversation qui semble très intéressante?'' Demandais-je à Berlin

''Non bien au contraire tu a toujours de bonne remarque''

''Merci, Alors Arturo je te confirme quelque chose tu n'est pas un enfoirée, après tout quoi? Ce n'est pas interdit d'aimer deux personnes et encore moins de fonder deux familles, sa ne fait pas de toi un enfoirée mais un putain d'égoïste, toi tu a la vie heureuse le matin Monica et son entre jambe et l'après midi Laura et sa cuisine, une belle vie seulement tu sais en quoi tu est égoïste? T'es enfants mon petit Arturo les enfants on besoin d'un cadre, cadre que tu n'est pas capable d'instaurer''

''Et vous? Vous avais des enfants? Un mari ou au moins ne serrais-ce qu'une famille pour vous permettre de me juger'' Se rebella t-il

''Grand dieu non à mon plus grand bonheurs je n'est ni mari ni enfant''

''Alors c'est facile pour vous de me juger''

''Allons Arturo je ne me permettrais pas de te juger, je te partage simplement mon avis sur les hommes dans ton genre seulement le fait de passer du temps avec toi ma fait changer d'idée sur vous les hommes au double vie après tout tu est à plaindre n'est ce pas? Tu n'est qu'un pauvre homme amoureux de deux sublimes femmes, tu sais Arturo je suis sûr que tu ne veux pas les fair souffrir, Ah l'amour aussi tranchant qu'agréable pas vrai?'' Dis-je

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant