Le casse du siècle [Part 1]

-68- Le debut de la fin

''Prof!'' Dis-je les larmes de joie coulant sur mon visage

''Quoi'' Demanda Tokyo voyant le prof

On se jeta dans les bras l'une de l'autre avant que le prof ne passe sa main dans le troue on la pris toute les deux en souriant.

''On a réussis putain on a réussi' Dis-je n'en revenant pas

''Ça va?'' Nous demanda t-il

''T'en a d'autres des questions con, Aller viens visiter notre demeure'' Dis-je en donnant un coup de pioche ''Tokyo vas chercher tout le monde''

Elle se leva et parti en courant vers l'entrée du tunnel, tendis que le prof et moi donnions des coups aussi fort qu'on le pouvez dans se grand mur.
Une fois un troue assez large creuser il entra et me pris dans ses bras comme un bonne ami puis il regarda autour de nous.

''Cher monsieur allons y'' Dis-je en jouant les majors d'hommes

Il me suivis et monta à l'échelle en premier, en haut Berlin l'attendais un sourire franc au visage, il l'aida a finir son trajet, le prof était maintenant avec nous, dans la fabrique, les deux hommes se prirent dans les bras.

''Bienvenue petit frère'' Lui dit-Berlin

Nairobi me regarda comme étonner d'entendre cette phrase, je lui fit un sourire avant que les deux hommes ne se lâche pour se regarder.

''Je croyez qu'on devais pas se connaître'' Dit Nairobi nous faisant rire

Elle soupira et ouvris ses bras a son tour pour prendre notre drôle de professeur dans ses bras, elle lui embrassa la joue avant de le relâcher.
Il se tourna ensuite vers Helsinki l'air désemparer , ils se regardèrent un très long moment sens se dire un mots, Helsinki avais perdu son frère, il n'allais pas sortir d'ici vivant et cette penser ronger Helsinki de l'intérieur, cet penser aurais pu le pousser à se venger sur le prof, car après tout a qui la faute? Mais contre toute attente il s'écroula dans les bras du prof sous nos regards de compassion. Le prof le serra dans ses petit bras fin.

''Je suis désoler'' Lui dit-il tout bas

Les deux hommes se lâchèrent avant que le prof ne nous regarde.

''Ou est il?'' Demanda t-il en parlant de Moscou

''Dans l'entrepôt'' Lui répondis-je en me pinçant les lèvres

Il hocha la tête et on se dirigea vers celui ci le cœur lourd, lorsqu'on arriva Denver était assis sur une caisse le regard dans le vide, quelques larmes couler sur ses joues, On s'arrêta laissant le prof et Denver seuls, il n'y avais pas un bruit, un silence régner, un silence de mort, le prof arriva à quelque centimètre de Denver, la gorge sèche.

''Je...je suis vraiment désoler'' Lui dit-il d'une voix compatissante

Les deux hommes se prirent à l'heure tour dans les bras Denver laisser les quelques larmes qui lui rester couler sur la chemise sale du prof, Monica était sorti de l'ombre qu'elle habiter depuis quelques heures, elle aussi avait pleurer, ses yeux était rougeâtre et des cernes c'était installer sous ses yeux gonfler.
Le prof la regarda tout comme Denver.

''Viens approche'' Lui dit Denver ''La fille au téléphone'' Lui expliqua t-il soudainement tout souriant

''Enchanter'' Dit le prof en serrant la main de Monica

''Tu peut l'appeler Stockholm si tu veux'' Dit Denver en riant ''On peut pas faire que chialer hein...tu peut y aller vas y''

Le prof nous regarda comme pour qu'on lui montre la pièce fétiche, la pièce de tout les bonheur, la pièce de notre réussite.

''En route'' Dis-je en prenant le chemin vers la pièce suivis par Nairobi et Berlin

On arriva devant une porte vitrer, rien de spéciale, une porte parmi t'en d'autre mais une porte qui mener vers la richesse.
Je pris la poignée sous le regard du prof qui avais déjà un aperçut sur la quantité de billet grâce au vitre.
Je poussa la porte laissant le prof entrée en premier, il ne savais plus ou donner de la tête et il y avais de quoi, il regarder les sacs de billet plein à craquer comme un enfant regarde une glace chocolat/vanille.

''Neuf-cent quatre-vingt quatre millions d'euros'' Annonça Nairobi

Le monde autour du prof sembla s'arrêter à l'entente de se chiffre, il ne bouger plus, ne disait rien, même sa respiration avais disparut, puis il se tourna doucement
en regardant Nairobi.

''Neuf-cent quatre-vingt quatre millions d'euros?'' Questionna t-il de nouveau Nairobi

Elle hocha la tête positivement, le prof réputa se chiffre comme quelqu'un qui venez juste de gagner a la loterie, un sourire se dessina sur son visage nous faisant rire, des larmes de joie nous envahissez tout les trois, Berlin lui rester plus discret quand à ses sentiments.

''Je te ramène chez toi maintenant petit frère on a du travaille ici'' Lui annonça Berlin

Le prof hocha la tête, regarda une dernière fois les sacs de billets avant que l'on ne parte vers le tunnel.

''Je suis vraiment fier de vous'' Nous dit-il

''Tu dira sa quand on serra tous sur nos îles à boire un putain de cocktail'' Dis-je faisant rire mes camarades

On arriva devant le tunnel qui mener jusqu'au QG du prof, il le regarda avant de nous prendre chacun dans les bras, ce n'était pas encore fini et on ne savais malheureuse pas encore si on s'en sortirait tous ou non.

''Ah au fait frangin'' Dit Berlin ''Prépare le champagne et les cotillon on a une nouvelle à t'annoncer'' Dit-il me regardant d'un regard pétillant

Le prof ne compris pas tout de suite, à vrai dire ce que Berlin venez de dire était assez vague, même pour le prof qui n'était sûrement pas au courant de ce qui c'était passer entre Berlin et moi dans la fabrique, contrairement à Nairobi.

''Je te l'avais dit'' Me dit-elle en riant

''Vous?'' Nous questionna t-il en nous pointant du doigt

''C'est pas magnifque frérot?''

''C'est inattendue surtout'' Lui répondit t-il en riant

Berlin regarda sa montre nous ramenant à la réalité on était pas encore sorti d'ici, le temps n'était plus de l'argent mais le temps était tout aussi précieux.

''Aller on se réjouira plus tard''

''Oui je vous appel lorsque vous commencer à sortir les billets'' Nous dit le prof avant de disparaître dans le tunnel

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre qui marque le début de la fin comme écrit dans le titre 😊
La grosse bise 😘