-133- L'herbe humide Part2

301 17 22
                                    

Cela faisait deux bonnes heures peut être que Marseille était allonger derrière moi, il c'était mis au bord du lit comme pour évité de me toucher et de me gêner, mais ce qui me perturber c'est que la place à coté de moi était chaude, une chaleur humaine si forte qu'elle ne me rappeler même plus Berlin qui avais perdu durant ses dernier mois de vies toute chaleur corporelle, c'était à la fois une sensation étrange mais aussi agréable...mais ce n'était pas Berlin, je fixer depuis tout ce temps cette putain de photo que j'aimais mais que je voulez parfois déchirer t'en la douleur était forte en la regardant, mon sourire était beau, le sien aussi par ailleurs, putain ce qu'on était heureux, en regardant cette photo et en entendant la respiration qui se faisait plus forte de Marseille j'avais l'impression de le trahir, qu'elle pourriture j'étais, il était mort depuis seulement quelques mois et moi j'étais déjà allonger près d'un autres? Marseille était la première personne que 'javais embrasser depuis Berlin...et ce baiser je n'avais pas pu en profiter car j'avais eu l'impression qu'il était derrière moi entrain de me fixer de ses yeux noir, je ne pouvez pas rester à ses coté, je suis entrain de le trahir? Bordel Pripiat qu'est ce que t'es entrain de faire?
Je prier presque pour que Tolède se réveille, pour que je me lève et sorte de ce foutue lit proche de Marseille.

''Denver ferme là'' Cria Monica nous faisant tout deux sursauter

''Qu'est ce qui se passe?'' Demanda Marseille d'une voix à peine réveillée

''Je..je sais pas'' Répondis-je d'une voix tremblante

Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que l'on entendes une porte se fermer brutalement faisant de nouveau sursauter Marseille, cette porte fut suivis d'un autre claquement, cette fois je me leva du lit, c'était peut être dieu qui avait entendu ma prière qui sait?

''Reste là je vais juste voir'' Dis-je en ouvrant la porte

Monica était entrain de marcher dans le couloir les poings serez suivis par Nairobi qui était elle aussi en train de sortir de sa chambre.

''Et ma chérie?'' L'appela Nairobi

''Qu'est ce qui se passe?'' Demandais-je ''Ça va?''

''Non ça va pas du tout'' Répondit Monica paniquée

''C'est normal putain j'ai tout entendu'' Lui répondit Nairobi

''Et mais il se passe quoi bordel?'' Demandais-je à nouveau au deux filles

''Denver est entrain de péter un
plomb!'' M'expliqua très rapidement Nairobi aussi remonter contre Denver que possible

''Ouais bah crier moins fort vous allez réveiller Tolède'' Dis-je en refermant la porte de la chambre délicatement

''Écoute moi bien Stockholm tu fait parti de la bande ok?''

''Monica t'a pas compris ce que je disais'' Cria Denver de sa chambre

''Si elle a compris comme nous tous t'a 100 ans de retard du con'' Répondit Nairobi en criant à son tour

''Et je t'ai pas causé'' Lui fit remarquer Denver en sortant de sa planque

''Ferme là du con'' Cria aussitôt Nairobi

''Putain mais gueuler pas ou alors vous aller rendormis le petit!'' Criais-je a mon tour

Bien entendu cette étonnante bataille attira les autres, la porte de Palerme s'ouvrit alors, il sorti vêtu de son plus beau peignoir à bande coloré et déposa son bras sur la poignet de sa porte.

''Ça va les filles? Qu'est ce qui se
passe?'' Demanda t-il faussement inquiété

''On en peut plus du patriarcat à
la con'' Répondit Nairobi en hurlant à nouveau faisant venir Tokyo

''Du patriarcat? Vous m'avais l'air bien trop innocente pour se monde parlons en une secondes, savais vous ce qu'est le vrai patriarcat''

''Oh bah non tiens on sais pas explique
nous'' S'énerva à nouveau Nairobi

''C'est ce qui pend dans mon caleçon!'' Cria
t-il ''Qu'est ce que vous avez a nous les briser à trois heures du mat bordel'' Hurla t-il assez fort pour réveiller Tolède

''Mais putain vous êtes vraiment une bande de sale con vous le savais sa! Je vous demande de ne pas crier depuis tout à l'heure, fait
chier'' Dis-je en me dirigeant vers la porte avant que celle ci ne s'ouvre

Les cries furent couper une bonne secondes lorsqu'ils virent Marseille sortir de ma chambre avec Tolède dans ses bras, le pauvre sembler vraiment perdu avec ce bébé tout petit et tout rose dans ses grand bras, je passa ma main dans mes cheveux en soupirant, mais qu'est ce que c'était que cette soirée de merde sérieux?
Des claquement de mains se firent entendre derrières nous, on tourna alors tous le regards pour voir le professeur face à nous vêtu de son pyjamas, il avait les traits du visage déformer par la rage, on aurait dit un professeur de nuit ou un truc dans le genre.

''Vous avais vue l'heure?'' Demanda t-il énervé ''Trois heures du matin et demain on part faire le braquage, alors je pense que vous devriez dormir, dans vos chambres'' Dit-il comme une mère le dirais à ses propres morveux

Nairobi rentra alors dans sa chambre, Le professeur lui contempla un petit instant Marseille tenant dans ses bras Tolède et fut obligé d'admettre qu'il avais dormis dans ma chambre.
On échangea un regard avant que je ne prenne Tolède dans mes bras.

''Je vais...retourner dans ma
chambre'' Annonça Marseille presque en chuchotant

''Ouais c'est une bonne idée'' Dis-je en entrant dans ma chambre

''Attend Pripiat'' M'interpela Monica ''Je vais dormir dans ta chambre si sa ne te dérange pas''

''Non non sa me dérange pas viens '' Dis-je en hochant la tête

''Désolé Professeur mais on a eu une discutions du moyen âge'' Dit-elle avant d'entrer dans ma chambre poussant légèrement Marseille de l'épaule

''Monica attend'' Lui demanda Denver avant qu'elle ne claque la porte derrière elle

Je regarda Monica sans dire un mots avant de m'asseoir dans une chaise à bascule qui devait dater elle aussi du moyen âge et berça tranquillement Tolède.

''Je...je dors de se coté'' Dit-elle en s'asseyant

''Ouais ouais'' Dis-je en la fixant toujours du regard ''heu il risque de se réveiller dans deux heures''

''C'est pas grave j'ai garder l'habitude'' Me répondît-elle en s'allongeant

''Bon bah...bonne nuit'' Dis-je aussi gêne qu'elle l'était

''Bonne nuit...au fait je te jugerais pas pour Marseille''

''Heu...merci''

Elle éteignis la lumière me plongeant dans le noir, Tolède ne mis pas beaucoup de temps avant de refermer les yeux ce qui était bien rare, je le déposa dans son lit et le regarda sucer son pouce un court instant avant de partir vers mon lit je devais essayer de dormir bien que sa serrez compliquer avec ce qui c'était passer mais le professeur avais raison demain était un grand jour, un jour ou aucune erreur ne nous serrez pardonner alors le sommeil serrez la clef de notre réussite.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Alors à votre avis Pripiat vas elle se faire chambrez rapport à Marseille?
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant