-158- Reprise en main

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Nairobi venez tout juste de sortir du bureau, nos regards se tournèrent tous sur Palerme, qui était resté assis dans son fauteuil sans dire le moindre mot.
Helsinki ne tarda pas à partir à son tour trop toucher pas ce que venez de dire Palerme, en même temps il y avait de quoi, Helsinki attendez de Palerme de l'amour et il n'avait eu qu'un vulgaire coup d'un soir qui ne le mènera nul part de toute évidence.
Je soupira en le regardant partir.

''Denver tu peux nous laissez?'' Lui demandais-je poliment

''Tu veux vraiment rester avec ce
malade!'' S'étonna t-il

''Je sais ce que je fait''

Il hocha les épaules et partit en furie, je me tourna vers Palerme qui était toujours pensif dans son petit fauteuil de ministre.

''Bon...on peut dire que pour plomber l'ambiance t'es le champion'' Dis-je soupirant ''Écoute moi bien Palerme'' Dis-je venant vers lui ''Si jamais tu recommence ta petite crise d'adolescence, je prendrez le contrôle de la banque, que tu le veuille ou non, le professeur m'a donner la tâche la plus difficile qui est de te surveiller et de prendre les commande au moindre soucis, je laisse couler cette fois ci, mis la prochaine tu finira attacher jusqu'à ce qu'on sorte'' Lui dis-je en plongeant mon regard dans le siens ''Donc à toi de voir, mais une choses très important avant que je parte, fait foiré ce plan et je te jure que je te tuerai, je suis plus seule comparais à toi, j'ai quelqu'un qui m'attend dehors, j'ai promis de revenir, si je ne reviens pas à cause de toi, tu en paiera le prix, même si je suis morte, des hommes te retrouverons'' Dis-je avant de me diriger vers la porte

''Palerme, Palerme tu m'entends?'' L'appelait le professeur

Je tourna la tête vers Palerme qui ne semblez pas décider à bouger le petit orteilles, il rester tête basse assis sur son petit fauteuil tendis que le professeur ne cesser de l'appeler.
Je soupira et fit chemin inverse avant de prendre le talkie-walkie.

''Professeur?'' Lui répondis-je

''Pripiat? Ou est Palerme?'' Me demanda t-il soudainement inquiet

''Il est avec moi, il est un peu déprimer, rien de grave'' Dis-je en fixant Palerme qui avait seulement bouger la tête vers moi

''Bien, de toute façon c'était toi que je voulais avoir''

''Qu'est ce qui vous arrive? Un problème avec un Russe'' Dis-je en souriant

''C'est ton fils Pripiat''

Mon sang ne fit qu'un tour dans les veines, comment sa mon fils? Qu'est ce qu'il a?

''Il vas bien ne t'en fait pas'' Me rassura le professeur aussitôt ''Je voulais simplement te donner des nouvel, je pense que tu en a besoin''

Le professeur était un homme bien, c'était peut-être le seul homme bien que j'avais connu dans ma vie.

''Merci professeur'' Lui dis-je en souriant légèrement ''Vous savais si il fait bien ses prières'' Dis-je en riant suivis par le professeur

''Il mange bien en tout cas''

''Super alors...Professeur, vous ça va?'' Lui demandais-je un peut septique

''Oui, très bien Raquel et moi allons
bien'' M'annonçai t-il positivement

''Et'' Je regarda Palerme qui avait chan cet de position, avant de chuchoter au professeur ''Et Marseille ça va?''

''Oui, il vas très bien, tu sais Pripiat, Marseille est solide''

''Oui oui, je voulez juste m'en assurer, bon professeur je dois vous laissez, je sais pas vous mais ici on a du travaille'' Dis-je en riant

''Oui, à plus Pripiat''

Je reposa le talkie-walkie et partit sans même regarder Palerme.
Je retourna au près des otages, Monica était entrain de soigner notre cher Gandia, je venue vers eux, Gandia me lança un regard des plus noirs.

''Comment il vas?'' Demandais-je à Monica

''Ce sont des plaies superficiel'' M'annonça t-elle

''Superficiel! Mon cul!'' S'écria Gandia

''Gandia, tu en a assez fait pour aujourd'hui je pense'' Dis-je en soupirant ''Je vais lui donner de l'eau''

Je partit alors chercher un bouteille d'eau, entre temps Monica était parti jeté les coton remplis de sang frais, je déboucha la bouteille et la tendis à Gandia qui me regarda comme énerver.

''Merde javais oublier que tu pouvez pas la prendre'' Dis-je faussement étonner

Je lui posa la bouteille dans la bouche et leva cette dernière afin qu'il puisse boire, on aurait dit un petit enfant ne pouvant vivre qu'au rochet des autres, je retira la bouteille et le bouchonna.

''Maintenant je veux plus t'entendre Gandia, tu a eu ce que tu voulez'' Dis-je en regardant ses camarades

''Y'en a un qui veux de l'eau?'' Demandais-je sans aucune réponse

''Et super pétasse'' M'appela Gandia

''Super pétasse? Ou j'adore se nom Gandia'' Dis-je en riant ''Qu'est ce que tu le veux encore ?''

''Une fois que je serai libre je vais tous vous tuer, et tu sais quoi? Je commencerait par ta copine brun, la gitane! Une balle pile entre les deux yeux''

''Ouah très poétique'' Dis-je en soupirant

''Et je finirais par toi, je prendrez en vidéo pour que ton fils puisse voir sa'' Me dit-il

''Monica'' L'appelais-je

Elle venue aussitôt vers moi en fixant Gandia, d'un regard aussi mauvais que froid.

''Tu peux m'emmener du scotche s'il te
plaît?'' Lui demandais-je poliment

Elle parti aussitôt m'en chercher et revenue, je m'accroupis devant Gandia et tira une longue bande que je coupa et posa sur sa bouche.

''Tu trouve pas que c'est mieux comme
sa?'' Demandais-je à Monica

''Se silence est vraiment très agréable'' Me dit-elle en souriant

Je donna une petite claque amicale à Gandia avant de me relever et de parti voir mes otages, la nuit était sur le point de tomber à nouveau.

''Aller tout le mondes c'est l'heure de
manger'' Dis-je au otages

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà ce nouveau chapitre, passer une bonne journée.
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant