-21- Des rires

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Le calme régner dans la fabrique, je marchais dans le grand couloir en chantonnant l'hymne national Russe, pour une raison étrange c'était la seule chanson qui me rester en tête depuis le braquage pourtant j'étais bien loin de faire un acte pour ma patrie je regarder les otages qui travaillent encore dans les bureau, ils n'étaient pas beaucoup mais ils semblaient faire leurs travaillent en s'appliquant.

''Qu'est ce que tu nous chante là?'' Demanda Denver
''L'hymne national Ruse''
''Parce que vous aussi vous avais un hymne national?''
''Tu sais que tu eut être vraiment débile?'' Lui dis-je
''Ouais en attendant le débile comme tu dit à réussis à retirer la balle de la jambe de Monica''
''Tout seul?'' Le questionnais-je
''Ouais...enfin''
''Enfin?'' Répétais-je en m'avançant de lui
''Ouais...Nairobi nous à aider''
''Nairobi! Mais comment sa se fait''
''Elle nous a griller enfin c'est une longue histoire'' M'expliqua t-il
''Une longue histoire? Déjà j'ai accepter que Moscou soit au courant mais''
''Mais quoi? Au courant de quoi?'' Me coupa la voix de Berlin derrière moi

Merde, c'est le seul mots qui se bousculer dans ma tête.
Dans la vie il y a toujours un moment ou vous vous sentez faible dans la et à se moment qu'est ce que vous faite? Vous faite confiance à n'importe qui et faire confiance au gens durant un braquage c'était une grave erreur j'en avais fait les frais il y a quelques années

Flash Back des années avant le braquage

''On vas être riche bébé'' Me cria Viktor en plongeant ses mains dans le sac remplis de billet
''Ne t'emballe pas gamin'' S'interposa mon père ''On est pas encore sorti''
''Ouais mais on suit le plan chef et il marche comme sur des roulette''
''Ouais bon on se prépare'' Rétorqua mon père

Il pris un sac dans une de ses mains et son arme dans l'autre, on avança capuche sur la tête vers l'arrière de la banque, j'avais également un sac tout comme Viktor tout était prêt, on contrôler parfaitement la situation.

''Bien mesdames et messieurs merci infiniment pour cette accueille chaleureux nous ne l'oublierons pas, au revoir'' Dis-je au otages

Ils étaient allonger à plat ventre sur le carrelage, des hommes et femmes de plusieurs âge différents qui penser passer une journée banale, métro, boulot, dodo, la routine quoi.

''Aller on se prépare, Viktor des nouvelle de Montana?'' Demanda de nouveau mon père
''Non aucune se connard doit être entrain de se mater un vieux porno'' Répondit Viktor en riant d'un rire bien idiot
''Bon de toute façon on dois sortir d'ici, aller'' Dis-je

Je sorti en première, je contrôler parfaitement la situation...du moins c'est ce que je penser, On avais suivit le plan de Montana, on prenez le fric tendis qu'il surveiller dehors l'arriver des flics et une fois le frics en poche on sortez et on quitter l'Espagne.
Un flic se mis à tirer sur moi et Viktor tendis que mon père lui, c'était barrer par devant prenant avec lui le sac de fric, ruinant 6 mois de ma vie en détention, me laissant un casier judiciaire qui permettrez au flic de me retrouver, un manque de confiance au gens et très peu d'empathie pour eux par la même occasion, pourquoi tout cela? Parce que je penser que le danger n'existerez pas si tout le braquage se déroulerais comme prévue.

Fin Flash Back

Ma garde était tomber, elle n'étais pas encore effondrais mais elle en était sur le point j'avais un plan en tête personne ne devais savoir que Monica étai vivante hormis Denver et le prof mais j'avais baisser ma grade en incluant Moscou et maintenant? Nairobi le savais et si je trouver pas une excuse un minimum valable Berlin le serrais, la morale de cette histoire? J'aurais du sortir Denver des toilettes et tué Monica ou alors ne pas la tué mais rester seul dans le silence, comme sa personne ne l'aurais sue et je me serrez débrouiller seule comme j'aurais du faire a plusieurs de mes braquages.
Berlin ne bouger pas et attendez une réponse.

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant